Univesité Rennes 2
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Fatiha Idmhand est professeure en littératures hispaniques à l’Université de Poitiers.

Ancien membre du Saïan Supa Crew, Féfé grandit au sein d’une famille de mélomanes dans laquelle il a l’opportunité de jouer de plusieurs instruments. Né en 1976 à Clichy la Garenne, c’est d’abord vers le rap qu’il se tourne, avant de se lancer en solo. Au sein du Saïan Supa Crew, il connaît une carrière florissante avec des titres comme Raz de marée dès 1998, puis deux ans plus tard avec le hit Angela, aux accents ragga/zouk. Après dix ans de tournées et d’activité, la formation se sépare et chacun prend des chemins opposés.

En 2009, l’artiste décide de se lancer en solo. Armé d’une guitare donnée par le chanteur Patrice, il collabore notamment avec Dan The Automator (Gorillaz) pour livrer un opus d’une dizaine de titres intitulé « Jeune à la retraite ». Entre soul, blues, hip-hop et chanson, Féfé, devenu père, propose un rap qualifié « d’adulte » par certains observateurs. A l’automne, il se lance dans une tournée à travers la France où il présente ses compositions dont l’ensoleillée Dans ma rue.

Félix Blume façonne le son comme une matière pour créer ses pièces sonores, ses vidéos, ses actions ou installations. Son travail, centré sur l’écoute, nous invite à transformer notre perception du vivant. Il utilise l’espace public tant comme lieu d’expérimentation que comme lieu de présentation de ses projets. Il est intéressé par le dialogue entre les humains et le contexte (naturel ou urbain) qu’ils habitent.

Après une formation orientée vers l’action publique à Sciences Po Rennes et l’aménagement urbain à l’Université Rennes 2, Flavie Ferchaud a travaillé pendant trois années à l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme de Rennes (IAUR). Elle prépare une thèse intitulée  » Les inter-spatialités entre Internet, le numérique et le territoire à l’aune de lieux dédiés aux TIC, à la fabrication et l’expérimentation. Les cas de Rennes, Toulouse et Gand « . Thèse Cifre en partenariat avec Rennes Métropole, Direction l’Aménagement Urbain et de l’Habitat, « Espaces et Sociétés » (laboratoire CNRS / univ. Rennes 2) et le Centre de recherches sur l’action politique en Europe (laboratoire CNRS / univ. Rennes 1).

Flavien Sorette est le directeur de la Direction des Ressources IMmobilières (DRIM) de l’université Rennes 2.

Gwenn Fleur est animatrice d’une émission culturelle sur Tébéo (Télévision Bretagne Ouest).

Florence Ducreau est la directrice de Vidéoscop (centre de production vidéo et multimédia de l’Université Nancy 2).

Le docteur Florence Le Jeune, MCU-PH, travaille au Centre Eugène Marquis de Rennes. Elle est spécialisée dans l’imagerie fonctionnelle du cerveau, et notamment dans l’étude des radiotraceurs utilisés dans la tomographie à émission de positrons (TEP). En utilisant des radiotraceurs ayant une affinité avec les neurorécepteurs, la TEP permet de mesurer sélectivement les activités neuronales liées à des mécanismes physiologiques précis.

Dès ses études de médecine à Rennes, le docteur Florence Le Jeune s’est intéressée à l’imagerie médicale et notamment à l’imagerie fonctionnelle. Cette activité, en effet, répond à son intérêt pour la recherche scientifique, à son besoin de polyvalence et à son goût pour l’aide au diagnostic.

Elle part faire son internat de médecine nucléaire à Lille qui est un centre important, en France, dans la prise en charge des maladies neurologiques. Elle se spécialise alors en neurologie avec le Professeur Steinling qui lui prédit que l’avenir de l’imagerie fonctionnelle sera la fusion avec l’imagerie morphologique par IRM et le développement de radiotraceurs spécifiques. Elle soutient sa thèse de médecine sur « L’intérêt de la scintigraphie MIBI dans la récidive des tumeurs cérébrales et le suivi sous chimiothérapie ».

De retour à Rennes pour poursuivre son assistanat, elle intègre l’équipe de recherche EA 4712 « Comportements et noyaux gris centraux » dirigée par le Professeur Marc Vérin. En 2009 elle soutient sa thèse de sciences qui porte sur « L’étude par tomographie d’émission de positrons des modifications du métabolisme cérébral induites par la stimulation cérébrale profonde des noyaux sous thalamiques corrélativement avec les modifications psycho comportementales ».

Le docteur Florence Le Jeune est passionnée par les travaux qu’elle mène dans l’équipe du professeur Marc Vérin et du professeur Bruno Millet. A la croisée de la médecine et de la psychologie, les travaux de cette équipe multidisciplinaire cherchent en effet à comprendre quels sont les circuits neuronaux impliqués dans les processus émotionnels et motivationnels. Ces travaux sont actuellement précurseurs dans la recherche clinique mondiale en neurosciences.

Entre les entrainements de préparation aux courses à pied qu’elle pratique toujours pour le plaisir, cette marathonienne travaille sur ses projets de développement de nouveaux traceurs radioactifs qui permettront d’améliorer le diagnostic des maladies neurologiques et la recherche clinique en neurosciences.

Florence Tamagne est Maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l’Université Lille 3.

Florence Thiault est maîtresse de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université Rennes 2 (laboratoire PREFics) et co-responsable de l’URFIST Bretagne-Pays de la Loire.

Ses thèmes de recherche sont :

  • Pratiques informationnelles et cultures de l’information
  • Travail et identité des professionnels de l’information documentation
  • Usages et appropriation de dispositifs pédagogiques numériques
  • Circulation des savoirs dans les communautés en ligne

Maître de conférences en géographie, Université Rennes 2

Directeur d’ESO-Rennes (UMR CNRS 6590)

Florent Laroche est maître de conférences à l’Ecole Centrale de Nantes (F). Il travaille comme chercheur au sein du laboratoire IRCCyN (Institut de Recherche en Communication et Cybernétique de Nantes – UMR CNRS 6597).

Florent Villard est enseignant-chercheur à l’Institut de science politique et membre du laboratoire Arènes (UMR 6051). Cette unité de recherche pluridisciplinaire s’attache à comprendre les recompositions sociales et politiques contemporaines en mobilisant les techniques d’enquête de la sociologie, de l’analyse des politiques publiques ou l’exploration de l’histoire des groupes et institutions. Les domaines d’expertise de Florent Villard sont centrés sur les études chinoises, la critique postcoloniale, les cultural studies, l’histoire culturelle et intellectuelle, les études transculturelles et l’épistémologie.

Florian Cafiero débute le chant lyrique à l’âge de 13 ans auprès d’Hervé Caresmel (ENM La Rochelle/CNR de Bordeaux). Après une interruption pendant son cursus à l’Ecole Normale Supérieure puis à l’Ecole Polytechnique, il étudie le chant auprès du ténor Gérard Michelotti, et à l’Académie Sir Georg Solti, où il suit notamment les enseignements d’Angela Gheorghiu et Richard Bonynge. Il se perfectionne par ailleurs auprès d’artistes comme José Cura, Vladimir Chernov, June Anderson ou Ruggero Raimondi. En 2014-2015, il est membre du Studio de l’Opéra de Lyon.

Lauréat de concours comme le Concours des Amis du Grand-Théâtre de Bordeaux ou le Concours international des Châteaux du Médoc, il se voit décerner le titre de  Révélation Lyrique de l’année 2012 par l’ADAMI. Il est en 2015 lauréat de la fondation « Jeunes Talents ».

Parmi ses prises de rôle, notons Don José dans Carmen au Théâtre Mariinski – scène de Primorie, Pâris dans La Belle Hélène au Grand-Théâtre de Genève,Ferrando dans Cosi fan tutte au Théâtre Royal de la Monnaie – Bruxelles,   Wilhelm Meister dans Mignon de Thomas et Riccardo dans Un Ballo in Maschera à l’Opéra de Rennes, Spalanzani et les valets dans les Contes d’Hoffmann au Teatro Luciano Pavarotti de Modena, Pinkerton dans Madama Butterfly au théâtre Silvain de Marseille ou encore Alfredo dans La Traviata à l’Espace Pierre Cardin.

Ses projets cette saison incluent Madame Poiretapée dans Mesdames de La Halle à l’Opéra National de Lyon, De Cossé dans Les Huguenots de Meyerbeer à l’Opéra de Nice, der Verliebte von Morgen dans Royal Palace de Kurt Weill et II Tinca dans Il Tabarro à l’Opéra National de Montpellier.

Il se produit également en récitals, notamment aux Chorégies d’Orange, à l’Opéra National de Bordeaux, à l’Opéra National de Lorraine, au théâtre des Bouffes du Nord.

Florian Hémont est enseignant-chercheur sur des questions de “technologies d’organisation”, maître de conférences en Sciences de l’Information et de la Communication à l’université de Rennes 2
D’une manière générale, mes intérêts sont doubles :

  • autour des évolutions des médias audiovisuelles (réalité augmentée, webdocumentaires, etc.), avec une attention particulière sur les questions renouvelées de l’économie de l’attention ;
  • et le coeur de mon travail se constitue principalement autour du développement et de la mise en place de technologies numériques d’information-communication dans les organisations.

Actuellement, je travaille sur 2 projets de recherche :

  • METICS : Médiation des Technologies de l’Information et de la Communication dans l’expression de la Souffrance sociale : le cas des associations d’écoute et de prévention contre le suicide
  • BIM : analyse du développement des démarches qui visent à recourir à des maquettes numériques comme outil collaboratif entre les différents corps de métier du bâtiment, et ce, plus précisément dans le cas des offices HLM.

Florian Mazel est actuellement professeur d’histoire médiévale à l’université Rennes 2 et membre de l’Institut universitaire de France. Il est membre de l’équipe de recherche TEMPORA EA7468.

Ancien élève de l’École normale supérieure de Fontenay-Saint-Cloud (1991) et agrégé d’histoire (1994), Florian Mazel a soutenu sa thèse en 2000 à l’université de Provence Aix-Marseille I sous la direction de Noël Coulet.  Ses recherches portent sur l’histoire sociale du ixe au xiiie siècle et plus particulièrement sur l’aristocratie, le rôle de l’Église, les processus d’institutionnalisation et les questions spatiales et territoriales.

Francesca Frontini est maîtresse de conférences en linguistique informatique à l’université Paul-Valéry Montpellier 3.

Francine Dugast-Portes, Professeure émérite de littérature à l’Université Rennes 2 Haute-Bretagne. Elle a été Présidente de la Société des amis de Colette de 1989 à 1996. Elle a notamment publié Les Lettres de Colette à Annie de Pène et Germaine Beaumont (Flammarion, 1996), Colette, les pouvoirs de l’écriture aux Presses universitaires de Rennes (1999) et Le Nouveau Roman : une césure dans l’histoire du récit chez Nathan (2001). Elle a édité et présenté les Romans de Colette (Hachette, 2004), et Chez Colette, en collaboration avec Estelle Montbrun (Viviane Hamy, 2002, j’ai lu, 2004).

Francis Blanchemanche est le directeur artistique du CRÉA de l’Université Rennes 2 (Centre de Ressources et d’Etudes Audiovisuelles).

Francis Galibert, Professeur émérite à l’Université de Rennes 1, équipe Génétique du chien de l’UMR 6061 Institut génétique et développement de Rennes, IFR 140, a été élu à l’Académie nationale de médecine en section des sciences pharmaceutiques.

Animant sa production dans ses dimensions tant théoriques que formelles, ce principe de capillarité soutient une logique de métamorphose qui, de manière récurrente, caractérise l’approche sculpturale de Francis Raynaud. On pense ainsi à l’éponge, au sucre ou au beurre – fréquemment utilisés dans la composition de ses objets -, des éléments instables dont le devenir informe contamine leur environnement d’un sursaut d’aléatoire. Il y a une dynamique perpétuelle d’indétermination dans cette manière de faire de la sculpture, et sa finalité critique ne semble pas tant être dirigée contre l’institution que vers le spectateur, invité à partager une expérience intrusive et dégénérescente de la matière. Le parallèle avec la fonction métabolique du corps n’a ici rien d’anodin pour cet artiste ayant reçu une formation de cuisinier ; on pourrait même se demander si le corps, chez lui, ne constitue pas le support ultime de l’œuvre, dans une pratique inversée de l’art corporel. Ses expositions s’adressent ainsi non seulement aux sens, mais suggèrent une forme altérée de perception, laquelle s’incarne dans cette référence répétée à l’alcool, circulant à la surface des pièces où il s’infiltre comme dans les organes du public-consommateur. Dans cette familiarité confuse qui unit les œuvres et le public, les changements d’états exacerbent les phénomènes d’étrangeté, conduisent à l’impossible définition de la profonde nature des choses.

Extrait du texte Toujours trouble de Franck Balland, 2016

Directeur e-Education Center 2iE

Ingénieur Génie Electrique, titulaire d’un DESS en Génie Energétique et d’un Certificat en Management de HEC Paris.

Depuis 2006, il travaille sur les projets d’intégration des TIC dans la formation et la recherche à 2iE.

Directeur général du PRES UNAM (Pôle de recherche et d’enseignement supérieur université Nantes Angers Le Mans), ancien délégué régional à la recherche et à la technologie des Pays de la Loire.

Réalisateur de film documentaire, Franck Beyer a notamment travaillé sur les films La Fièvre des Arènes (26 minutes, 2011), Ceux d’en face (53 minutes, 2009), et Identités au pied du mur (52 minutes, 2005).

Franck Charneau est le Directeur adjoint de la cellule @ctice (qui a pour rôle de soutenir le développement de contenus, l’innovation pédagogique et l’exploitation optimale de nouveaux services universitaires), à l’Université de La Rochelle.

Maître de conférences en histoire médiévale à Université Rennes 2

Thèmes de recherche : Moyen-Age et Histoire politique et religieuse
Procès politiques, histoire de l’obéissance et de la rébellion, genèse médiévale de la chasse aux sorcières (XIVe-XVe siècles)
Thèse : « La Vauderie d’Arras. Une chasse aux sorcières à l’Automne du Moyen-Age », PUR, Rennes, 2006

Coordinateur du pôle « Développement web et multimédia » du SEMM de l’université de Lille 1.

Franck Scherrer est un géographe et urbaniste français.

Normalien de la rue d’Ulm, il obtient l’agrégation de géographie en 1983 et son doctorat en urbanisme auprès de l’Institut d’urbanisme de Paris de l’université Paris-Est Créteil Val-de-Marne en 1992. Maître de conférences, il est nommé professeur à l’Université Lumière Lyon 2 en 2000 et directeur de l’Institut d’Urbanisme de Lyon (IUL), structure de la faculté de Géographie, histoire, histoire de l’art, aménagement et tourisme de cette même université. Il est nommé en septembre 2010 directeur de l’Institut d’urbanisme de l’Université de Montréal. Il a par ailleurs enseigné à l’Université libanaise et à l’Université Tongji de Shanghai.
Il dirige en 2000 l’ouvrage collectif Repenser le territoire : Un dictionnaire critique. Il est par ailleurs l’auteur de nombreux ouvrages sur l’urbanisme lyonnais ainsi que de plusieurs notices de l’Encyclopædia Universalis sur la région.
Il est président de l’Association pour la Promotion de l’Enseignement et de la Recherche en Aménagement et Urbanisme – International (APERAU) qui regroupe les instituts d’urbanisme francophone. Il est membre du comité d’orientation du CERTU.

Franck-Emmanuel Lepretre est membre du laboratoire de recherche d’agroécologie du paysage du département SAD (Sciences pour l’Action et le Développement Paysages) à l’INRA.

François Bissège est ingénieur de recherche à l’École des Hautes Études en Santé Publique au laboratoire ARENES (UMR 6051).

François Chochon est architecte et maître d’oeuvre. Il a notamment conçu les Laboratoires Universitaires de Créteil, l’Université de Biologie de Paris 7 (Le Buffon : UFR des Sciences de la Vie et Institut Jacques Monod), l’espace culturel des Ateliers du Jour à Montceau-les-Mines (Bourgogne), le collège Pierre et Marie Curie d’Hennebont (Morbihan), ou encore le Conservatoire à Rayonnement Régional d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis).

François Dumont est pianiste soliste, il est lauréat des plus grands concours internationaux : le concours Reine Elisabeth à Bruxelles en 2007, le Concours Chopin de Varsovie en 2010 dont le jury, à l’occasion du bicentenaire, réunissait notamment Martha Argerich et Nelson Freire, et en 2102, les Piano Masters de Montecarlo. Il est également finaliste des concours Clara Haskil en Suisse, Hamamatsu au Japon, Coucours Euopéen de piano, Premier Prix des Concours Jean Françaix et Steinway, Grand Prix de piano de la  Spedidam.
Il est nominé aux Victoires de la musique en 2011, dans la catégorie “soliste instrumental”.
En 2012, il reçoit le Prix de la Révélation de la Critique Musicale Française.

Né en 1985, François Dumont est formé par Chrystel Saussac au Conservatoire de Région de Lyon avant d’être admis à l’âge de quatorze ans au C.N.S.M.D de Paris où il travaille avec Bruno Rigutto et Hervé Billaut.

Il a notamment joué  au Théâtre du Châtelet, Salle Gaveau, Salle Pleyel, Auditoriums de Lyon et du Musée d’Orsay, Salle Cortot, de même qu’il participe régulièrement à diverses émissions sur France Musique, dont « Dans la cour des grands » et « Génération Jeunes Interprètes » de Gaëlle Le Gallic.

A l’étranger, parallèlement à des récitals en Allemagne, Pologne, Brésil et Mexique, il joue avec l’Orchestre de chambre de Lausanne, sous la direction de Jesus Lopez-Cobos, l’Orchestre National de Belgique, les Philharmoniques de Varsovie (direction Antoni Wit) et Cracovie, l’orchestre de Cannes et l’orchestre Philharmonique de Montecarlo sous la direction de Philippe Bender, le Tokyo Symphony, le Fortworth symphony aux Etats-Unis, le Philharmonique de Wuhan en Chine, l’orchestre symphonique de Liepaja lors du Piano Stars Festival en Lettonie.
En 2011, il fait ses débuts à Saint-Pétersbourg avec l’orchestre du Théâtre Mariinsky dans le Concerto n°1 de Tchaïkovsky.
En 2012 il joue notamment le Concerto de Brahms avec l’Orchestre de Bretagne, sous la direction d’Arie van Beek, le Concerto en sol de Ravel avec l’orchestre de la Gare Républicaine (direction François Boulanger) pour la clôture des Journées Ravel de Montfort l’Amaury.

En musique de chambre, il a donné aux Etats-Unis l’intégrale des Sonates pour violon et piano de Beethoven avec Stéphane Tran-Ngoc. Il se produit également en duo avec Julien Szulman, pour Radio-France, Helen Kearns pour la radio suisse-italienne à Lugano et avec le Quatuor Debussy dans le cadre de la Société de Musique de chambre de Lyon, ou encore au Musée d’Orsay.

Enfin, avec Virginie Constant et Laurent Le Flécher, il a créé le Trio Elégiaque, dont le premier enregistrement (Dusapin-Messiaen) a été récompensé par un Diapason d’Or, 4 étoiles du Monde de la musique et la Clé de sol de Res Musica. Leur second disque chez Triton, consacré à des compositeurs russes (Arensky, Rachmaninov, Rimsky-Korsakov) a été récompensé par 5 Diapasons, le Coup de coeur d’Alain Duault et le Coup de Coeur de Radio Classique.
En avril 2011, le Trio Elégiaque a joué l’intégrale des trios de Beethoven  à l’Opéra Comique, à Paris ; l’intégrale Beethoven est en préparation au disque pour Brilliant Classics.

François Dumont s’est produit dernièrement au Festival Radio-France Montpellier, Festival Chopin à Bagatelle, Festival « Chopin and his Europe » à Varsovie, Festival Messiaen de la Meije, Festival de Ljubljana en Slovénie, Kennedy Center à Washington.

Sa discographie en soliste comprend l’intégrale des Sonates de Mozart chez Anima Records (Maestro de la Revue Pianiste), un disque Chopin chez Artalinna ainsi qu’un double album contenant les épreuves du Concours Chopin publié par l’Institut Chopin de Varsovie. A paraître, l’intégrale de l’oeuvre pour piano de Maurice Ravel chez Piano Classics.

François Erlenbach est le Directeur de la DRAC Bretagne (Direction régionale des affaires culturelles), et l’ancien Directeur de la DRAC Haute-Normandie.

Responsable relations entreprises Bretagne, APEC.

François Gaboriau est directeur de recherche au CNRS. Il exerce à l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale – UMR 991) à Rennes.

François Graner est Directeur de recherche de 2è classe au Laboratoire Matière et Systèmes Complexes UMR 7057, CNRS, Université Paris 7

Résumé des travaux de recherche :
Ses recherches depuis 1990 sont motivées par l’observation de la régénération d’un petit animal, l’hydre d’eau douce. Pour comprendre les divers aspects de ce fascinant phénomène, il a choisi de le subdiviser en questions de physique traitables. Pour cela, il a mené des recherches de physique statistique: en biophysique, ainsi que sur des systèmes modèles plus simples en physique de la matière molle.

Il cherche à comprendre les relations entre les différentes échelles : d’une part le niveau microscopique, celui des molécules ; ensuite le niveau des parois, comme les films de savon ou les membranes de cellules ;enfin notre échelle quotidienne, celle des mousses et des tissus de cellules.

En enseignement, de même qu’en vulgarisation, il cherche à développer l’analyse et l’intuition physique, ainsi que le lien entre la théorie et la réalité. Il cherche également à rapprocher le monde microscopique et le monde qui nous entoure, la démarche scientifique et la vie quotidienne.
Il a développé ces aspects dans son enseignement aux candidats à l’Agrégation. Il a aussi introduit dans le concours des ENS des questions portant sur la physique de la vie quotidienne, et sur les méthodes d’analyse des données expérimentales. Cela se traduit dans ses livres d’enseignement.

Il a dispensé ou dispense les cours suivants : « Biologie Systémique et Intégrative », cours de M2, Paris ; « Introduction à la matière molle », cours de M1, Paris ; « La courbure en matière molle », cours d’école doctorale, Grenoble ; « Physique de la matière molle », cours de DEA, Grenoble ; « Introduction à la physique », magistère de mathématiques, ENS Cachan.

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