Diacom est une société de production audiovisuelle axée sur la production de documentaire scientifiques, de travaux institutionnels et de créations sonores.
DIGISPORT (Digital Sport Sciences) a pour objectif de créer une graduate school internationale, unique en son genre, dans le domaine de la formation et de la recherche en sciences du sport et du numérique.
DIGISPORT a également pour objectif de fédérer et structurer les formations des Grandes Ecoles et des deux universités rennaises dans les sciences du sport, les sciences des données, l’informatique, l’électronique, les sciences humaines et sociales dans une approche transversale pour répondre aux besoins en nouvelles compétences générées par l’entrée du sport dans l’ère numérique.
La DRAC Bretagne (Direction Régionale des Affaires Culturelles) est un service déconcentré du ministère de la Culture et de la Communication en Bretagne. Elle est située à Rennes.
Les DRAC sont chargées de la mise en oeuvre, au niveau régional, des priorités définies préalablement par le ministère de la Culture et de la Communication. Elles exercent aussi une fonction d’expertise et de conseil auprès des diverses collectivités territoriales et des partenaires culturels locaux. Leurs missions couvrent tous les secteurs d’activité du ministère : lecture, musique, arts plastiques, danse, théâtre, cinéma et audiovisuel, culture scientifique et technique, musées, archives et patrimoine. Elles sont de ce fait les représentants en région de tous les services du ministère.
Django Django est un groupe de rock psychédélique britannique formé en 2009 à Londres, constitué de David Maclean (batteur et producteur), Vincent Neff
(chanteur et guitariste), Jimmy Dixon (bassiste) et Tommy Grace (claviers). Leur premier album, Django Django est sorti le 30 janvier 2012 sous le label Because Music.
e FRAN : Espaces de formation, de recherche et d’animation numérique
L’école change avec le numérique
Déployés à l’échelle des territoires, des projets qui sont de nature à transformer l’École, e-FRAN expérimente de nouvelles manières d’enseigner et d’apprendre, à partir de dispositifs pédagogiques et numériques innovants dans un cadre scientifique rigoureux.
Fondé en 2007 Eat Your Toys joue très vite et très fort. Mais s’éloignant progressivement de ses premières amours hardcore, Eat Your Toys impose un son à la fois compact et puissant. Des guitares tranchantes, des rythmiques qui claquent : leur post-punk discoïde s’imprègne d’énergie rock tout en lorgnant du côté des dancefloors. Alors que le groupe travaille d’ores et déjà à l’enregistrement d’un premier album, les cinq morceaux de l’EP On The Ledge (2010) témoignent de l’extrême ouverture d’une formation capable de s’adresser tout autant à la tête qu’aux jambes, et de mêler aux audaces électriques de Sonic Youth l’efficacité de LCD Soundsystem.
En 2009, EAT YOUR TOYS enregistre son premier EP « On The ledge » au Studio Claudia Sound à Aubervilliers (93). L’EP est mixé au Studio Black Box à Pouancé (49). Cette année là le groupe est sélectionné pour effectuer la première partie de la Tournée des Transmusicales de Ploërmel. [www.lepieddanslson.com] L’EP sort au mois d’avril 2010. Le titre « Dance on the Ledge » est crédité par « les Inrockuptibles » dans leur
numéro du 05 mai 2010. Dominique MARIE, attaché de presse indépendant et Président de La FERAROCK, se charge de la diffusion l’EP. EAT YOUR TOYS remporte le tremplin « Les nuits soniques » à Auray (56).
Coup de cœur du programmateur des Trans Musicales, Jean-Louis BROSSARD programme EAT YOUR TOYS lors de la tournée des Trans en décembre 2010 avant de jouer au Trans Musicales 2011 est consacrée à l’écriture de nouveaux titres en profitant de l’arrivée d’un quatrième musicien. EAT YOUR TOYS remporte le tremplin européen : Les Jeunes Aventuriers de Fontenay-sous-Bois (94) et est programmé au Festival Les Aventuriers 2011
En 2012 EAT YOUR TOYS se consacre à la réalisation de son premier album. Dans le cadre du Tremplin des Jeunes Aventuriers vous les retrouverez en concert à Paris au Petit Bain et au Pub Le Truskell.
We are a team of interdisciplinary researchers trained in archeology, art history and literature, comprised of Elvan Zabunyan, professor (Rennes 2 University) and work package leader, Daniela Franca Joffe, postdoctoral fellow (Hull University), Marine Schütz, postdoctoral fellow (Rennes 2 University), Nick Shepherd, professor (Aarhus University).
Ecole primaire publique située à St Aubin du Cormier (35140), Académie de Rennes.
Ecole maternelle et école élémentaire publique située à Rennes (35700).
L’École nationale des chartes est une grande école française spécialisée dans la formation aux sciences auxiliaires de l’histoire. Fondée en 1821, l’École est placée sous la tutelle du ministère chargé de l’enseignement supérieur et possède le statut de grand établissement. Elle fait partie de l’Université PSL.
Ecole primaire publique située au Mont-dol (35120), Académie de Rennes.
Depuis plus de 90 ans, L’ENSCR a pour ambition de former des ingénieurs-chimistes pour toutes les entreprises, pour tous les métiers de la production, des services, de l’ingénierie et du management, pour l’industrie française, européenne et mondiale.
Reconnus et recherchés sur le marché du travail, les ingénieurs diplômés de l’ENSCR maîtrisent les concepts et les outils de leur métier. Ils sont capables de mener en pleine autonomie des projets au niveau national et international.
Ecole primaire située à Thorigné Fouillard.
El oso est un projet musical regroupant 3 musiciens membres des groupes rennais Santa Cruz, Bikini Machine, et Montgomery. Basé sur leur amour de la pop et de l’expérimentation sonore, El oso a l’ambition de rendre la mélancolie joyeuse.
Groupe créé en 2013. Anciennement « Roll it ».
Membres :
Elouan Jegat : chant / guitare
Alexis Wolff : chant / guitare
Baptiste Le Solliec : Batterie
Yann Le Traon : Basse
Une nouvelle échappée rock bretonne. « Comme un brame mystique quelque part en forêt, un dernier regard de réconciliation. Spectateurs du temps, de traditions modernes… Dans la peau d’un évadé de l’Ontario, accordant guitare & voix à son arc ! ».
né en 1991 à Rennes, où il vit et travaille aujourd’hui.
Il a notamment publié dans les revues Ouste, Remue.net, N47, Plexus-S.
Un premier livre, intitulé faiblesse d’un seul, est paru en 2015 aux éditions Centrifuges, suivi d’il est un air aux éditions Aencrages&Co en 2016.
Depuis plus de vingt ans, l’ENSEMBLE MATHEUS s’est imposé comme l’une des formations les plus reconnues du monde musical grâce à sa démarche artistique audacieuse et ouverte à tous.
Dans un désir d’innovation et de recherche constante, Jean-Christophe Spinosi fonde en 1991 le Quatuor Matheus qui deviendra rapidement l’ENSEMBLE MATHEUS.
Doté d’une géométrie variable allant de la « formation de chambre » à l’orchestre symphonique, l’ENSEMBLE MATHEUS s’applique depuis ses débuts à mélanger les différents genres musicaux, interprétant les répertoires du XVIIe au XXIe siècle sur instruments d’époque (baroque, classique, romantique et moderne).
Cette fougue et cette volonté pionnière de s’attaquer aux répertoires originaux l’inciteront à s’intéresser aux manques de la discographie actuelle, et à s’atteler avec un plaisir contagieux au « chantier Vivaldi », en produisant chez Naïve une série d’enregistrements très vite devenus légendaires. En 2005, son enregistrement de l’opéra Orlando furioso fait sensation, remportant sur son passage les grandes récompenses internationales.
Au fil des concerts et des enregistrements, se lient des amitiés musicales avec les grands solistes de renom Cecilia Bartoli, Philippe Jaroussky, Natalie Dessay, Marie-Nicole Lemieux, Sandrine Piau, et bien d’autres…
Depuis 2007, l’ENSEMBLE MATHEUS est en résidence au Théâtre du Châtelet où il interprète chaque année une production d’opéra. On l’a ainsi entendu dans La Pietra del Paragone de Rossini, Véronique de Messager, Les Vêpres de la Vierge de Monteverdi, Norma de Bellini, Le Barbier de Séville de Rossini, et en mars 2012 Orlando Paladino de Haydn.
Ses passages dans la capitale française sont également marqués par des productions à l’Opéra National de Paris (Alcina de Haendel), ainsi qu’au Théâtre des Champs-Élysées (Così fan tutte de Mozart et Orlando furioso de Vivaldi), où le public lui a tout récemment réservé une véritable ovation pour La Flûte enchantée de Mozart.
Fier de ses origines bretonnes, l’ENSEMBLE MATHEUS ne quitte pas pour autant sa région natale et continue de résider au Quartz de Brest où il est ensemble-associé depuis 1996. Cet enracinement le conduit à effectuer de nombreuses tournées en Bretagne, jouant notamment à Vannes, à Saint-Brieuc, à Morlaix et à l’Opéra de Rennes, sans oublier toutes les communes environnantes.
Dans son souci de rendre la musique classique encore plus accessible, l’ENSEMBLE MATHEUS continue en 2012 à sensibiliser les plus jeunes grâce à un programme d’actions pédagogiques, et poursuivra pour la troisième année consécutive l’opération « Opéra en Région » qu’il a initiée, afin de proposer une véritable production d’opéra qui tourne dans toute la Bretagne.
L’ENSEMBLE MATHEUS se produit sur les scènes du monde entier. Après des passages remarqués à New York (Carnegie Hall), Vienne (Konzerthaus, Theater an der Wien), Zurich (Tonhalle), Londres (The Proms au Royal Albert Hall, Barbican et Wigmore hall), Rome (Accademia Santa Cecilia) et Bilbao (Sociedad Filarmonica, Opéra), il a entrepris, au côté de Cecilia Bartoli, une tournée européenne passant par Munich, Prague, Baden-Baden et le Château de Versailles.
L’Ensemble Matheus est subventionné par le Conseil régional de Bretagne, le Conseil général du Finistère, la Ville de Brest, le Ministère de la culture et de la communication – DRAC de Bretagne. Il est ensemble-associé au Quartz de Brest depuis 1996. Les activités de l’Ensemble Matheus sont soutenues par le Fonds de dotation BNP Paribas – Banque de Bretagne et la société Altarea-Cogedim.
L’Espace des sciences de Rennes Bretagne est un centre de culture scientifique, technique et industrielle. Avec près de 200 000 visiteurs par an, il est le centre de sciences le plus fréquenté en régions, après la Cité des sciences et le Palais de la découverte.
Fabrice DHUME est chercheur-coopérant à l’Institut Social et Coopératif de Recherche Appliquée depuis 2002. Il est également enseignant-chercheur à l’Université Paris Diderot, et membre de l’URMIS – Unité de recherche « Migrations et sociétés »/ (CNRS UMR 8245/IRD UMR 205/université Paris Diderot et Nice Sophia Antipolis). Il a précédemment travaillé comme chargé d’études dans un observatoire social sur « l’intégration » en Alsace, puis comme directeur d’études dans un organisme d’expertise des politiques sociales.
Il travaille dans une perspective de sociologie publique, alliant la production de connaissance et l’implication dans les transformations sociales. Cette sociologie mobile et « tout-terrain » vise à contribuer à l’émergence de contre-publics, autrement dit de collectifs de publics ou d’acteurs développant à la fois une critique fondée sur l’expérience de l’intérieur des situations et des institutions, et de savoir-faire exigeants de transformation de l’action, des cadres de travail et du fonctionnement des institutions.
Il a conduit de nombreux travaux de recherche, d’étude, de formation ou d’expérimentation, souvent dans une logique d’action-recherche collective, dans le domaine des politiques publiques et de l’intervention sociale. Il privilégie des formes coopératives de travail avec les publics et les professionnels, et il s’intéresse aux stratégies et tactiques de réseau permettant des formes de résistance et de mobilité professionnelle dans les cadres de contrainte institutionnelle.
Docteur en sociologie, de l’Université de Provence, sa thèse visait à contribuer à la construction d’une sociologie des discriminations scolaires. Elle a porté sur l’analyse de la discrimination ethnico-raciale dans les stages, et sur les processus d’ethnicisation des frontières et de l’ordre scolaires à travers la relation école-entreprise.
Enseignant-chercheur à l’Université Paris Diderot, il enseigne notamment dans le master MIRI – Migrations internationales et relations interethniques la sociologie des discriminations et la sociologie de l’action publique face au racisme et à la discrimination. Il intervient également à l’université Paul Valéry – Montpellier III, dans le master « Intermédiation sociale », sur le partenariat dans les politiques publiques. Il intervient en outre régulièrement dans des formations universitaires ou qualifiantes à destination des travailleurs sociaux, ainsi que dans des formations continues, externes ou internes aux institutions sociales.
Il est membre du comité d’orientation de la revue Diversité (anciennement Ville-Ecole-Intégration) revue du Centre national de Documentation Pédagogique (Canopé, Ministère de l’Education nationale).
Ses travaux actuels s’organisent aujourd’hui autour de trois axes principaux, qui se combinent volontiers :
– Les tensions et contradictions de l’action publique antiraciste et antidiscriminatoire, entre : des enjeux de reconnaissance de la pluralité et un référent intégrationniste et nationaliste unitariste, entre un tabou sur les catégories ethnico-raciales et leurs usages quotidiens, entre la lutte contre les discrimination et la coproduction institutionnelle des phénomènes, entre des discours sur les « valeurs de la République » et l’incapacité concrète des institutions à réguler les situations, etc.
– La discrimination, le racisme et l’ethnicité dans l’ordre et les rapports scolaires : la généalogie de ces problèmes publics et l’évolution de leur reconnaissance institutionnelle par l’Education nationale ; les processus de dénégation des phénomènes et l’analyse de leurs significations pour les acteurs sociaux ; les processus de production des discriminations et du racisme de/dans l’école ; une analyse du champ des sciences sociales intéressées à l’école, et des manières par lesquelles elles minorisent le paradigme antidiscriminatoire.
– les formes de coopération interinstitutionnelle et de travail en réseau: les enjeux démocratiques de la question de la coopération aujourd’hui ; les dynamiques collectives interinstitutionnelles autour de problèmes publics ; le rôle de la conflictualité dans la production de la coopération ; ou encore une critique du langage managérial et technocratique du « partenariat ».
Groupe de musique français composé de :
au chant : Fanny Chériaux
1er violon : Johanna Groc
2ème violon : Laure Peignault
Violon alto : Sandra Monroy
Violoncelle : François-Marie L’Huissier
Lancé il y a plus de 20 ans, le Festival des Solidarités est un rendez-vous international pour promouvoir et célébrer une solidarité ouverte au monde et aux autres.
Chaque année en novembre, des associations, collectivités, établissements scolaires, structures socio-culturelles, acteurs d’économie sociale, groupes de citoyen.ne.s, etc. organisent plus de 4 400 animations conviviales et engagées pour donner aux citoyen.ne.s de tout âge l’envie d’agir pour un monde juste, solidaire et durable.
L’édition 2021 se déroulera du vendredi 12 au dimanche 28 novembre !
Les animations ont lieu partout en France, mais aussi dans d’autres pays : Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Côte d’Ivoire, Congo, Guinée, République Centrafricaine, Togo…
Le Festival des Solidarités est un projet porté par le CRID (Centre de Recherche et d’Information pour le Développement)
Le festival des Vieilles Charrues (Gouel an Erer Kozh en breton) est un festival de musique accueillant des artistes de divers horizons. Ce festival annuel dure 4 jours et débute à la mi-juillet sur la commune de Carhaix dans le Centre Finistère en Bretagne.
Il a été créé en 1992 dans la commune voisine de Landeleau et a pour but de mélanger les genres et être accessible à tout public.
Il est rapidement devenu le plus grand festival de musique français en termes de fréquentation (270 000 entrées en 20112, dont 212 000 payantes, et environ 5 500 bénévoles en 2011), entraînant un public attiré par l’affiche éclectique et l’esprit festif et convivial.
Les Vieilles Charrues reversent une partie de leurs bénéfices pour le développement du tissu associatif et culturel du centre Bretagne. Les Jeunes charrues est un tremplin pour les jeunes artistes de la région organisé durant le festival.
La Fédération interrégionale du livre et de la lecture (Fill) a été créée en 1985 sous l’intitulé Fédération française pour la coopération des bibliothèques (FFCB). À l’initiative de ses membres, notamment les structures régionales pour le livre (SRL), la FFCB a changé de nom en mars 2006 pour devenir la Fill.
Cette nouvelle dénomination reflète son évolution vers l’interprofession, à l’image de l’ouverture des missions des SRL qui embrassent désormais tout le champ de la vie du livre, de l’écrivain au lecteur, du patrimoine à la création, de la lecture publique à l’économie du livre.
De statut associatif, la Fédération rassemble au sein d’un réseau national qui œuvre au quotidien pour accompagner les professionnels du livre, de la lecture et de la documentation :
À la rencontre des politiques du livre des Régions et de la politique menée par l’État, la Fill est un espace d’observation, de débat, d’analyse, de proposition et d’action et offre des outils pertinents pour l’élaboration de politiques culturelles innovantes.
Lieu de l’interprofession, plate-forme unique fondée sur la concertation et la mutualisation, en liaison notamment avec les fédérations nationales d’élus et les services culturels de l’État, la Fill a pour objet de travailler au développement équilibré de l’accès au livre et à la lecture, à l’évaluation et à l’optimisation des politiques culturelles autour de quatre missions principales :
En lien étroit tant avec les acteurs publics qu’avec les professionnels du livre et leurs syndicats, multipliant les partenariats avec les associations et institutions au service de la coopération dans les métiers du livre, de la lecture et de la documentation, la Fill œuvre pour défendre les intérêts communs de la filière, dans le souci constant de la bibliodiversité.
Par sa connaissance fine des territoires, elle peut proposer des évaluations et orientations nationales, accélérer la diffusion des idées et des débats et accompagner les expérimentations et les négociations nécessaires dans une filière en pleine mutation.
Société de production cinéma et audiovisuel au Portugal.
Fondée en 1999, Films en Bretagne – Union des Professionnels – demeure une fédération atypique, et un modèle de structuration de filière décentralisée, dans le paysage audiovisuel français.
L’association réunit et représente l’ensemble des professionnel·les lié·es aux métiers du cinéma et de l’audiovisuel implanté·es en Bretagne, de l’écriture à la diffusion, au sein de 4 collèges d’adhésion : auteur·trices-réalisateur·trices, producteur·trices, technicien·nes-comédien·nes-collaborateur·trices de création, le 4e collège fédérant les acteurs de la diffusion culturelle, de la médiation entre les œuvres et les publics, de l’archivage des films.
Films en Bretagne a pour vocation de favoriser le développement de la production et de la création audiovisuelle et cinématographique en Bretagne. Elle a ainsi pour but de :
Organisme de formation depuis 2012, Films en Bretagne coordonne plusieurs dispositifs d’accompagnement, et notamment l’action expérimentale régionale de formation professionnelle dédiée aux professionnel·les du secteur audiovisuel et cinématographique, soutenue par la Région Bretagne dans le cadre de sa feuille de route stratégique.
En 2020, le Pôle Formation & Compétences de Films en Bretagne obtient la certification qualité Qualiopi, pour la catégorie d’action suivante : actions de formation. En savoir +
Films en Bretagne est déclaré prestataire de formation auprès de la DIRECCTE, sous le numéro : 53 56 0866556 (en date du 12/03/2012).
Pour rappel, en 2020, Films en Bretagne comptait près de 220 adhérent·es, mêlant personnes physiques et personnes morales, soit près de 400 professionnel·les représenté·es au sein du collectif et engagé·es dans ses différents travaux.
Le «septième programme-cadre de recherche et de développement technologique» est le nom complet du 7e PC (FP7). Le programme s’étale sur une période de sept ans (2007-2013) et dispose d’un budget total de plus de 50 milliards d’euros. Cela représente une hausse considérable par rapport au programme-cadre précédent, le 6e PC (une hausse de 41% selon les prix de 2004 ou de 63% selon les prix actuels), et confirme la priorité qu’accorde l’UE à la recherche européenne. En effet, le 7e PC est un outil clé destiné à répondre aux besoins de l’Europe en matière d’emploi et de compétitivité ainsi qu’à la maintenir à la première place dans l’économie mondiale de la connaissance.
Ces fonds seront dépensés (pour la plus grande partie) sous forme de subventions accordées aux acteurs de la recherche dans toute l’Europe et ailleurs, pour cofinancer des projets de recherche, de développement technologique et de démonstration. Les subventions font l’objet d’une forte compétition, et sont accordées sur la base d’appels à propositions et d’une procédure d’examen par les pairs.
Les activités financées au titre du 7e PC doivent présenter «une valeur ajoutée européenne», afin d’être complémentaires aux programmes de recherche nationaux. Un des aspects clés de la valeur ajoutée européenne réside dans le caractère transnational de nombreuses actions: les projets de recherche sont réalisés par des consortiums associant des participants de divers pays européens (et autres pays); les bourses accordées dans le cadre du 7e PC exigent une mobilité audelà des frontières nationales. En effet, de nombreux défis en matière de recherche (par exemple, la recherche sur la fusion, etc.) sont si complexes qu’ils ne peuvent être traités qu’à l’échelon européen.
Le 7e PC introduit cependant une nouvelle action au profit des «équipes individuelles», sans obligation de coopération transnationale. Dans ce cas, la «valeur ajoutée européenne» consiste à hisser la concurrence entre scientifiques développant la recherche exploratoire fondamentale du niveau national au niveau européen.
Le 7e PC est le successeur naturel du précédent programme, le 6e PC et le fruit de nombreuses années de consultations avec la communauté de la recherche des secteurs public et privé, les acteurs économiques e les responsables politiques en Europe. Le 7e PC est à la fois plus vaste et plus intégré que ses prédécesseurs. Il est également plus souple e dispose de procédures plus simplifiées.
À travers un ambitieux programme d’expositions, de diffusion et de documentation de la collection ainsi que de nombreux dispositifs à destination des publics, le projet artistique et culturel du Frac Bretagne intitulé « Faire archipels », interroge l’avenir de l’institution à l’aune des aspirations légitimes de notre société contemporaine. Il se veut inclusif en misant sur une politique des publics horizontale et participative, ouvert sur la diversité en inscrivant le Frac dans des circulations internationales, décloisonné en s’ouvrant à d’autres champs disciplinaires, inscrit en Bretagne et dans le monde en fondant toutes ses actions sur la coproduction mais également engagé sur les terrains des droits culturels des personnes, de l’égalité Femme-Homme et de l’éco-responsabilité.
Les Fonds régionaux d’art contemporain (Frac) créés au début des années 1980 sur la base d’un partenariat État-Régions sont des institutions qui ont pour mission de réunir des collections publiques d’art contemporain, de les diffuser auprès de nouveaux publics et d’inventer des formes de sensibilisation à la création actuelle.
Aujourd’hui, les collections des 23 Frac rassemblent plus de 30 000 œuvres d’environ 5 700 artistes autant français.es qu’étranger.ères.
Les Frac sont dotés de bâtiments accueillant espaces d’exposition, réserves, espaces dédiés au public et de documentation. Pourtant, contrairement aux musées ou aux centres d’art, les Frac ne peuvent être identifiés à un lieu unique d’exposition. Patrimoines essentiellement nomades, outils de diffusion et de construction du vivre ensemble, les collections des Frac voyagent dans leurs régions, en France et à l’international.
Chaque année, un tiers de leurs œuvres sont présentées au public, ce qui fait des Frac les collections publiques les plus diffusées de France. Ce principe de mobilité les définit comme d’indispensables acteurs d’une politique d’aménagement culturel du territoire visant à réduire les disparités géographiques, sociales et culturelles et ainsi à faciliter la découverte de l’art contemporain par les publics les plus diversifiés.
France 3 Bretagne est une des vingt-quatre antennes métropolitaines de proximité de France Télévisions, émettant dans la région Bretagne, et basée à Rennes en France. Émettant depuis cette ville, elle couvre la totalité de la région Bretagne. Sa grille des programmes est basée sur un « programme commun » produit à Paris et diffusé au niveau national par l’ensemble des stations régionales de France 3, auquel viennent s’ajouter des productions propres (journaux télévisés, bulletins météo, retransmission de certains événements régionaux ou de compétitions sportives). En plus des émissions en français, l’antenne propose des programmes en breton.
France Musique est une radio publique musicale française du groupe Radio-France. Radio thématique, ses émissions sont consacrées essentiellement à la musique classique et au jazz. Mais elle propose également des programmes consacrées aux musiques électroniques, comédies musicales, musiques dites légères, rock et musiques du monde. Elle assure la retransmission des concerts des deux orchestres du groupe Radio France, l’Orchestre philharmonique de Radio France et l’Orchestre national de France ainsi que du chœur de Radio France et de la Maîtrise.
Le directeur de France Musique en 2013 est Olivier Morel-Maroger.
France Télécom est une société française de télécommunications et la 121e entreprise mondiale. Elle emploie près de 172 000 personnes, dont 105 000 en France, et sert près de 226 millions de clients dans le monde. Depuis février 2012 et le passage sous la marque Orange des activités de téléphonie fixe, la totalité des offres commercialisées par France Télécom utilise cette marque, qui, le 1er juillet 2013, deviendra la nouvelle appellation du groupe.
Premier groupe audiovisuel français, France Télévisions regroupe les chaînes Outre-Mer 1ère, France 2, France 3, France 4, France 5 et France Ô. Chaque jour, 4 Français sur 10 regardent les programmes du groupe. Son capital est exclusivement détenu par l’État français. D’abord simple société-holding, France Télévisions est devenue le 4 janvier 2010 une entreprise unique éditrice de plusieurs services de radio et de télévision.
Le service public audiovisuel français (dont France Télévisions est héritière avec Radio France) fait partie de l’Union européenne de radio-télévision (UER) depuis 1950. France Télévisions est un des actionnaires fondateurs des chaînes d’information Euronews et France 24 et l’un des premiers employeurs de journalistes en France, le groupe ayant reconnu la charte du Syndicat national des journalistes (SNJ) et la charte de Munich comme l’un de ses principes déontologiques.
Fuckin’hell Orkestar, derrière ce patronyme rendant hommage à leurs compagnons de route disparus se cache une bande d’amis qui veut laisser s’exprimer toutes ses influences musicales, sans barrière aucune. Tous issus de groupes et formations diverses (Jack O’ Lanternes, Les Oisives, Scenic Railway, Megalux, Please, Carbel, Wonderbrass, Sylvie Jourdan duo, Alan Corbel, Las Gabiotas), les musiciens du Fuckin’hell Orkestar se rassemblent avec un postulat de départ simple: puiser dans leurs influences et discothèques respectives et laisser libre cours a leurs envies. Le résultat est là, du rock décomplexé où des riffs de cuivre tout droit sortis d’un film d’Emir Kusturica flirtent avec des solos disco, une main gauche d’accordéon qui s’improvise basse frénétique et des rythmiques sans frontière. Sur scène, les trublions se laissent porter par le public et vice versa, au final un set jouissif et festif arrosé a la vodka!
Depuis ses débuts sur scène en juin 2006, le Fuckin’hell Orkestar est passé par le festival des Transmusicales en 2010, le printemps de Bourges et le Grand Soufflet en 2011. Après un premier Ep enregistré en 2010, un album est en route!
Située sur le campus Villejean, sous la bibliothèque universitaire, la Galerie Art & Essai de l’université Rennes 2 est un lieu d’exposition et de diffusion de la scène artistique contemporaine. Ses missions pédagogiques complémentaires à la formation et à la recherche s’accompagnent de rencontres et de discussions avec tous les publics. Placée sous l’égide du service culturel, la galerie organise quatre à cinq expositions par an, avec des projets monographiques ou collectifs confiés à des commissaires invités. La Galerie Art & Essai fait partie de l’association Art contemporain en Bretagne.
Ouverte depuis 1986 avec une exposition de François Morellet, la galerie Oniris est devenue avec le temps, un des lieux incontournables de l’art contemporain en Bretagne.
Avec un groupe d’une vingtaine d’artistes présentés en exposition personnelle tous les trois ans à Rennes, Oniris représente de nombreux artistes de dimension internationale tels que : Aurelie Nemours, Vera Molnar, Norman Dilworth, François Morellet, Walter Leblanc, Geneviève Asse, Christian Bonnefoi, Alain Clément, Jean-pierre Pincemin ou Claude Viallat et d’autres à re/découvrir.
Fondée par sa mère Yvonne Paumelle, c’est Florent Paumelle qui dirige la galerie Oniris depuis 2012 avec un projet qui allie la fidélité aux artistes historiques et l’introduction progressive de nouveautés.
S’il n’est pas exclu que la musique des Garbo puisse évoquer l’heureux mélange sonore d’un réacteur Rolls-Royce boosté à la nitro, d’un V8 de Shelby GT 350 en surrégime et d’un vérin hydraulique couplé tantôt à un hachoir, tantôt à une masse, ce n’est pas totalement le fait du hasard ; Vincent et Nico l’ont voulu ainsi — radicale.
Lorsque l’envie les prend de créer un truc tous les deux — rien que tous les deux —, Vincent et Nico, respectivement guitariste-chanteur et bassiste, posent les bases du projet en moins de temps qu’il ne faut à Keith Richards pour balancer une vacherie sur Mick Jagger : Garbo sera un truc maniable comme un skateboard, mais avec un mental de porte- avions ; une formule basique, type H2O, mais avec les principes actifs du TNT ;
une combinaison simple, telle la pluie et le vent, par exemple, mais dans sa version remix : déluge et typhon.
La finesse dans ce monde de brut, il faudra la chercher du côté des guitares et de la basse. Car, si elle sort tout juste de terre, la maison Garbo s’inscrit néanmoins dans la longue tradition du Beau Son. Chez les Garbo, on porte un soin de psychopathe au choix du matériel. La lampe est privilégiée au transistor, les pédales d’effets vintage aux derniers gadgets branchouilles et la patine des vieilles pèles au verni clinquant des
guitares sans histoire.
C’est de cet arsenal de collection, couplé aux beats implacables des bat- teries programmées, que naît la saveur unique du blend distillé par les Garbo. Et — bénis soient les dieux du blues, du rock et des musiques actuelles ! — cet AOC millésimé est à consommer dès ce printemps en EP et en live !