Univesité Rennes 2
Contributeur Personne
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Chercheuse au laboratoire Biosit à Rennes 1 en Sciences de la Vie et de l’Environnement (SVE) : Interactions Cellulaires et Moléculaires (ICM)

Post-doctorante
Thèmes de recherche : Histoire maritime, histoire politique, histoire des représentations, îles Britanniques, France, anciens Pays-Bas, Islande, mondes scandinaves, mondes celtiques, XIIIe siècle, XIVe siècle, XVe siècle (bas Moyen Âge).
Thèse (soutenue le 23 septembre 2011) : « La perception de la mer dans l’Europe du Nord-Ouest à la fin du Moyen Âge (XIIIe-XVe siècle environ) », dir. Jean-Luc Sarrazin

Après avoir suivi une formation artistique variée (danse, théâtre, musique, sciences politiques et japonais), Frédérique Lombart écrit pour le théâtre, le cinéma, la télévision, ainsi que des livres pour enfants. Elle a également animé des ateliers de théâtre et de danse pour les patients de l’hôpital psychiatrique Sainte-Anne à Paris. Elle signe la mise en scène du Cid de Massenet au Festival de Manaus en mai 2009, de Carmen à l’Opéra de Toulon en novembre 2010 et de En Mêlée pour la Compagnie La Boîte à Rêves à Bézier en juin 2011.
Depuis 1995 elle a été la collaboratrice artistique de Jérôme Savary dans ses diverses productions lyriques, et met en scène Le Comte Ory au Festival de Glyndebourne, au Teatro Regio de Turin, au Capitole de Toulouse, à l’Opéra-Comique et au Grand Théâtre de Liège, La Cenerentola à l’Opéra de Paris-Garnier et au Teatro Real de Madrid, Quatorze Juillet de Franklin Le Naour à l’Opéra de Montpellier, Carmen 2, le retour au Regio de Turin, La Vie Parisienne à l’Opéra-Comique, à l’Opéra de Leipzig, au Kennedy Center de Washington et à l’Opéra de Lausanne ainsi qu’à l’opéra de Shanghai, Carmen aux Chorégies d’Orange, à l’Opéra de Séoul et à la Japan Opera Fondation de Tokyo, Le Barbier de Séville au Teatro Verdi de Trieste, à l’Opéra de Massy, à l’Opéra d’Avignon et à l’Opéra-Comique, à l’Opéra de Marseille et à l’Opéra de Toulon, La Veuve joyeuse à l’Opéra-Comique et à l’Opéra de Lausanne, au Théâre Royal de Wallonie de Liège, à l’Opéra de Dresden, La Périchole à l’Opéra Comique, au Théâtre Verdi de Trieste, au French May à Hong Kong, La Belle Hélène à l’Opéra Comique, à l’Opéra de Lausanne ainsi qu’à l’Opéra de Marseille en décembre 2010, L’Étoile au Grand Théâtre de Genève.
Elle est aussi collaboratrice artistique de metteurs en scène tels que Eric Vigner pour Antigona (chorégraphie et musique) à l’Opéra de Montpellier et au Théâtre du Châtelet et pour Le Bourgeois Gentilhomme avec le Théâtre National de Séoul à Séoul, Lorient et au Théâtre National de l’Opéra-Comique; David et Federico Alagna pour Cyrano de Bergerac à l’Opéra de Montpellier et à l’Opéra de Monte Carlo ; Jean-Romain Vesperini pour La Traviata à l’Opéra de Limoges, de Reims et de Rennes … Elle est assistante des metteurs en scène Jean-Louis Martinotiy, John Cox, Robert Carsen, Richard Foreman, Tobias Richter, Emilio Sagi, Francesca Lattuada, Jonathan Miller, Nick Broadhurst…
Au cinéma Frédérique Lombart est conseillère musicale et chorégraphique pour les films Il est plus facile pour un chameau et Actrices de Valéria Bruni-Tedeschi, et elle est également chorégraphe pour Les Sentiments de Noémie Lvovski.

Maître de conférence et praticien hospitalier, au Pôle hospitalo-universitaire de psychiatrie adulte, Rennes.

Gaël Henaff est Maître de conférences en droit privé à l’Université Rennes 2, CIAPHS (EA 2241).

Gaëlle Namont est Chargée du suivi des politiques locales de l’habitat au Conseil Régional de Bretagne.
Urbaniste de formation, elle est très intéressée par l’animation des politiques publiques, les études et les projets. L’accompagnement des territoires urbains et ruraux dans la recherche de solutions et d’innovations sociales et environnementales dans leurs projets et leurs politiques d’aménagement et d’équipement la motive particulièrement. L’habitat est un domaine qui retient toute son attention.

Etudiant Université Rennes 2 – 1989.

Gaëtan Burgaud est responsable pédagogique 1re année de l’ESMISAB (Ecole Supérieure de Microbiologie et de Sécurité Alimentaire de Brest).

Vice-présidente chargée de la recherche, université Rennes 2

Gary Romagny est étudiant en master 2 numérique et intéractivité pour le cinéma et l’audiovisuel (NUMIC) à l’université Rennes2. Après avoir obtenu un baccalauréat scientifique, Gary décide de se lancer dans des études de cinéma pour approcher le domaine de l’audiovisuel. Apres 4 années d’études dans le domaine cinématographique, il entame un master II professionnel, engageant des connaissances techniques dans le domaine de la valorisation, de l’édition, du web, de l’image et de l’audiovisuel.

Gauthier Aubert est professeur en histoire moderne à l’université Rennes 2 et membre du laboratoire de recherche Tempora (EA 7468). Directeur du département d’Histoire, il est également co-responsable du master médiation du patrimoine et de l’histoire en Europe. Ses recherches sont orientées sur les rapports entre élites, pouvoirs et savoirs aux XVIIè et XVIIIè siècles : histoire des parlements, histoire des conflits politiques (révoltes, répression) et histoire urbaine (institutions, société et historiographie).

Geneviève Fioraso est ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche depuis le 16 mai 2012. Elle était jusqu’alors députée de la première circonscription de l’Isère depuis juin 2007.

Membre du parti Socialiste, elle était  en charge de l’innovation, dans l’équipe de campagne de François Hollande. La ministre de l’Enseignement supérieur et la recherche occupait depuis 2008, les fonctions d’adjointe à l’économie, à l’université et à la recherche de la ville de Grenoble, après avoir été adjointe à l’économie, à l’innovation, au commerce et à l’artisanat durant le précédent mandat, et 1re vice-présidente de la Métro, la communauté d’agglomération de Grenoble, chargée du développement économique.

Élève d’hypokhâgne, Geneviève Fioraso poursuit ses études et obtient deux maîtrises (d’anglais et d’économie). De 1975 à 1978, elle exerce comme professeur d’anglais et d’économie dans une zone prioritaire puis au GRETA d’Amiens auprès de jeunes décrocheurs.

En 1978, elle quitte l’enseignement et s’installe à Grenoble où elle est d’abord chargée d’information puis responsable de la documentation presse à la Ville de Grenoble, elle collabore notamment avec Hubert Dubedout, député-maire de Grenoble, et elle devient son attachée parlementaire en 1983. En 1987, Geneviève Fioraso participe à la fondation d’Agiremploi, association d’insertion des jeunes dont elle devient administratrice.

De 1989-1995 elle est cadre de direction d’une start-up du CEA, Corys, où elle s’occupe des projets européens et de recherche et développement, pour améliorer la sûreté des centrales nucléaires et thermiques. Elu maire de Grenoble en 1995, Michel Destot la sollicite pour être sa directrice de cabinet, où elle suit notamment les dossiers de l’économie, de la recherche, enseignement supérieur, CHU et de l’innovation

De 1999 à 2001, elle occupe le poste de directrice fondatrice de l’Agence régionale du numérique, mise en place par le réseau des villes Rhône-Alpes, pour assurer la diffusion du numérique dans les PME de Rhône-Alpes.  Entre 2001 et 2004, Geneviève Fioraso occupe un poste de cadre marketing à France Télécom Grenoble, en charge des marchés émergents dans le secteur social-santé. Par ailleurs et depuis 2003, Geneviève Fioraso est PDG de la Sem Minatec Entreprises, plateforme de valorisation industrielle du campus d’innovation Minatec, dédié aux micro et nanotechnologies.

En tant que députée de la première circonscription de l’Isère, Geneviève Fioraso, est membre de la Commission des Affaires Economiques, membre de l’Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST). Elle a été rapporteur pour avis des budgets sur l’industrie, l’énergie, le développement durable, la recherche technologique en 2009, 2010 et 2011.

Elle a rédigé le rapport sur l’évaluation de l’application de l’article 19 de la loi de programme pour la recherche avec Claude Birraux, député et président de l’OPECST et Jean-Claude Etienne, sénateur (décembre 2008). Elle a également présidé le forum pour l’Enseignement supérieur et la Recherche du parti socialiste, présenté à Toulouse en mai 2011 dans le cadre des propositions pour 2012.

Corps-grade :
– Professeure certifiée, CAPES « Ingénierie de formation » affectée au rectorat de Rennes et  détachée à l’IUFM de Bretagne .
– Chargée de mission « Formation et Recherche » à l’IUFM de Bretagne.
– Responsable de la conception et la mise en œuvre du plan de formation de formateurs en lien avec la recherche.

Unités de recherche d’appartenance :
Centre de Recherche Education Apprentissage Didactique (CREAD – Université de Rennes 2 – IUFM de Bretagne, équipe d’accueil no 3875, sous la responsabilité de Gérard Sensevy)

– Membre du groupe de Recherche IUFM « Conception de modalités de travail à distance dans le cadre de la formation initiale des enseignants », intégré dans l’ERTé CALICO (Communautés d’apprentissage en ligne, instrumentation, collaboration),  INRP-ENS Cachan (sous la responsabilité de Eric Bruillard)
– Membre invité du Centre de Recherche Education et Formation (EA 1589) Université Paris X Nanterre : Secteur « Savoirs et rapport au savoir » (sous la responsabilité de Philippe Carré).
– Membre de l’association du groupe de recherche sur l’autoformation (AGRAF)

Enseignante associée à l’Institut National de Recherche Pédagogique, Mission « formation de formateurs ».

Geoffrey Williams est professeur en sciences du langage à l’Université Bretagne Sud. Il est membre du groupe de travail Humanités numériques de la Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne.

Georges Chapouthier est philosophe et neurobiologiste au Centre émotion-remédiation et réalité virtuelle (CNRS, Université Pierre et Marie Curie, hôpital Pitié-Salpêtrière de Paris)

Maître de conférence en sciences de l’éducation à l’Université de Nantes.

Maître de conférences – Université Rennes 2

Thèmes de recherche :
Histoire religieuse et culturelle des XVIIe et XVIIIe siècles (domaine breton principalement)
Pèlerinages en France, XVIe-XVIIIe siècles

Recherches actuelles :
Cultes urbains et religion civique

Thèse : « La fête et le sacré. Pardons et pèlerinages en Bretagne aux XVIIe et XVIIIe siècles », Paris, Le Cerf, 1998, 530 p. Version publiée de la thèse de doctorat

Gérald Roux est journaliste-chroniqueur sur France Info.

Maîtresse de conférences en sociologie, INSPE et Département de sociologie de l’Université de Côte d’Azur.

Géraldine Gaudefroy-Demombynes est Maître de conférences hors classe en musicologie, Histoire de la musique, section CNU 22.

Professeur associé en Musicologie, attaché au laboratoire Histoire et critique des Arts EA 1279 Rennes 2, responsable des étudiants de Licence 2.

Responsable atelier pratique « Choeur d’opéra baroque » : recréation mondiale des choeurs de la tragédie en musique Thétis et Pélée (1689) de Fontenelle et Collasse 11 avril 2017 (en collaboration avec Claude Hamon, directeur musical, orchestre baroque de la Flume), « Pôle numérique » , production CREA (Rennes 2).

Géraldine Guérillot est coordinatrice du GIS Marsouin et responsable de l’observatoire OMNI.

Géraldine Lay est née en 1972. Diplômée de l’Ecole nationale supérieure de la photographie en 1997, elle vit et travaille à Arles. Après une formation aux métiers du livre à Nantes (CECOFOP), elle commence en 1998 à travailler aux Editions Actes Sud où elle est aujourd’hui responsable de fabrication.

En 2003, elle s’associe à trois photographes, Céline Clanet, François Deladerrière, Geoffroy Mathieu, et participe à une exposition collective à la galerie De Visu à Marseille, sous le nom d’Un mince vernis de réalité. Cette exposition est ensuite reprise à la Galerie Madé, à Paris ; puis au festival Voies Off, à Arles en juillet 2004. Un recueil publié en avril 2005 aux éditions Filigranes lui aussi intitulé Un mince vernis de réalité, témoigne du travail commun des quatre photographes, ainsi qu’un site internet www.unmincevernisderealite.com.

Au printemps 2005, Géraldine Lay prend part à l’exposition collective Les pépinières du Réverbère, à Lyon, à la galerie Le Réverbère  qui, dès lors, représente son travail et l’expose à la foire Paris Photo au Carrousel du Louvre en novembre 2005 et novembre 2009, à la galerie en mars 2009 pour les séries L’illusion du tranquille et la résidence à Beauvais en 2011.

En 2006, elle obtient la bourse d’aide à la création « Septembre de la Photographie 2006 » de Lyon, pour un travail de portraits réalisés dans les rues de Rome. Ce travail a été poursuivi lors d’un séjour à Helsinki en mai 2006, à Hambourg en février 2007, en Norvège en mars 2009 et obtient une bourse d’aide à la création de la Région PACA, en 2007. Cette série, Les failles ordinaires, sera exposée aux Photaumnales de Beauvais en septembre 2008, à l’atelier De Visu en 2010, à la galerie le Réverbère en 2011. Elle est invitée ensuite à poursuivre ce travail à Glasgow en mai 2009 pour le projet Destination Europe des Photaumnales. Puis elle sera la résidente des Photaumnales 2010 et elle publie aux Editions Diaphane le livre Où commence la scène, avec une préface de François Bon.

En mars et septembre 2007, le Centre d’art contemporain Chapelle Saint-Jacques à Saint-Gaudens et Image/imatge à Orthez l’invitent en résidence sur le thème de « L’illusion du tranquille ». Ce travail est exposé en juin 2008 à Image/image à Orthez et en octobre 2008 à la Chapelle Saint-Jacques de Saint-Gaudens. Entre temps, elle expose ses deux séries  Les failles ordinaires et L’illusion du tranquille à Chambéry à l’Espace Malraux en mars 2008.

Elle expose en avril 2012 à l’artothèque municipale de Grenoble, en mai 2012 à la galerie du Château d’eau à Toulouse, et enfin au Capitole pendant les Rencontres Internationales de la photographie . Une monographie est publiée aux Editions Actes Sud, Failles ordinaires à cette occasion avec une préface de Jacques Damez.

Membre de l’Académie des sciences, Gérard Berry est Professeur au Collège de France, chaire Algorithmes, machines et languages.
Il travaille sur les langages de programmation, leur sémantique mathématique, la compilation de ces langages sur cibles matérielles ou logicielles, et la vérification formelle des programmes et des circuits électroniques. Ses travaux ont concerné trois types de domaines : les langages de programmation fonctionnels, les langages parallèles et temps-réel, et les circuits électroniques.

Gérard Biardeau, Vice-président au TGI de Limoges, ancien enseignant à l’ENM Bordeaux

Gérard Blanchard a été élu vice-président de la CPU (Conférence des présidents d’université) en décembre 2012. Réélu à la présidence de l’université de La Rochelle en avril 2012, il est à la tête de l’établissement depuis avril 2008.

Il a été président du PRES (Pôle de recherche et d’enseignement supérieur) Limousin Poitou-Charentes entre septembre 2009 et septembre 2011.

Après une thèse de doctorat soutenue à l’université de Bordeaux 1, Gérard Blanchard passe un an et demi comme chargé de recherche à l’université du Texas à Austin puis devient chargé de recherche à l’UMR CNRS-IFREMER CREMA (Centre de recherche en écologie marine et aquaculture) de L’Houmeau.

Professeur des universités à partir de 1998 à l’université de La Rochelle, il y occupe des fonctions de directeur de DEA et de laboratoire, avant d’être élu vice-président du conseil scientifique entre 2003 et 2008.

Spécialiste d’écologie marine, il est l’auteur d’une cinquantaine d’articles scientifiques. Responsable scientifique de programmes de recherche français et européens, il est jusqu’en 2013 en charge du projet Littoral dans le cadre du contrat de Plan Etat-région de Poitou-Charentes.

Le Professeur Gérard Chalès exerce au CHU de Rennes. Ses domaines d’expertise sont la rhumatologie, la spondylarthrite, l’hémochromatose et l’ostéoporose. Il est également chercheur en hémochromatose et ostéoporose.

Gérard Férey est Professeur émérite à l’Université de Versailles-Saint Quentin (UVSQ). Il est membre de l’Académie des Sciences.

Gérard Férey est un physico-chimiste des solides et des matériaux. D’abord spécialiste de la cristallochimie des fluorures inorganiques, il étudie actuellement les solides poreux à squelette inorganique et/ou hybride dont l’importance est considérable notamment en pétrochimie, en catalyse, en séparation de gaz et en chimie fine. Il en a établi les mécanismes de formation puis, en combinant une chimie maîtrisée en milieu hydrothermal avec des techniques de simulation numérique, il est actuellement le seul à prédire la structure des solides poreux hybrides, en particulier celle des premiers solides mésoporeux cristallisés dont le volume avoisine celui des protéines. Les applications de ses matériaux concernent le stockage d’hydrogène, le captage du CO2, les matériaux d’électrode et, plus récemment, le stockage et le relarguage de médicaments.

Gérard Genette est agrégé de Lettres (Ecole Normale Supérieure, Paris). Il a enseigné à la Sorbonne ainsi qu’à l’Ecole pratique des Hautes études (EPHE), à l’Ecole des Hautes études en sciences sociales (EHESS) ainsi qu’ à Yale (USA). En 1970 il a fondé avec Todorov la revue Poétique. Spécialiste de l’analyse littéraire, il a étudié les différents aspects du discours narratif [la narratologie], les mécanismes du langage et les relations des textes entre eux [la transtextualité] : Figures (1966-1972), Nouveau Discours du récit (1983), Palimpsestes : la littérature au second degré (1982)… A partir de 1992, Gérard Genette s’intéresse à l’esthétique : L’Œuvre de l’art (1992, 1997).

Gérard Poulouin est enseignant au Centre d’enseignement du français pour étrangers de l’Université de Caen Basse-Normandie, membre de l’équipe de recherche Textes Histoire Langage, et co-fondateur de l’Université populaire de Caen.

Géraud de Marcillac est invité permanent du bureau de l’Université Rennes 2, il est Responsable de la cellule pilotage.

Spécialiste de la sociologie des organisations Gerhard Krauss est maître de conférence à l’université Rennes 2 et chercheur au laboratoire Espaces et sociétés (ESO UMR CNRS 6590). Il s’intéresse, depuis quelques années, aux nouvelles formes d’organisation du travail dans les « tiers-lieux » et coordonne un groupe de recherche franco-canadien sur ce sujet. Il obtient, en 2016, la labellisation par la Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne (MSHB) de son projet INTIMIDE également cofinancé par le GIS M@rsouin. Cette recherche intitulée « Tiers lieux et nouveaux modes d’innovation : le cas des entrepreneurs de ville petite et moyenne » a obtenu en octobre 2018, un nouveau financement par l’Agence Nationale de la Recherche. Ce dernier intitulé “PERI#WORK” s’intéresse plus précisément au travail dans les espaces de travail collaboratif hors métropole et leur rôle dans le cadre d’un nouveau système de mobilités.

Germain Huard est scénariste pour la télévision. Il a notamment écrit en 2012 : Speculum sujet original de l’auteur – projet de série de 6 épisodes de 52 minutes – option chez CAPA DRAMA ; et en 2011: Le regard des loups (mini série 4×52′) sujet original de l’auteur – concept & personnages co écrit avec Stephane Pannetier – Option chez CAPA DRAMA.

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