Chef d’Orchestre.
Jean-Michel Salaün,Professeur à l’ENS de Lyon, responsable du Master « Architecture de l’information«
Jean-Nicolas Renaud est maître de conférences en sciences et techniques des activités physiques et sportives à l’École normale supérieure Rennes, au laboratoire VIPS (EA 4636).
Jean-Noël Darde est Maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université Paris-VIII Saint-Denis.
Artiste français
Responsable documentaire à l’INA Atlantique (Institut national audiovisuel).
Scénariste né le 1957 (Belge)
Jean-Paul Midant est docteur en histoire, spécialisé dans l’étude de l’art décoratif et de l’architecture aux XIXe et XXe siècles. Son temps se partage entre l’enseignement dans une école d’architecture, la réalisation de livres d’art et l’écriture de scénariis. Pour les Editions du Lombard et sous le nom de Michel Danverre, il a réalisé trois albums avec le dessinateur belge Peter Li. Avec Patrick Lesueur, il travaille sur la série Douglas Dunkerk depuis 1991.
Activité d’enseignement et de recherche à l’ENSA Paris-Belleville :
Champ disciplinaire : Histoire et cultures architecturales
Chercheur au laboratoire IPRAUS, ENSA Paris-Belleville
Formation universitaire
– Docteur en Histoire et Civilisations, Université de Lyon 2, 1992
– DEA, histoire de l’art, Université de Rennes 2, 1986
– Maîtrise d’histoire de l’art, Université de Rennes 2, 1985
– Licence Archéologie et Histoire de l’Art, Université de Paris IV Sorbonne, 1984
– Qualification académique en préparation
– Habilitation à diriger les recherches
Thèmes de recherche :
Bruxelles : architectures des XIXe et XXe siècles Art et architecture en France
Paris : l’architecture des spectacles aux XIXe et XXe siècles Patrimoine aux XIXe et XXe siècles en France.
Direction des technologies de l’information et de la communication (DTIC) au pôle production pédagogique, Université François Rabelais de Tours.
– Professeur de droit privé à l’Université de Poitiers
– Expert auprès de la Commission européenne
– DEA droit économique (Orléans)
– Doctorat en droit (université d’Orléans). Sujet de thèse : La notion de prestation de sécurité sociale en droit communautaire
Jean-Philippe Quignon a été journaliste au Télégramme de 1993 à 2010, où il a été successivement chef de rédaction à Guingamp et à Morlaix où il dirigeait l’antenne locale du journal, et coprésident bénévole du Festival des Vieilles Charrues depuis 1998.
Très impliqué dans la vie associative musicale en Bretagne, Jean Philippe Quignon a d’abord œuvré au festival Tamaris de Carantec et Morlaix entre 1988 et 1992, puis aux Hespérides de Plounéour-Trez dans le Finistère.
C’est en 1998 qu’il intègre l’équipe organisatrice du Festival des Vieilles Charrues de Carhaix en tant que co-programmateur. Il devient ensuite co-président de l’évènement en conservant son statut de bénévole.
Son action a marqué l’histoire des trois dernières décennies de la musique en Bretagne. Il laisse derrière lui le plus grand festival de musiques actuelles de France.
Il meurt d’un cancer le 7 septembre 2012.
Chirurgien et Professeur au service de chirurgie thoracique cardiaque et vasculaire du centre hospitalier régional de Rennes
Jean-Pierre Beauviala, ingénieur et fondateur de la société Aaton, est – entre autre – l’inventeur de la mini-caméra Paluche, de l’enregistreur sonore numérique Cantar ou de la caméra hybride Pénélope.
Spécialiste du décor de cinéma, Jean-Pierre Berthomé enseignait au département cinéma de l’Université de Rennes 2. Il a développé plusieurs modules d’études sur l’histoire et l’analyse du décor de cinéma dans les écoles spécialisées (FEMIS, ENSAD…). Il a longtemps collaboré à la revue Positif.
Jean-Pierre Bibring est un astrophysicien français.
Il est responsable de l’équipe « Système solaire et systèmes planétaires » à l’IAS (Institut d’Astrophysique Spatiale) et professeur à l’Université Paris Sud 11.
Jean-Pierre Guillou est secrétaire Général Technicolor, en charge du développement des compétences pendant 12 ans au sein de Technicolor.
Producteur, réalisateur, scénariste de cinéma à JPL Films.
Jean-Pierre Lethuillier, Maître de conférences en histoire moderne, Université Rennes 2
Thèse
Idéologie et mentalités : l’essor de l’individualisme en Basse-Normandie, 1660-1850. Version dactylographiée de la thèse de doctorat.
Thèmes de recherche
Pratiques vestimentaires, histoire du corps et des apparences (XVIIe-XIXe siècle).
Le portrait en France au XVIIe-XIXe siècle.
Individu et individualisation.
Recherches actuelles
Préparation d’une HDR : La représentation de l’individu dans la peinture de portrait en France (début du XVIIIe-milieu du XIXe siècle)
Jean-Pierre Luminet (né en 1951) est un astrophysicien, conférencier, écrivain et poète français, spécialiste de réputation mondiale des trous noirs et de la cosmologie. Il est directeur de recherches au CNRS, membre du Laboratoire Univers et Théories (LUTH) de l’observatoire de Paris-Meudon. En 1979, Jean-Pierre Luminet a été le premier à simuler les distorsions optiques causées par le champ gravitationnel d’un trou noir, travaux réalisés à l’époque pour tenter de visualiser cet élément invisible de l’univers sans l’aide d’outils informatiques modernes.
En 1982, il a été parmi les premiers à étudier, avec le physicien Brandon Carter, les effets du passage d’une étoile au voisinage d’un trou noir supermassif. Il a montré que ce phénomène pouvait se traduire, entre autres, par une destruction de l’étoile sous forme de crêpe astrale (selon son vocabulaire) en raison des effets de marée intenses causés par la proximité du trou noir, causant une réactivation des réactions nucléaires au sein des débris de celle-ci et pouvant donner lieu à une signature observationnelle de ce type de trou noir dans des galaxies lointaines. Cet effet a été observé pour la première fois plus de vingt ans après, en 2004 grâce aux satellites Chandra et XMM-Newton.
Depuis 1995, il s’est intéressé à la topologie de l’Univers6, en collaboration avec plusieurs chercheurs, dont Marc Lachièze-Rey, Roland Lehoucq, Alain Riazuelo, Jean-Philippe Uzan et Jeffrey Weeks. Il a traduit l’idée que l’univers puisse être d’extension spatiale finie mais sans bord par le terme d’« univers chiffonné », bien que ce terme ne soit guère utilisé par la communauté scientifique, qui lui préfère celui de topologie non simplement connexe.
En 2003, il a proposé d’interpréter certaines anomalies dans les anisotropies du fond diffus cosmologique observée par le satellite WMAP comme résultant de la signature que l’univers aurait une courbure spatiale positive et la topologie d’un espace dodécaédrique de Poincaré. Jean-Pierre Luminet est également spécialiste de l’histoire de la cosmologie et en particulier de l’émergence du concept du Big Bang, auprès duquel le nom de Georges Lemaître est, selon lui, injustement mis en retrait.
Jean-Pierre Luminet est surtout connu du grand public francophone pour ses nombreux ouvrages de vulgarisation, qui lui ont valu plusieurs prix, dont le Prix Georges Lemaître en 1999 – conjointement avec Dominique Lambert, philosophe des sciences – et également pour ses talents de conférencier. Il est également auteur de trois romans et de plusieurs recueils de poésie. Il aime établir des liens convergents entre la poésie, l’art, les artistes et les sciences.
Docteur en préhistoire, il est conservateur général du patrimoine et directeur du Centre de Recherche et de Restauration des Musées de France à Paris. Ses ouvrages concernent en particulier l’archéologie protohistorique.
Carrière :
– Conservateur des musées de France (1967).
– Directeur des fouilles de Bougon de 1972 à 1987, des fouilles de Fort Harrouard de 1984 à 1988.
– Conservateur en chef du musée des antiquités nationales à Saint-Germain-en-Laye de 1987 à 1992.
– Conservateur général du patrimoine (1990).
– Adjoint au directeur des musées de France de 1992 à 1993.
– Directeur du laboratoire de recherche de 1994 à 1998 puis du centre de recherche et de restauration de 1999 à 2005 des Musées de France.
– Directeur de l’unité mixte de recherche 171 du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) (1996).
– Directeur du département du patrimoine et des collections du Musée du quai Branly depuis 2005.
Ancien Élève de l’ENS de Saint-Cloud, agrégé de Lettres modernes en 1981, docteur d’État en 1993, Jean-Pierre Montier a enseigné en collèges et en lycées avant d’être recruté à l’Université Rennes 2 comme PRAG, puis Maître de conférences, et a été nommé Professeur en 2001. Il a été vice-président de l’Université Rennes 2 en charge de la politique culturelle de 1996 à 2001. Il dirige le CELAM depuis 2003. Ses travaux portent sur les rapports Textes/Images, et plus spécifiquement entre Littérature et Photographie.
Jean-Pierre Raynaud est un plasticien français, né à Courbevoie le 20 avril 1939.
Après son diplôme d’horticulture obtenu en 1958, il réalise des œuvres à partir de sens interdits et de pots de fleur remplis de ciment et utilise le carrelage blanc en céramique avec joints noirs. Ces derniers deviendront rapidement la marque de fabrique de l’artiste. Les signes forts de la société s’inscriront dans son œuvre. En 1964 il expose au Salon de la jeune Sculpture à Paris. En 1965 il fait sa première exposition personnelle à la galerie Jean Larcade à Paris et en 1966 chez Mathias Fels, Il participe à la IX biennale de Sao Paulo au Brésil en 1967, en 1970 et 1973 chez Alexandre Iolas Gallery à New York… Il est très vite appelé pour exposer aux quatre coins du monde. En 1975 Il réalise les vitraux de l’abbaye de Noirlac.
En 1986 il reçoit le Grand Prix de sculpture de la Ville de Paris. Il réalise la Carte du Ciel dans les quatre patios de la Grande Arche de la Défense, 1 600 m2 en marbre blanc et granit noir. En 1989 il reçoit la commande d’une œuvre d’art pour la commémoration du cinquantenaire du CNRS à Paris. En 1969, il commence à construire sa propre maison à La Celle Saint-Cloud, qui est sa principale œuvre d’art. Ce seront 24 ans de recherche sur l’espace. En 1993 il décide de la détruire et expose les morceaux de la maison dans des containers chirurgicaux au Capc Musée d’Art contemporain de Bordeaux. Le film de Michelle Porte, La Maison, témoignage de l’événement, sera projeté à cette occasion. Il représente la France à la Biennale de Venise la même année et obtient le Prix d’honneur. En 1994 il construit une voûte nucléaire sur un plafond du Louvre. En 1996, le Pot Doré de la Fondation Cartier est exposé à Berlin, suspendu à l’extrémité d’une grue au-dessus du chantier de la Postdamer Platz. Puis, il l’exposera trois semaines à Pékin, au cœur de la Cité interdite.
En 1997 il est Chevalier de la légion d’honneur. En 1998, la galerie nationale du Jeu de Paume organise à Paris une rétrospective: le Drapeau français tendu sur un châssis est présenté pour la première fois. La même année, le Pot doré de la Fondation Cartier est installé sur une stèle monumentale devant le Centre Georges Pompidou. En 2009 Il décide de faire envoler le Pot Doré de la Fondation Cartier et l’installer sur le toit du Centre Georges Pompidou. En 2000, il installe l’œuvre drapeau cubain au Palais de la Révolution à la Havane en présence de Fidel Castro.
Il reçoit le Prix UNESCO de la Biennale de la Havane. En 2006 Raynaud se fait photographier à Pyongyang en Corée du Nord. Debout au milieu de la place Kim-II-sung, il tient le drapeau nord-coréen à bout de bras. Il s’agit selon lui de réaliser une synthèse entre un pays et son drapeau. Il faut de longues négociations pour obtenir l’autorisation des autorités. Il conceptualise le Mastaba en 1986, qu’il construit peu après à La Garenne-Colombes en proche banlieue. Cette fois-ci, il n’en vend pas les morceaux, puisque le site est racheté par la mairie et connaît des aménagements pour recevoir du public. Ouvert en 2009, le site accueille une exposition permanente d’œuvres de l’artiste et propose également un cycle d’animations avec conférences sur l’art, lectures, musique et théâtre…
En 2009, il construit avec Jean Michel Wilmotte, architecte, les Ateliers de Barbizon.
Jean-Pierre Rouillon est psychanalyste à Clermont-Ferrand, Directeur du Centre Thérapeutique et de Recherche de Nonette, institution qui accueille des enfants, adolescents et adultes en grande difficulté psychique. Nonette se démarque par une approche innovante, « au cas par cas », attentive à la singularité de chaque sujet. Il est aussi co-auteur de Les autistes doivent-ils nous écouter, ou devons-nous les entendre?
Directeur Adjoint, chargé des Arts Plastiques à la direction générale de la création artistique du ministère de la Culture et de la Communication.
Jean-Pierre Verscheure est Professeur honoraire à l’Institut National Supérieur des Arts du Spectacle (INSAS) et membre du conseil scientifique de la Cinémathèque française, il est aussi collectionneur de matériel cinématographique ancien et moderne. Il est un conservateur et spécialiste belge de l’histoire des techniques de cinéma. Il est à l’origine d’un centre d’études sur les techniques cinématographiques nommé Cinévolution.
Jean-Robert RABANEL est Médecin psychiatre et Responsable thérapeutique du Centre Thérapeutique et Recherche de Nonette. Il est aussi Président du Réseau International des Institutions Infantiles (RI3).
Né en 1981, Jean-Romain Vesperini se forme à l’école du Théâtre National de Chaillot et à la Guildhall School of Music and Drama à Londres qu’il intègre en tant que baryton.
Parallèlement, il travaille la mise en scène et se forme comme assistant aux côtés de Jérôme Savary, Pierluigi Pizzi, Lukas Hemleb à l’Opéra comique, au Rossini Opera Festival de Pesaro, au Festival d’Aix en Provence. Depuis 2007, il travaille régulièrement avec Georges Lavaudant sur de nombreuses productions lyriques : Attila de Verdi à Vérone, La Clémence de Titus de Mozart à L’Opéra de Lyon, Andromaque de Grétry au festival de Schwetzingen en Allemagne puis à Montpellier, ainsi qu’au théâtre dans La Nuit de l’iguane de Tennessee Williams à la MC 93 de Bobigny, puis dans La Tempête de Shakespeare créée aux Nuits d’été de Fourvières et à la MC93 de Bobigny.
Il collabore aussi depuis 2008 avec Peter Stein, notamment sur La Dame de Pique de Tchaïkovsky, puis Lulu de Berg, représentée en mai 2009 à l’Opéra de Lyon. Il en réalisera seul la mise en scène à la Scala de Milan et au Wiener Festwochen la saison suivante.
En tant que metteur en scène, il produit Le Secret de Susanne d’Ermanno Wolf-Ferrari, La Belle Hélène et Monsieur Choufleuri restera chez lui d’Offenbach dans le cadre de l’atelier d’art lyrique des Postgraduates à la Guildhall School , La Fedeltà Premiata de Joseph Haydn avec la Schola Cantorum. À Paris, il met en scène L’Affaire de la rue Lourcine d’Eugène Labiche au Théâtre du Ranelagh ainsi que Due Fratelli de Fausto Paravidino au Théâtre du Gymnase, pièce qu’il a aussi traduite.
L’Opéra de Lyon vient de lui confier la mise en scène de Douce et Barbe Bleue d’Isabelle Aboulker, qui sera reprise au Théâtre de la Croix-Rousse en janvier 2012. La saison prochaine, il mettra en scène La Traviata de Verdi à l’Opéra de Limoges en coproduction avec l’Opéra de Reims et l’Opéra de Rennes, après avoir assisté Jean-Louis Martinoty dans la mise en scène de Faust de Gounod à l’Opéra Bastille en octobre 2011, puis Georges Lavaudant dans La Cerisaie de Philippe Fénelon à l’Opéra Garnier en janvier 2012.
En 2013, il met en scène La dame de mer ecrit par Henrik Ibsen.
Il est depuis 2008 metteur en scène-résident du Festival des Nuits d’été de Corté pour lequel il a mis en scène Don Giovanni en 2010.
Professeur des universités
Directeur de l’Unité mixte de recherche (UMR) 6553 Ecobio
Jean-Yves Andrieux est enseignant chercheur dans l’UFR Art et archéologie à l’Université Paris-Sorbonne (Paris IV). Il est Docteur en histoire et civilisations depuis 1986 et habilité à diriger des recherches en histoire de l’art depuis 1991. Ses domaines de prédilection sont : l’Histoire de l’art contemporain (XIXe-XXe siècles), l’Histoire de l’architecture, l’Histoire du patrimoine monumental, l’Histoire de la ville.
Le professeur Jean-Yves Gauvrit est neuroradiologue, responsable de l’unité d’imagerie neurofaciale du CHU de Rennes. Il est spécialiste dans l’imagerie diagnostique des maladies du cerveau et de la moelle épinière mais également dans le traitement des pathologies neurovasculaires en radiologie interventionnelle. Il est aussi très impliqué au niveau national dans le domaine de la télé imagerie qui est un des champs majeurs d’application de la médecine de demain : il est un des créateurs du CREBEN (Centre Régional d’Expertise Breton en Neuroradiologie) qui est devenu un outil majeur dans la prise en charge de l’AVC en Bretagne.
Jean-Yves Gauvrit est Professeur de radiologie, spécialisé en neuroradiologie diagnostique et thérapeutique. Il a suivi au CHU de Lille pendant 15 ans une formation de radiologue puis s’est spécialisé en neuroradiologie dans un des services les plus performants de France (Professeurs Pruvo et Leclerc) en interaction forte avec les neurosciences lilloises reconnues comme très dynamiques. Il a également travaillé pendant plusieurs mois dans le service de neuroradiologie du Centre Hospitalier Sainte Anne à Paris, avec le professeur Meder, sur de nouvelles techniques d’IRM et dans le Department of Neuroradiology du NYU Hospital à New York, chez le professeur Law, reconnu mondialement pour ses travaux sur l’imagerie des tumeurs du cerveau.
Il est arrivé au CHU de Rennes en 2007 et a constitué une équipe de collaborateurs qui a permis le développement de la neuroradiologie dans l’établissement. Avec son équipe, il collabore très étroitement avec le pôle Neurosciences du CHU de Rennes.
Avec son collègue radiologue du CHU de Brest, ils ont créé en 2009 le CREBEN (Centre Régional d’Expertise Breton en Neuroradiologie), qui a reçu le prix Altran de l’innovation en 2010. Ce centre est devenu un véritable outil dans la filière de soins de l’AVC.
Jean-Yves LE DÉAUT, député de Meurthe-et-Moselle
Né dans une famille ouvrière de Lorient, Jean-Yves Le Drian a fait ses études universitaires à Rennes, où il a milité au sein de l’Unef.
Adhérant au PS dès 1974, il devient adjoint au maire de Lorient trois ans plus tard, puis député en 1978, à l’âge de 30 ans.
Il siège durant 13 ans avant d’être nommé dans le gouvernement d’Édith Cresson.
Maire de Lorient, de nouveau député, Jean-Yves Le Drian se consacre depuis 2004 à la présidence de la région Bretagne.
En 2010, il est également président de la Conférence des régions périphériques maritimes d’Europe.
Deux ans plus tard, il est nommé ministre de la Défense dans le gouvernement de Jean-Marc Ayrault.
Jean Yves Moisseron est chercheur en économie à l’Institut de recherche pour le Développement, établissement public français, il est aussi professeur associé de plusieurs universités en Egypte. Enseignant à l’IEDES (Université Paris 1) et à l’EHESS, il est expert à l’Agence Nationale de Coordination de la Recherche sur l’Energie et membre du conseil Scientifique du GIS Collège International des Territoires (Paris 1- Paris 8, CNRS).
Il est aujourd’hui responsable de l’axe ; « gouvernance, crise, norme » dans l’UMR « Développement et sociétés » IRD-Université Panthéon-Sorbonne
Jean-Yves Moisseron est chercheur à l’Institut de recherche pour le développement et rédacteur en chef de la revue Maghreb Mashrek.
Ses autres domaines de recherche portent sur les institutions européennes et du monde arabe (Tunisie, Egypte, Maroc, Liban), la gestion de projets internationaux et la gestion d’équipes ainsi que l’administration en environnement inter-culturel (monde arabe).
Enfin, il est plus particulièrement spécialiste des finances publiques, fiscalité et développement, système fiscal des pays arabes et enfin de l’Islam et des acteurs religieux du monde arabe, notamment les confréries soufies.
Il possède par ailleurs, une longue expérience en Tunisie comme directeur d’un programme de recherche sur l’intégration économique et en Egypte comme Directeur de l’IRD-Egypte, ainsi que d’une dizaine de missions d’expertise en région MEDA, notamment sur l’impact (y compris fiscaux), des accords d’association Euromed.
(source : http://www.franceinter.fr/personne-jean-yves-moisseron)
Agent d’accueil à la région, Saint-Brieuc.
Jeanne Gonac’h est ingénieure d’études contractuel (LCPE, Paris 6) et Chargée de cours à l’Université de Rouen (LIDIFRA EA4503).