Marina Blanchet, chargée de mission insertion SUIO-IP
Diplômée de Licence Pro TAIS CIAN (Techniques et Activités de l’Image et du Son, Convergences Internet Audiovisuelles et Numériques) de l’Université de Rennes 2 et d’un Mastère en Journalisme (spécialisé en TV), obtenu à l’IEJ Paris.
Grade :
Professeur des universités
Fonctions et responsabilités :
– Enseignant-chercheur en Archéologie et Histoire de l’Art antique
– Directeur du Laboratoire LAHM (Laboratoire d’Archéologie et Histoire Merlat), UMR 6566
– Directeur adjoint de l’UMR 6566 CReAAH
– Directeur de la mission de fouille de l’Université Rennes 2 à l’Incoronata (Italie, région Basilicate)
– Fondateur de la collection « Archéologie et culture », Presses Universitaires de Rennes
Marion Blondel est chargée de recherche.
Ses principaux centres d’intérêt sont :
– langues des signes, et en particulier poétique et prosodie
– acquisition en contexte de surdité, et en particulier acquisition bilingue-bimodale (LSF/français)
– approche typologique des langues des signes, comparaison langues des signes / langues vocales (multimodalité)
– écrit-sms, circulation interlinguistique, échanges en contexte de surdité
Marion Denizot est maître de conférences Habilité à Diriger des Recherches (HDR) en Études théâtrales à l’université Rennes 2. Elle effectue ses recherches au sein de l’Équipe d’accueil – EA 3208 – « Arts: pratiques et poétiques » principalement autour des relations entre pouvoirs publics, État et culture.
Doctorante associée (Université de Nantes)
Thèse : « Le Tibet dans les relations internationales depuis 1950 »
Directeur de thèse : Jacques Weber École doctorale : Université de Nantes – Sociétés, Cultures, Échanges. Année d’inscription : 2006
Marion Lemoine-Schonne est juriste, spécialisée en droit international de l’environnement. Ses travaux
portent sur l’évolution des normes juridiques, les instruments de marché et sur la gouvernance du climat.
Chargée de recherche CNRS en droit public à l’Institut de l’Ouest : Droit et Europe (IODE – UMR CNRS
6262), elle a réalisé ses travaux de thèse et post-doctoraux au Centre d’études et de recherches
internationales et communautaires (CERIC), à l’université d’Aix-Marseille. Ses thématiques de recherche
sont centrées sur le droit international, le droit de l’environnement, les changements climatiques, les
évolutions de la normativité et les mécanismes de marché. Marion Lemoine est également membre du
groupe de travail du pôle de recherche Gouvernance dans les institutions publiques et privées de la MSHB.
Au sein du laboratoire IODE, elle participe à l’axe de recherche : environnement, changements globaux
et ressources naturelles. Depuis 2017 elle pilote un projet de recherche, financé par l’Allocation
d’installation scientifique Jeune chercheur-es de Rennes Métropole, nommé « La Flexibilité du droit face
au changement climatique ».
Singer/songwriter de 22 ans, Marion Mayer construit son univers folk inspirée par Neil Young, Bon Iver ou Nick Drake. Elle offre des mélodies chaleureuses qui pourraient être la bande son d’une fin de journée au bord de l’océan.
Après une tournée française aux côtés d’Angus Stone suivie de l’enregistrement de la version française du single Wooden Chair, Marion Mayer signe un premier effort studio avec la sortie de Leave, un EP de « 5 titres qui fleurent bon la Californie et le Folk des grandes plaines » et remporte l’édition 2014 du Tremplin Label Mozaïc de Rennes.
Marion Rouxin est née à l’automne 1977. Après une formation de danse, piano, chant, théâtre et différentes expériences professionnelles en tant que comédienne, elle commence à écrire et crée en 1999 le groupe Paul et Robin qui existera jusqu’en 2006 (3 albums, des centaines de concerts…).
En 2005, c’est la rencontre avec Edouard Leys (pianiste, compositeur, arrangeur), Eric Doria (guitare-basse) et Stéphane Stanger (batterie). Figures importantes de la scène musicale rennaise, musiciens aux multiples influences (Jazz, Blues, Rock, Funk, musiques Brésiliennes ou Kabyles…), ils ouvrent les horizons musicaux de Marion Rouxin et permettent une évolution radicale de son univers. Le désir de travailler ensemble est tel qu’un nouveau répertoire de 14 chansons existe en l’espace d’un été : Je t’écris sort en Avril 2007. Le spectacle est créé avec Claude Goupille pour la lumière, Guillaume Thomas pour le son et sous le regard affûté de Dominique de Barros (musicien et chanteur) pour la mise en scène.
S’ensuit une série de concerts en France :
– Festivals : Mythos à Rennes (35), Bretagne en Scène à Chartres de Bretagne (35), Ta Parole à Montreuil (93), Chants d’Elles à Rouen (76)
– Premières parties : Adrienne Pauly, Michel Delpech, Agnès Bihl
– Co-plateaux : Chasseloup, An Pierlé, Fannytastic…
– Emissions de radio dont Chanson Boum sur France Culture et La prochaine fois je vous le chanterai sur France Inter.
2009 est l’année de l’écriture : peu de concerts, mais l’enregistrement d’un nouvel album. Le groupe se laisse du temps entre le studio et la sortie du CD (automne 2010), afin de pouvoir démarcher le réseau officiel de la musique (tourneurs, distributeurs, producteurs…) et de travailler la scène.
Légère est enregistré fin 2009 et sort début 2011. Album distribué par MOSAIC MUSIC.
Un nouveau spectacle du même titre voit le jour fin 2010 avec la participation de Myriam Rault pour les costumes et le regard de Benjamin Georjon (Le Coach) et celui d’Amélie (Amélie-Les- Crayons) pour la mise en scène.
Anne-Laure Feron (Last Exit Tour) lance la tournée : une quarantaine de concerts en France sur 2011-2012:
– Festivals : Festival de Marne, Festival Le Chainon manquant, Festival Only French à Paris
– Des co-plateaux : Babx, Melissmell, Daphné, Nicolas Jules
– Émissions de Radio dont Chanson Boum sur France Culture.
M. Pégourié-Khellef a été attachée de coopération pour le français et chargée de programmes au département langue française du CIEP.
Mark J. Butler is Professor in the Department of Music Studies at Northwestern University. He is a music theorist whose research addresses popular music, rhythm, gender and sexuality, and technologically mediated performance. He is the author of Unlocking the Groove (Indiana, 2006) and the editor of Electronica, Dance, and Club Music (Ashgate, 2012). His most recent book is Playing with Something That Runs: Technology, Improvisation, and Composition in DJ and Laptop Performance (Oxford, 2014). It is based on extensive fieldwork with internationally active DJs and laptop musicians based in Berlin. Professor Butler has held fellowships at The University of Texas at Austin and the American Academy in Berlin.
Vice-doyen de la Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education,
Université de Genève
Professeur ordinaire à 100%
Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education, Université de Genève
(Domaine : psychologie clinique, et plus spécifiquement neuropsychologie et
psychopathologie de l’adulte).
Responsable de l’Unité de Psychopathologie et Neuropsychologie Cognitive,
Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education, Université de Genève
Responsable académique de la Consultation pour les Troubles Emotionnels (CTE),
Unité de Psychopathologie et Neuropsychologie Cognitive, Faculté de Psychologie
et des Sciences de l’Education, Université de Genève
Professeur extraordinaire 20%
Faculté de Psychologie et des Sciences de l’Education, Université de Liège
(Domaine : psychopathologie cognitive)
Membre du Pôle de recherche national (PRN) en Sciences Affectives
Domaine de recherche
Ses recherches visent à mieux comprendre la contribution des dysfonctionnements cognitifs au développement des états psychopathologiques tels que la schizophrénie, les troubles obsessionnels-compulsifs ou la dépression. Ses travaux se penchent également sur le fonctionnement et les soubassements cérébraux de la mémoire, et ce via l’exploration de patients cérébrolésés et l’utilisation de méthodes d’imagerie cérébrale. Il s’intéresse aussi aux relations entre mémoire, émotion et identité. Enfin, il développe des méthodes de revalidation des troubles mnésiques ainsi que des méthodes d’intervention psychologique dans le vieillissement cérébral et cognitif problématique.
Martin Messier est compositeur, artiste interprète et réalisateur de films.
Producteur/Rédacteur en chef chez TF1 Production
Martine Hausberger est directrice de recherche CNRS en éthologie au sein du laboratoire EthoS, Ethologie animale et humaine, UMR 6552. Responsable du GIS Cerveau, comportement et société, ses activités de recherche se concentrent sur deux thèmes : vie sociale et communication et relation homme-animal.
Maryse Denechere est candidate VAE (Validation des Acquis de l’Expérience) en Licence pro SDIF (Stratégies et dispositifs individualisés en formation).
Massimo Dean, né en Italie et installé à Rennes depuis 20 ans, pose depuis toujours la question de la présence des acteur·rices « non professionnel·les » sur scène. Pour que le plateau soit le lieu des tensions créatrices, il invite régulièrement des écrivain·es, des musicien·nes et d’autres protagonistes du spectacle vivant à le rejoindre sur ses créations.
Photographe
Mathias Fink est élu Membre de l’Académie des Sciences le 18 novembre 2003 dans la section de Physique. Né en 1945, il est Professeur à l’École supérieure de physique et chimie industrielles de Paris (ESPCI) et Directeur de l’Institut Langevin.
Formation et carrière :
– 1978, Docteur en sciences
– 1981-1984, Professeur à l’Université de Strasbourg 1
– 1982-1983, Professeur à IRVINE University (Californie)
– 1984-2005, Professeur de physique à l’Université Denis Diderot (Paris 7)
– 1995-2009, Professeur à l’École supérieure de physique et chimie industrielles de Paris au sein de laquelle il dirige le laboratoire Ondes et Acoustique qu’il a fondé en 1990
– 2008-2009, Professeur au Collège de France, sur la chaire d’innovation technologique – Liliane Bettencourt
Autres fonctions :
– 2009, Membre du Haut conseil pour la science et la technologie, auprès de la Présidence de la République
– 2007, Membre du Conseil Scientifique de la Défense
– 2008, Président du Conseil Scientifique de SAFRAN
Chargé de recherche (CR2) INSERM
Thèmes de recherche :
1.L’analyse et le traitement des images, en particulier la segmentation et la classification, le débruitage, la déconvolution.
2.La logique floue, les modèles statistiques bayésiens et markoviens, les stratégies de décision et de fusion d’informations.
3.L’imagerie médicale et en particulier l’imagerie TEP et les multi-modalités TEP/TDM, TEP/IRM, etc.
4.L’optimisation de l’imagerie quantitative pour les applications en oncologie et radiothérapie (diagnostic, prise en charge, évaluation,planification, etc.)
Mathieu Thévenin est professeur de sciences économiques et sociales.
Mathieu Vabre est un des fondateurs et directeur de Seconde Nature, association reconnue pour son engagement précurseur dans la création artistique contemporaine à l’ère numérique. Aujourd’hui, co-directeur de Seconde Nature et Zinc, et spécialiste des relations entre arts contemporains et technologies, il assure la direction artistique de la Biennale CHRONIQUES. Commissaire d’exposition et producteur délégué, il a travaillé sur de nombreuses expositions et programmations internationales. Il accompagne également des artistes dans la création d’œuvres, installations ou spectacles comme Etienne Rey, Nicolas Clauss, Félicie d’Estienne d’Orves, Julien Clauss, et anime et coordonne une plateforme de production aux côté d’une vingtaine de lieux et structures locales et internationales qui soutiennent une quinzaine de projets par an.
Mathilde Larrère est maîtresse de conférences en histoire politique du XIXe siècle à l’université Paris-est Marne-la-Vallée, chroniqueuse pour Arrêt sur Image et détricoteuse pour Mediapart. Elle est l’autrice de Des intrus en politique aux Éditions du Détour, co-écrit avec Aude Lorriaux.
Mathis Berchery a été diplômé d’un DNSEP Art à l’Eesab Rennes en 2016. En 2015, il a étudié à la Muthesius Kunsthochschule de Kiel en Allemagne. Là-bas comme à Rennes, il a régulièrement travaillé en collaboration, notamment sur des projets de vidéo et de performance. Aujourd’hui, parallèlement à ses propres recherches, il évolue et élabore des projets d’exposition au sein du collectif Uklukk et du collectif Super Super.
« Les formes que je crée sont issues de situations ou expériences souvent ordinaires ou communes, desquelles j’opère un glissement ; un déplacement de l’image à la performance, de la représentation à l’action. Ces situations sont toujours le point d’ancrage d’une réflexion sur notre rapport au temps, à son emploi, son organisation, sa consommation, et sur l’écart du travail au loisir. La notion d’attente traverse les formes que j’invente, qu’elles soient plastiques ou littéraires.
Dans une économie de moyen, une ambiguïté du geste, un état d’entre-deux, je cherche à impliquer l’autre comme partenaire de l’oeuvre : le médiateur, le performeur, un artiste dont le travail devient sujet d’une vidéo, le visiteur sollicité comme lecteur. Ce qui m’intéresse, c’est de mettre les corps en condition : que réaliser un film devienne une performance, qu’une sculpture devienne un prétexte à un exercice, qu’une image comme un lieu soient habités, que les textes aient lieu… et qu’à partir de ces notions, nos habitudes de regard ou d’attitude évoluent, de même que les contextes dans lesquels elles s’exercent.
Travailler en contexte est un enjeu de mon travail. Il s’agit de penser le contrat tacite que l’on engage avec un endroit, et de tenter de défaire les règles, de les déplacer, d’insinuer que l’on pourrait faire autre chose ici, que l’on pourrait agir autrement. Les modes d’agir en fonction des lieux, en fonction des situations, ou en fonction des âges font partie des observations et des champs de recherches multiples qui animent ma pratique plastique et poétique. «
Matteo Treleani est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’université de Lille.
Etudiant Arts du Spectacle Université Rennes 2 en 2001.
Matthieu Leprince est enseignant-chercheur en économie à l’université de Bretagne occidentale et membre de l’unité mixte de recherches AMURE (CNRS-UBO-IFREMER). Responsable puis co-responsable du pôle « Gouvernance dans les institutions publiques et privées » de la MSHB de 2011 à 2017, ses domaines de recherche concernent le littoral, les finances locales, l’économie publique, la coopération intercommunale, le développement territorial mais aussi l’histoire de l’enseignement supérieur et le métier de chercheur.
Psychologue clinicienne, Doctorante à l’Université Rennes 2.
Maurice Baslé est vice-président Europe et International de l’UEB (Université Européenne de Bretagne). Il est directeur scientifique du centre associé de Rennes en Bretagne et professeur des Universités, chercheur actif au CREM-CNRS.
Actuellement, il est responsable de formation doctorale, responsable de master professionnel et de recherche (Économie, conseil et gestion publique, spécialité Conseil en Évaluation et analyse financière), et chaire Jean Monnet (économie) de l’Université de Rennes 1 (centre européen d’excellence).
Il est également président de l’instance nationale d’évaluation des programmes opérationnels européens et des CPER (contrats de projets Etat-Région).
Ses thématiques de recherche sont les suivantes :
– Intégration européenne et développement économique des régions d’Europe, économie et politiques régionales de compétitivité et de développement durable.
– Politiques de formation, formation professionnelle, enseignement supérieur, recherche et Innovation.
– Brevets.
– Impact territorial des politiques publiques de formation.
– Méthodologie de l’évaluation et de la mesure d’impact des politiques publiques et des programmes à tous les niveaux de gouvernement.
– Méta-évaluation, comparaison des évaluations de politiques régionalisées.
– Méthodes de sur-classement, indice d’évaluation multicritères, intégrales floues, gouvernance participative.
– Politique économique, économie de la démocratie, politique budgétaire.
Maurice Goze est professeur des Universités en aménagement de l’espace et urbanisme à l’université Bordeaux Montaigne. Il est aussi vice-président de l’APERAU délégué aux relations avec les organisation professionnelles.
Champs d’étude
Maxime Hervé, biologiste, Institut de Génétique, Environnement et Protection des Plantes (INRA Rennes) ; Institute of Plant Sciences (Université de Berne, Suisse)