Univesité Rennes 2
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Avishai Cohen (ou Avishaï Cohen) (Jérusalem, 20 avril 1970) est un contrebassiste de jazz israélien, auteur compositeur.
Né en 1970 à Jérusalem, il grandit dans une famille de musiciens dans une petite ville près de Jérusalem. Enfant, il joue du piano jusqu’à l’âge de 14 ans. Il apprend la basse et commençe à apprendre sérieusement avec Michael Klinghoffer.
En 1992, il part pour New York où il rencontre d’autres musiciens de jazz. Après une longue période à jouer dans des petits clubs il est remarqué par Chick Corea et signe un contrat pour un enregistrement. Il fait plusieurs tournées dans deux des groupes de Chick Corea, Origin et le Chick Corea New Trio.
En 1998, Avishai Cohen signe son premier album Adama sous le label Stretch records co-produit par Chick Corea
Il constitue ensuite son trio, le Avishai Cohen Trio, dont la composition change plusieurs fois, et est parfois accompagné d’une section d’instruments à vent. Avishai Cohen crée ensuite son propre label, Razdaz qui produit ses albums, et ceux de ses musiciens: Heernt (de Mark Guiliana), « I Forgot What You Taught Me » (Sam Barsh) puis Mission Statement (Jymmy Greene).
Dans At Home et Continuo, le trio était composé de Avishai Cohen à la contrebasse, Sam Barsh au piano et Mark Guiliana à la batterie. En 2007, Shai Maestro, jeune pianiste israélien, prend la place de Sam Barsh. Alors que Sam Barsh donnait un son groovy proche du Rn’b, Shai Maestro donnera un son plus classique mais tout aussi agréable.
En 2008, Mark Giuliana quitte le trio, remplacé par Itamar Douari, percussionniste israélien maitrisant la batterie, la derbouka et le cajón.
Durant la tournée Aurora, Avishai Cohen joue en quintet à travers le monde avec Shai Maestro (piano), Itamara Douari (Percussion & batterie), Keren malka (voix) et Amos Hoffman (oud).
Depuis 2009, Avishai Cohen est le directeur artistique du Red Sea Jazz Festival d’Eilat, qui se déroule chaque année au mois d’août.
En 2010, Avishai Cohen signe avec le label Blue Note.
En 2011, Avishai Cohen sort l’album Seven Seas, suivi d’une tournée en trio avec Shai Maestro et Itamar Douari. En avril 2011, Itamar Douari quitte le trio pour raison familiale, Amir Bresler prend sa place.
En juin 2011, Shai Maestro jouera son dernier concert avec Avishai Cohen. Durant le tour du second semestre 2011, ses successeurs sont Nitay Hershkovits et Omri Mor. Depuis, Amir Bresler est le batteur attitré de la tournée.

Axel Kahn, Docteur en médecine et Docteur ès sciences, est Directeur de recherche à l’INSERM et a dirigé l’INSTITUT COCHIN (INSERM U.567/UMR8104 CNRS) de 2002 à 2008. Il a été le Président de l’Université Paris Descartes du 20.12.2007 au 21.12.2011 ainsi que Président de la Commission recherche de la Conférence des Présidents d’Universités.

Ses travaux scientifiques portent notamment sur le contrôle des gènes, les maladies génétiques, le cancer et la nutrition. Ils ont donné lieu à environ 500 articles originaux publiés dans des revues scientifiques internationales avec comité de lecture, par exemple, Nature, Cell, Nature Genetics, Pr.Natl.Acad.Sci of USA …etc.Il a été Président de la Commission du Génie Biomoléculaire de 1987 à 1997, Rédacteur en chef de la revue Médecine Sciences de 1986 à 1998 et a été membre du Comité Consultatif National d’Ethique de 1992 à 2004.

De 2000 à 2002, il a présidé à Bruxelles le Groupe des Experts de Haut Niveau en Sciences de la Vie auprès du Commissaire de la Recherche de la Commission Européenne. Depuis 2007-2008, il est Président de la Fondation Internationale du Handicap, Président du Comité d’Ethique de la Ligue du Cancer et Président de Paris Biotech Santé.

Ayla Saura, Libraire, photographe et modèle. Fondatrice de la librairie La Nuit des Temps avec Solveig Touzé, à Rennes.

Azouz Begag est un ancien ministre délégué chargé de la promotion de l’égalité des chances. Homme politique, écrivain et chercheur français en économie et sociologie, il est chargé de recherche du CNRS à l’Université Paris-IV.

Titulaire d’une licence d’histoire de l’art, d’une licence d’anthropologie sociale et culturelle et d’un Master 2 histoire et critique des arts, Barbara Delamarre poursuit sa formation par un doctorat en histoire de l’art médiéval à Rennes sur le thème du patrimoine religieux de la Bretagne romane. Elle a déjà participé à des chantiers-écoles de fouilles en Ille-et-Vilaine, en Côtes d’Armor et dans le Puy-de-Dôme, pour appréhender in situ les problèmes de conservation du patrimoine et de recherches archéologiques. Ses travaux de thèse s’appuient sur des démarches architecturales, iconographiques et sociologiques pour tenter de dégager les caractéristiques identitaires du paysage religieux de la Bretagne des Xe, XIe et XIIe siècles.

Directrice adjointe – Bretagne Valorisation de Rennes

Ben Kinmont est un artiste, éditeur et libraire d’antiquité. Son travail s’intéresse aux structures de valeurs entourant une pratique artistique et à ce qui se passe lorsque celle-ci est déplacée dans un espace non-artistique.

Bénédicte Boisson est maître de conférences en études théâtrales à l’Université Rennes 2, membre de l’équipe d’accueil 3208, « Arts : pratiques et poétiques » et membre associée à ARIAS (CNRS). Dans une double perspective anthropologique et esthétique elle travaille sur la co-présence, celle des acteurs et des spectateurs, dans le théâtre moderne et contemporain. La dimension corporelle du théâtre, la question du spectateur et l’analyse des représentations sont au centre de ses recherches.

Révélé comme auteur-compositeur de Jardin d’hiver, l’un des derniers succès d’Henri Salvador, Benjamin Biolay est un artiste polyvalent. Chanteur salué par la critique, il a également fait ses premiers pas d’acteur avec Didine (Vincent Dietschy, 2007) et Sang froid (Sylvie Verheyde, 2006).

Benjamin Biolay naît le 20 janvier 1973 à Villefranche-sur-Saône, d’un père clarinettiste amateur. Après avoir découvert le violon et le tuba, il acquiert une formation musicale classique au Conservatoire de Lyon où il apprend le trombone. À 17 ans, le jeune musicien se met finalement à la guitare.

C’est aussi au début des années 90 que Benjamin Biolay commence à composer. Il produit ainsi une première maquette avec le parolier de Liane Foly. Mais le succès se fait attendre.

Il crée son groupe Mateo Gallion et sort un premier disque en 1994 qui passe inaperçu.

Devenu un chanteur pop, il signe chez Emi. Son premier 45 tours, La révolution, sort en 1997, sans rencontrer le succès espéré. Nonchalant, cheveux longs, clope au bec, il incarne néanmoins la jeune génération de chanteur français. Très ami avec Hubert Mounier de l’ Affaire Louis Trio, il participe à leur album éponyme.

L’année suivante, il sort un nouveau 45 tours, Le jour viendra, sans plus de succès.

Mais la notoriété n’est pas loin. En 1999, il fait la rencontre de la chanteuse Keren Ann qui lui fait découvrir la musique folk. Leur collaboration amoureuse et artistique donne naissance en 2000 à La biographie de Luka Philipsen, l’album de Keren Ann. C’est également à cette époque qu’ils écrivent pour Henri Salavador. Avec Chambre avec vue, le chanteur connaît un énorme succès qui met en lumière le travail des deux compositeurs. Leur chanson Jardin d’hiver est diffusée sur toutes les radios. Mais Henri Salvador encense Keren Ann et minore le travail de son compagnon.

Ainsi, Benjamin Biolay reste dans l’ombre et travaille pour d’autres artistes : Isabelle Boulay, Hubert Mounier, puis Bambou l’ex-compagne de Serge Gainsbourg. Le jeune auteur-compositeur est d’ailleurs souvent comparé à son illustre aîné.

C’est en 2001, que Benjamin Biolay connaît enfin un succès personnel. Son premier album Rose Kennedy, sorti chez Virgin, est salué par la critique.

Il compose également l’album Salle des pas perdus de Coralie Clément, l’une de ses deux soeurs.

L’artiste donne quelques concerts et fait notamment la première partie d’Alain Souchon au Casino de Paris en 2002.

C’est cette année-là, à l’âge de 29 ans qu’il épouse l’actrice Chiara Mastroianni avec laquelle il a une petite fille.

En 2003, il compose et écrit des titres pour Valérie Lagrange, Fleuve Congo, Julien Clerc, Studio, Juliette Gréco, Aimez vous les uns les autres ou bien disparaissez.

Son deuxième album, Négatif, sort également cette année-là. Cette fois, c’est bel et bien un triomphe. Le chanteur se produit à l’Olympia à la fin de l’année.

C’est avec sa compagne qu’il interprète son troisième album, Home. Ce road-movie musical au titre décalé marque ainsi l’apogée de leur histoire d’amour, mais n’est pas un grand succès.

Le compositeur s’attaque également au cinéma puisqu’il écrit la bande originale de Clara et moi d’Arnaud Viard.

En 2005, il revient avec un album solo, À l’origine. Ce nouvel opus comporte notamment un duo avec Françoise Hardy et marque un tournant plus sombre dans l’oeuvre de l’artiste.

Ce qui ne l’empêche pas de continuer à écrire pour les autres. Il compose l’album d’ Hubert Mounier, Voyageur léger, quelques titres pour Dick Rivers avant de réaliser l’album de la jeune gagnante de la Star Academy 3, Elodie Frégé. Un pari risqué alors que la jeune femme vient de gagner un jeu de télé-réalité. Ainsi naît le Jeu des 7 erreurs dont la chanson La ceinture remporte un vif succès et dans lequel il chante en duo avec la jolie gagnante de la Star Ac.

Autre chanteuse, autre duo : il interprète Des lendemains qui chantent sur l’album de Françoise Hardy, Parenthèse.

Benjamin Biolay se lance également dans une carrière d’acteur aux côtés de Géraldine Pailhas dans Didine et de Laura Smet dans Sang froid.

Son quatrième album, Trash Yéyé sort en 2007. L’artiste vient de rompre avec son épouse. L’album est conçu dans la continuité du précédent avec des chansons à la fois romantiques et torturées qui parlent une fois encore d’amour.

Il se donne en concert à la Cigale et part en tournée.

Le chanteur apparaît sur la compilation Tombés pour Daho (2008) dans lequel il interprète Les bords de Seine avec Elli Medeiros.

En 2009, il poursuite sa carrière d’acteur dans le film d’horreur La meute avant de jouer dans la comédie Pourquoi tu pleures ? en 2011.

 

(source : http://www.premiere.fr/Star/Benjamin-Biolay-1319360)

Réalisateur / cadreur / monteur

Benjamin Guérif a fait des études d’histoire (doctorat à Paris VII en 2005, licence en Norvège) et a été traducteur d’anglais (depuis 2002, le plus souvent avec son frère Julien) et de langues scandinaves (des essais, biographies, romans, pour Denoël, Rivages, Syros, Clairac…). Son premier roman édité, « Pietro Querini » (Rivages, 2007) a reçu le prix « Gens de mer » au festival de Saint-Malo. Il a également publié une nouvelle, écrite à quatre mains avec Julien Guérif, dans l’anthologie « Complots capitaux », dirigée par Olivier Delcroix (Cherche Midi, 2008). En 2009 paraît « Quand la banlieue dort », le premier polar jeunesse des frères Guérif, aux éditions Syros. Benjamin Guérif est par ailleurs éditeur chez Rivages et scénariste.

Intermittent du spectacle à Toulouse, il travaille notamment pour France 3 en tant que technicien audiovisuel, en charge de la gestion et de la maintenance du parc informatique, la post-production, l’encodage de vidéos et la coordination technique.

Thèse de doctorat en Immunologie : Incorporation de dUTP et hypermutation somatique des gènes des immunoglobulines

Benoit Blouët est le référent qualité environnementale du bâtiment à l’université de Rennes 1. Il assiste à la maîtrise d’ouvrage pour la qualité environnementale des opérations de construction et réhabilitation. Il est responsable du pilotage des énergies par la mise en place d’un suivi des consommations d’énergies télé-relevées et est consultant pour la politique immobilière et la stratégie Développement Durable de l’université de Rennes 1.

Benoît DINTILHAC, directeur général adjoint des services en charge du pôle pilotage et aide à la stratégie, université de Bordeaux

Professeur à l’IUT de NANTES – Responsable de la Recherche à l’IUT de NANTES – Chercheur à l’IRCCyN – Responsable cellule de compétence à CAPACITES – Membre actif de AIP-PRIMECA – Expert au Pôle de compétitivité EMC2 – Responsable Plate-forme Robotique de production au Technocampus-EMC2 – Porteur de projets dans IRT Jules Verne

Benoît Jacquot est un réalisateur français. Il commence sa carrière cinématographique en 1965 comme assistant de Bernard Borderie sur un film de la série Angélique et comme assistant de Marguerite Duras, Marcel Carné et Roger Vadim.

Benoît Jacquot est membre de L’Exception, un groupe de réflexion sur le cinéma créé par Jean-Michel Frodon. Il a été président du jury du concours d’entrée de la FEMIS en 2003 et membre du jury au Festival de Cannes, alors présidé par Emir Kusturica, en 2005. En 2012, il reçoit le Prix Louis-Delluc pour Les Adieux à la reine, adaptation du roman homonyme de Chantal Thomas. En 2013, le film obtient dix nominations aux Césars.

Entrepreneur chez Bretwin

Benoît Labourdette est cinéaste. Il est né en 1970. Il a entre autres fondé la société Quidam production en 1999 (www.quidam.fr) et le Festival Pocket Films en 2005 (www.festivalpocketfilms.fr). Il exerce dans cinq champs du domaine des nouveaux médias :

  • La création (artiste, auteur, cinéaste et producteur).
  • La diffusion (organisateur de festivals et d’événements culturels).
  • La pédagogie (formations professionnelles aux nouveaux médias et éducation à l’image).
  • La technologie (expertise en cinéma et vidéo numérique).
  • La stratégie (projets transmédia et participatifs).

CRÉATION

Il écrit et réalise films de fiction, documentaires, œuvres expérimentales et participatives. Il travaille souvent à la croisée de l’audiovisuel et du spectacle vivant. Il collabore artistiquement avec des créateurs de divers horizons. Peinture, théâtre, opéra, photographie, architecture, musique, cinéma… : Richard Texier, Pippo Delbono, Macha Makeïeff, Alain Fleischer, Louise Moaty, Jean-Philippe Poirée-Ville, Olivier Mellano, Joseph Morder…

Il explore les potentialités de création et de renouvellement des écritures audiovisuelles avec de nouveaux outils de création : drones, appareils photo, téléphones portables…

Ses œuvres et démarches sont accueillies dans des structures de diffusion de cinéma et d’art en France et à l’étranger. Forum des images, Maison populaire de Montreuil, La Véranda Saint-Jean de Braye, lux scène nationale de Valence, Ma scène nationale Montbéliard, Instituts français et alliances françaises (Espagne, Algérie, Tunisie, Canada)… ainsi que dans des festivals internationaux (Festival du nouveau cinéma de Montréal, SESIFF Séoul, Festival de Pesaro, Festival international du cinéma de Rio de Janeiro, Digifest Toronto…).

Enseignant-chercheur en Géographie à l’Université Rennes 2
Membre de l’UMR ESO (CNRS 6590), laboratoire ESO-Rennes
Thèse de doctorat en Géographie/Aménagement (2011)  sous la direction de Guy Baudelle: La cohésion territoriale en périphérie de l’Union Européenne: les enjeux du développement régional en Turquie.

Benoît Raoulx est maître de conférences HDR en géographie à l’université de Caen Normandie et membre de l’équipe ESO-Caen (UMR 6590).

Benoît Roques est ingénieur de recherche et directeur adjoint du service TICE à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Benoît Rossignol, Professeur d’Histoire ancienne à l’Université d’Avignon

Depuis 20 ans, Benoit Schwartz partage son activité professionnelle entre l’interprétation de pièces classiques et contemporaines, la mise en scène, l’écriture et l’interprétation de spectacle et la pédagogie. Il joue sous la direction de Julien Bouffier : Mimo dans « Perlino Comment » de Fabrice Melquiot, Mimo dans « Sortilège » de Jean-Pierre Milovanoff ; sous la direction d’Alain Paris : Valmont dans « Madame de Tourvel », Phyrrus dans « Andromaque » de Racine, Paul dans « Tu as bien fait de venir, Paul » de Calaferte ; sous la direction de Carole Drouelle « l’amour Roman » de Camille Laurence ; sous la direction de Benoit Lavigne, il joue Dieu et le Pape dans « le Concile d’Amour » d’Oscar Panizza. Il met en scène Side-Car de Jean-Pierre Milovanoff et, aux côtés de Julien Bouffier, « Hernani » de Victor Hugo et « l’Echange » de Paul Claudel. Depuis 1997, il travaille au sein de la compagnie La Bao Acou en tant qu’auteur, comédien, metteur en scène et pédagogue. Il signe l’écriture ou l’adaptation des textes qu’il interprète, mis en scène et produits par la compagnie dont « les vocations, contes baudelairiens et africains », « marrons gagnants », « Babil, l’être père », l’adaptation de « la Princesse de Clèves », « JE », « la mémoire des eaux ».

Bérenger Recoules est un artiste et designer sonore et créateur de décors sonores nantais. Il est spécialisé dans le détournement d’espace en création sonore ainsi que dans la réflexion autour des émotions que le son peut produire auprès des publics. Peu importe le lieu dans lequel il évolue, tout peut être matière première au service de son idée offrant la possibilité au public de se réapproprier l’univers sonore de son environnement d’une manière innovante et différente.

http://berengerrecoules.wordpress.com/

Bergame Périaux est ingénieur du son, responsable de la filière « Son multicanal » et formateur à l’INA (Institut National Audiovisuel).

Bernadette Céleste est maître de conférence en psychologie et ex- Directrice de l’INSHEA (Institut National Supérieur de Formation et de Recherche Pour l’Education des Jeunes Handicapés et les Enseignements Adaptés)

Bernard Buigues (né à Fès, Maroc, le 09 juillet 1954), est un explorateur français. Il organise des expéditions au Pôle Nord et en Sibérie depuis le début des années 1990. Il a également construit une base logistique à Kathanga, au Nord de la Sibérie, pour le lancement d’expéditions en Arctique. Il est le fondateur et le directeur du programme d’expédition scientifique Mammuthus.

On doit à Bernard Buigues trois importantes découvertes en Sibérie : le Mammouth Jarkov, le Mammouth Yukagir et Lyuba, le bébé mammouth de 42 000 ans que l’on peut apercevoir dans le documentaire de National Geographic Waking the Baby Mammoth et qui est présenté au Field Museum de Chicago dans l’exposition Mammoths and Mastodons : Titans of the Ice Age.

Bernard Calet est né en 1958 à Charenton. Il vit et travaille à Tours et à Angers.
Dès la fin des années 1980, son travail se détermine par l’appropriation d’éléments architecturaux souvent associés aux notions de passage et de déplacement (porte, escalier…). La photographie lui permet d’effectuer cet acte de prélèvement, indispensable préalable avant la création d’un dispositif où l’installation de miroirs, dans lesquels se reflètent le lieu de monstration et le spectateur, permet d’établir un ensemble de relations complexes entre différents éléments dans le but de « faire image ».

Puis, au début des années 1990, une série réalisée à partir de pavillons témoins (architectures de représentation), ouvre son travail à une dimension sociale. Dans cette continuité, l’habitat nomade (série des Mobile Home/Image) permet de condenser déplacement, architecture et image, trois instances que l’on retrouve aussi à la fin des années 1990 dans la série des Maisons/TV (réalisation par l’artiste de maquettes architecturales accueillant une télévision) où la présence du flux électronique complexifie la mobilité du sens assignée à cette œuvre.

Déplacement, condensation, mixage : c’est notre image, à travers sa relation à l’habitat, qui se trouve ainsi questionnée, dans une quête — peut-être vouée à l’impossible —, de saisir son reflet. Les dispositifs de Calet se caractérisent par leur légèreté, leur délicatesse, et s’imposent au spectateur délestés de toute arrogance.

Bernard Chérèze est directeur artistique et de la musique de France Inter.

Bernard Chevassus-au-Louis, ancien élève de l’Ecole Normale Supérieure (Ulm), Agrégé de sciences naturelles, Docteur en sciences de l’Université Paris 11, ancien Directeur de Recherches à l’INRA, est Inspecteur général de l’Agriculture et membre du CGAAER (Conseil général de l’Agriculture, de l’Alimentation et de l’Espace Rural) et de l’Académie des technologies.

Il préside actuellement l’Observatoire de l’Alimentation, le comité d’orientation stratégique du consortium agronomique Agreenium, et le Comité de pilotage de l’Initiative d’excellence « Culture scientifique et technique ». Il est membre du CSPNB (Conseil scientifique du patrimoine naturel et de la biodiversité), du Conseil d’orientation de la Fédération des PNR (Parcs naturels régionaux), du Comité de direction du programme « Biodiversité » de la fondation TOTAL et des conseils scientifiques du CIRAD, d’AgroParisTech et de la fondation AGROPOLIS.

Il a été de janvier 2002 à janvier 2006 Président du Muséum National d’Histoire Naturelle après avoir présidé le Conseil d’Administration du CNEVA (Centre National d’Etudes Vétérinaires et Agroalimentaires) puis de l’AFSSA (Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments) de 1997 à 2002. Chef du Département d’hydrobiologie et faune sauvage de l’INRA (1984-1989), il a été ensuite Conseiller du Président (1989-1991) puis Directeur Général de cet organisme (1992-1996). Il a également été Vice-Président de la CGB (Commission du Génie Biomoléculaire) et de l’Advisory Group du programme européen « Science in Society ». Il a présidé le groupe de travail « OGM » du Commissariat Général au Plan, le conseil scientifique du CIRAD, le Comité scientifique sectoriel « Ecosystèmes et développement durable » de l’ANR (Agence nationale de la recherche). Il a animé également plusieurs programmes de cette Agence sur l’agriculture, l’environnement et le développement durable (ADD, Systerra, Agrobiosphère).

Ses travaux scientifiques, effectués au Centre INRA de Jouy-en-Josas (78), portent sur les méthodes de domestication et d’amélioration génétique des poissons. Il a publié sur ce thème une centaine d’articles originaux, de synthèse ou de vulgarisation. Il a consacré plusieurs articles à l’expertise, à l’analyse des risques sanitaires et environnementaux, à la participation des citoyens dans ces processus et a la biodiversité. Il a participé à de nombreuses évaluations de laboratoires et programmes nationaux et internationaux, en particulier en lien avec les PED (ICLARM aux Philippines, revue globale du CGIAR, réorganisation de la recherche agronomique en Guinée et au Mali).

Il a également participé en 2004-2005 à l’opération de prospective FUTURIS sur l’avenir du système français de recherche et d’innovation. Il a dans ce cadre animé un groupe de réflexion sur les relations science-société, dont le rapport « socialiser l’innovation » préconise de nouveaux types de relations entre la recherche et les citoyens. Il a dirigé avec Robert Barbault l’édition de l’ouvrage présentant la contribution française à la Conférence internationale de Paris sur la biodiversité (janvier 2005) et a présidé le groupe de travail du Centre d’Analyse Stratégique sur la valeur économique de la biodiversité, dont le rapport a été publié en mai 2009.

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