Univesité Rennes 2
Contributeur Personne
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Bernard Hinault, né le à Yffiniac (Côtes-du-Nord), est un coureur cycliste français. Il est le troisième coureur à avoir remporté à cinq reprises le Tour de France après Jacques Anquetil et Eddy Merckx. En huit participations, il y gagne 28 étapes. Il compte également à son palmarès un titre de champion du monde sur route, trois Tours d’Italie et deux Tours d’Espagne. Surnommé le Blaireau, il a dominé le sport cycliste entre 1978 et 1986, remportant 216 victoires dont 144 hors critériums.

source : Wikipedia

Bernard Jacquemin est maître de conférences en sciences de l’information et du document à l’Université de Lille au sein du laboratoire GÉRIICO (ULR 4073).

Bernard Lobel est chirurgien urologue.

Chargé de mission innovation, Orange Labs.

Ingénieur d’étude secteur « Développement audiovisuel événementiel et pédagogique » du SEMM de l’université Lille 1.

Vice-président du Conseil régional de Bretagne.

Bernard Rey, actuellement titulaire de la chaire internationale en éducation à l’Université Libre de Bruxelles. Il a longtemps enseigné en école normale et en IUFM.
Bernard Rey a mené des travaux sur la polyvalence des maîtres de l’école élémentaire et sur les compétences scolaires. Il participe à de nombreuses formations d’enseignants du primaire tant en France qu’en Belgique.

Bernard Stiegler, né le 1er avril 1952, est un philosophe français qui axe sa réflexion sur les enjeux des mutations actuelles — sociales, politiques, économiques, psychologiques — portées par le développement technologique et notamment les technologies numériques.
Initiateur et président du groupe de réflexion philosophique Ars industrialis créé en 2005, il dirige également depuis avril 2006 l’Institut de recherche et d’innovation (IRI) qu’il a créé au sein du centre Georges-Pompidou.

Professeur émérite de l’Ecole nationale supérieure d’ingénieurs de Caen.

Maître de conférences de science politique à l’université Lumière Lyon-2

Domaine de recherche :

  • Syndicalisme : transformations contemporaines des organisations et de leur composition interne (sociologie des adhérents et des militants)
  • Organisation et mobilisation des salariés précaires
  • Évolution des grèves et des conflits du travail
  • Réforme de la représentativité syndicale (loi du 20 août 2008) / démocratie sociale

Bertrand Alessandrini est directeur du développement et des relations industrielles à l’ECN (Ecole Centrale de Nantes). Il est également chercheur au Laboratoire de recherche en hydrodynamique, énergétique et environnement atmosphérique, et plus particulièrement sur le projet SEMREV (Site d’expérimentation en mer pour la récupération de l’énergie des vagues).

Bertrand Fortin est l’ancien président de l’Université Rennes 1 et de l’Université européenne de Bretagne.
Professeur en électronique, il a présidé l’Université de Rennes 1 de juillet 2003 à mai 2008 et l’Université européenne de Bretagne (UEB) de mars 2007 à mai 2010. Guy Cathelineau le remplace à ces postes.

En 1972, il obtient un doctorat de troisième cycle en électronique à l’Université de Rennes 1. Il devient Maître de conférences en 1984 et décroche un doctorat d’Etat ès sciences trois ans plus tard. Il passe Professeur des universités en 1992. De 1997 à 2001, il dirige l’IUT de Rennes. Son domaine de compétence dans l’enseignement comprend l’électronique, l’électrotechnique et l’électronique de puissance. Il a conduit des recherches sur les composants électroniques, les caractérisations électriques et les semiconducteurs-polycristallins.

Il a été vice-président de la commission recherche de la CPU (Conférence des présidents d’universités). Il préside par ailleurs l’Europôle universitaire de Rennes à partir de 2005, puis le pôle de recherche et d’enseignement supérieur de l’Université européenne de Bretagne (mars 2007 – mai 2010). Il a notamment travaillé sur la thématique de l’université à l’ère du numérique.

Bertrand Fortin est Chevalier des Palmes académiques et Chevalier de l’Ordre national du Mérite.

Bertrand Jouve est directeur du Réseau national des MSH.

Co-fondateur, avec Véronique Martinez Larmet, de la Compagnie Art’Comedia dont l’activité principale est le théâtre musical, il est également musicien et directeur musical de la compagnie.

Cadreur

Bertrand Piechaczyk est directeur du pôle ingénierie à la Bretagne Développement Innovation (BDI).

Bertrand Porot est professeur de musicologie à l’Université de Reims.

Délégué régional aux Antennes de proximité de Bretagne à France 3 Bretagne.

 

Né en Nouvelle-Zélande, Bill Barton a beaucoup voyagé durant son enfance à travers le pays. A l’âge de 14 ans, il emménage à Khartoum, où son père travaille à l’UNESCO. C’est alors qu’il se découvre une passion pour les voyages et un intérêt pour les autres cultures. Il continue ses études en Nouvelle-Zélande par correspondance.

Il retourne par la suite à Auckland pour terminer ses études en enseignement secondaire puis il entre à l’Université d’Auckland. Il y acquiert un diplôme de Master en Mathématiques. Pendant ses études en Master il enseigne de temps en temps et développe alors un engouement pour l’enseignement qui n’a jamais pâli.

Il obtient par la suite son doctorat et commence à enseigner pendant plusieurs années en enseignement secondaire pendant qu’il étudie en Master d’Education.

15 ans de carrières qui sont composées de trois périodes importantes. La première dure quatre ans. Quatre ans durant lesquels Bill Barton enseigne au Collège de l’Université du Botswana, Lesotho et Swaziland, cela lui apprendra l’importance de la langue. Pendant la seconde période, il produit deux séries de programmes télé, cela lui apprendra à vulgariser les mathématiques. La troisième est celle durant laquelle il est impliqué dans un projet de développement de la langue des indigènes Maori de Nouvelle-Zélande pour qu’il devienne un langage d’instruction mathématique, cela lui apprendra les joies de la recherche.

Au début des années 1990, il commence son PhD en Ethnomathématiques et arrive au Département des Mathématiques à l’Université d’Auckland où les professeurs seniors avaient décidé que l’éducation mathématique devait être représentée dans le Département, Bill Barton pu ainsi enseigner les mathématiques en Licence et en Master et Doctorat.

Toujours dans ce Département, Bill Barton a fini son « mandat » à la tête du Département. Il continue à enseigner et maintient ses activités de recherche. Dans ce cadre il a été rédacteur en chef à la fois de « l’Australasian regional Mathematics Education Research Journal » et rédacteur en chef assistant de « l’Educational Studies in Mathematics ».

Ses principales recherches se déclinent en deux points. Suivant son intérêt pour la langue des Maoris, et ses études en Ethnomathématiques, il s’interroge sur la manière radicalement différente qu’ont les langages d’exprimer des idées mathématiques. Il a également entrepris une étude sur la manière dont les langues affectent la pensée mathématique en recherche. Les autres recherches en linguistique concernent les expériences sur l’apprentissage des mathématiques en anglais par un sujet qui n’est pas anglophone de naissance.

Le second domaine de recherche de Bill Barton concerne le développement mathématique chez les enseignants seniors en enseignement secondaire. Il travaille régulièrement avec le Dr Anne Watson à Oxford et avec le Professeur Deborah Ball au Michigan, et leurs équipes, réfléchissant autour des connaissances mathématiques pour enseigner.

Blandine Lefierdebras est travailleuse sociale et membre de l’association « Histoire du féminisme » à Rennes.

Boris Cyrulnik est un neurologue, psychiatre, éthologue et psychanalyste français.

Dans les années soixante, ses études de médecine s’achevant, il se dirige vers l’éthologie, discipline alors très controversée. Redoutant la spécialisation, il se diversifie au maximum : éthologie, psychologie, neurologie, psychanalyse.

Désireux de décoder la machine humaine, Boris Cyrulnik parcourt le monde à la recherche d’informations. Voyages, colloques, conférences, lectures, cours, l’homme est infatigable. Sa réputation en tant qu’éthologue est grandissante ; sa contribution à légitimer cette science est capitale.

A partir des années 1980, Cyrulnik vulgarise son savoir grâce à ses livres : Mémoire de singe et paroles d’homme, Les vilains petits canards… Boris Cyrulnik mélange les genres, dans le but ultime de décoder l’être humain.

Carrière :
– Interne en neurochirurgie à Paris (1967), en psychiatrie à Digne (1968-1971),
– Neurologue à l’hôpital de Toulon-La-Seyne (1972-1991),
– Chargé de cours à la Faculté de médecine de Marseille (1974-1994),
– Chargé d’enseignement (éthologie clinique),
– Directeur d’enseignement (depuis 1996) à la Faculté des lettres et sciences humaines de Toulon,
– Président du Centre national de création et de diffusion culturelles de Châteauvallon (depuis 1998),
– Président du Prix Annie et Charles Corrin sur la mémoire de la Shoah (depuis 2005).

Boris Mericskay est Maître de conférences en Géographie à l’Université de Rennes 2, au sein d’ESO-Rennes (UMR 6590). Il est responsable des projets DOSECOLIT (2017) et GEOVIZ-URBA (2020), projets labellisés à la Maison des sciences de l’homme en Bretagne.

Ses thèmes de recherche :

Géomatique et Internet

  • Systèmes d’information géographique (SIG) et modélisation 3D
  • Cartographie en ligne (géoweb), Open data, Big data, geodataviz
  • Usages sociaux et démocratisation des technologies de l’information géographiques

Espace, environnement et société

  • Innovation territoriale (intelligence territoriale, gouvernance électronique, villes intelligentes)
  • Participation publique, gouvernance et expertise citoyenne
  • Cartographie, représentations spatiales et spatialités humaines

Brahim Benlakhlef est membre associé de l’équipe ESO-Caen.

Brian James Shaw est chercheur associé à la Faculté de l’Environnement et des Ressources Naturelles de l’University of Freiburg.

Brigitte Albero est co-directrice du CREAD (Centre de Recherche sur l’Education, les Apprentissages et la Didactique) et directrice du Département des Sciences de l’éducation à Rennes 2. Elle est également professeure des universités.

Professeure certifié et Directrice adjointe “Recherche » à l’IUFM de Bretagne UBO.

Brigitte NOMINÉ, vice-présidente numérique, université de Lorraine

Brigitte Prost est Maître de Conférences à Rennes 2-Université européenne de Bretagne, mais enseigne également au Conservatoire de Rennes ainsi qu’à l’Ecole du Théâtre National de Bretagne (TNB) l’histoire du théâtre, comme l’analyse dramaturgique et scénique. Expert à la Direction générale des Affaires culturelles (DRAC) et à la ville de Rennes pour le spectacle vivant, elle s’investit également auprès des compagnies de théâtre de la région Bretagne et développe des projets de captation du spectacle vivant. Elle a notamment collaboré à Théâtre / Public, Double Jeu et la Revue de la société d’histoire du théâtre.
Auteur de plusieurs ouvrages sur les classiques et leurs mises en scène dont Le Répertoire classique sur la scène contemporaine, Les Jeux de l’écart. (1965-2006), publié aux PUR en janvier 2010, elle a travaillé à la publication avec Delphine Lemonnier Texier et Geneviève Chevallier d’un ouvrage collectif sur Lectures de Endgame / Fin de partie de Samuel Beckett au PUR en septembre 2009.
Parmi les projets en cours, elle doit finaliser deux ouvrages collectifs :
Le Théâtre de répertoire : lieu de mémoire, lieu de création (en collaboration avec Yves Jubinville et Jeanne Bovet);
La Patrimonialisation des formes spectaculaires traditionnelles (en collaboration avec Yves Defrance).
Ainsi qu’une étude sur le Mohini Attam (danse du Sud-Ouest de l’Inde) avec Brigitte Chataignier.

Brigitte Zanda, Astrophysicienne, Cosmochimiste et chercheuse au Museum National d’Histoire Naturelle chargée de la conservation des météorites définit son métier en se qualifiant de « météoritologue ». Et pour cause, Brigitte Zanda est une spécialiste de ces fragments tombés du ciel.

Bruno Collet est réalisateur, scénariste, voix, et décorateur de cinéma. Il est notamment le réalisateur Son Indochine (2012), Petits Joueurs (2010) et Le Petit Dragon (2009), tous les trois produits par la société Vivement Lundi!

Enseignant en danse à l’UFR APS de l’Université Rennes 2.

Bruno Cusinet était responsable des équipes médicales durant le Festival des Vieilles Charrues en 2012.

Bruno Deramoudt est spécialiste en médecine physique et de réadaptation.

Bruno Dumont est né en 1958 dans le Nord, à Bailleul (« belle » en flamand). C’est dans cette petite ville des Flandres, entre Lille et Dunkerque, qu’il tourne ses deux premiers films, La vie de Jésus (1997) et L’humanité (1999). Deux longs métrages acclamés à Cannes (Mention spéciale Caméra d’or pour le premier, Grand prix du jury et double prix d’interprétation pour le second) qui imposent d’emblée Bruno Dumont comme un cinéaste singulier, à rebours de la production française contemporaine.

Pour lui le cinéma est une autre manière, plus amusante peut-être, de faire de la philosophie. La philosophie, il l’a longtemps étudié à l’université : il creuse l’histoire des religions, puis l’esthétique du cinéma, qui deviendra son thème de mémoire : « Philosophie et esthétique du cinéma souterrain ». Il devient professeur de philosophie au lycée, à Hazebrouck notamment. Mais il apprend en même temps le métier de réalisateur en travaillant sur des films de commande. « J’ai filmé des bonbons, des cabines de tracteurs, des notaires, du jambon, des briques, du charbon… C’est là où j’ai appris à faire du cinéma, sans jamais en faire, par détour ! »

Avec sa caméra et la grammaire visuelle qu’il maîtrise désormais, Bruno Dumont laisse de côté les machines-outils et explore l’essence de l’homme, ce qui le motive, ce qui le rend profondément tragique. Des interrogations d’ordre sacré sur lesquelles le cinéaste porte un regard profane : il filme de façon brute les corps, les sensations, la nature, sans jamais intellectualiser, expliquer. Bien qu’il soit ancré dans une réalité très concrète (les acteurs ici sont souvent non professionnels), le cinéma de Bruno Dumont fuit le réalisme social. Ce que recherche plutôt le réalisateur, qu’il tourne en Flandres (La vie de Jésus, L’humanité, Flandres en 2006), en Californie (Twentynine Palms, en 2003) ou en région parisienne (Hadewijch, en 2009), c’est la « douce lumière » tapie en chaque être humain malgré la laideur et la violence du monde. Bruno Dumont prépare en ce moment son sixième long métrage, L’empire.

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