Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2016-2017.
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2017-2018.
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2018-2019
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2019-2020.
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2020-2021.
Rick ADLE, Mathilde BILLY, Maëlig BOIS, Stanislav BOSNEV, Sébastian CHALA GOMEZ, Edwin DISSELE AKAMBA, Guillaume HERIN, Erwan MARTIN, Samira TIMAR, Tsai-Ning YU
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2020-2021.
Mathilde Le Meur, Adèle Cook, Pierre Gauchard, Léa Petitet, Mathis Veillard, Maria-Alejandra Fernandez, Phuong Thao Nguyen, Zachary Guerenneur, Pierre Gauchard
Les étudiants du Master Professionnel NUMIC de l’année 2022-2023.
Membres : Hélie Maujart, Maxime Pelé, Matthieu Guillot, Valentin Breuils, Sylvie Le Ray, Simon Prudhomme.
Formé en 2015, Material Vibes se compose de 6 musiciens. Il propose une musique pop qui mêle timbre acoustique et une touche actuelle apportée par la M.A.O.
Avec l’ambition de faire partie intégrante de la scène musicale rennaise le groupe invite d’autres formations à se produire et organise des scènes ouvertes.
Le Un groove à la Tony Allen, la french touch de Daft Punk, la section cuivre à la James Brown et les textes en français à la manière d’Higelin sont les ingrédients de la sauce Material Vibes, demandez-en un ramequin au patron, vous vous ferez une idée !
Originaire de Rennes (Bretagne), Mein Sohn William (Dorian Taburet à l’état civil) est un musicien-alchimiste assez déjanté influencé par le rock progressif et tout ce qui pousse la musique à repousser les limites de son cahier des charges originel. C’est ce qui fait d’ailleurs de la musique de cet artiste inclassable un patchwork sonore assez improbable, mais somme tout mémorable. Une de ses premières apparitions scéniques a lieu lors du festival Top of the Folk, au Jardin Moderne, à Rennes en 2008. A l’aide de sample et de compositions entre rock et folk, Mein Sohn William arpente alors les scènes françaises et à l’étranger, notamment avec Piano Chat. Le musicien impose son style sur scène, créant lors de ses concerts une vraie connivence avec le public, en anglais dans le texte. Ses concerts ressemblent ainsi plus à des performances de saltimbanque sonore qu’à des live formatés… Sa performance en 2011 au Transmusicales de Rennes reste selon les personnes présentes, mémorable à bien des égards.. En 2009 sort un premier EP, intitulé Orchestre National, qui place Mein Sohn William dans la catégorie des artistes à suivre. Puis le musicien et chanteur collabore ensuite avec Carla Palonne (de Mansfield Tya) et Amélie Grosselin (de Fordamage) afin de composer son premier véritable album. Après avoir signé sur le label Ici D’Ailleurs (Yann Tiersen, Matt Eliott…), Mein Sohn William sort son premier opus homonyme le 23 janvier 2012.
Arnaud De Vaubicourt, music-story
Metronomy est un groupe de musique électronique et alternative formé en 1999 par Joseph Mount à Totnes, ville du Sud du Devon en Angleterre. Le groupe actuel est composé de Joseph Mount (compositions, au chant, claviers et guitare), d’Anna Prior (batterie et au chant), Oscar Cash (saxophone, claviers, guitare et chœurs) et de Gbenga Adelekan (basse et chœurs). Leur production correspond plus à de la musique instrumentale, où l’instrument prime sur la voix et cela s’est confirmé avec la sortie de l’album Nights Out, album à la fois pop et électro.
Joseph Mount a aussi fait des remixes sous le nom de Metronomy d’artistes tels que Gorillaz, Roots Manuva, Franz Ferdinand, Klaxons, Goldfrapp, Young Knives, Zero 7, Ladytron, Kate Nash, Lady Gaga et Lykke Li.
Metronomy a sorti trois albums : Pip Paine (Pay The £5000 You Owe), Nights Out et The English Riviera.
À l’ère de la mondialisation, les notions de sécurité et de conflits ont évolué. Ce constat impose des réorientations stratégiques dans l’utilisation des moyens de défense au sein et à l’extérieur de notre pays.
La stratégie de défense et de sécurité nationale est aujourd’hui définie grâce à cinq grandes fonctions stratégiques : connaître et anticiper, prévenir, dissuader, protéger, intervenir.
Dans ce cadre, le rôle du ministère des Armées est d’assurer la protection du territoire, de la population et des intérêts français. Il répond aussi à d’autres missions dans le cadre des accords et traités internationaux (OTAN) ou régionaux (Europe de la défense).
Au delà de ces missions, le ministère des Armées s’implique également dans des missions de service public.Ses moyens humains et matériels soutiennent ou suppléent les actions d’autres ministères, au quotidien ou dans l’urgence, sur le territoire national et à l’étranger.
Mission faisant partie de la Direction générale pour l’enseignement supérieur et l’insertion professionnelle – DGESIP
Chef de mission : Clara Danon
veille à l’utilisation du numérique dans les pratiques des enseignants et les apprentissages des étudiants en lien avec leurs nouveaux modes de vie, de travail et de communication. L’objectif est de faciliter la réussite, l’insertion professionnelle et l’égalité des chances des étudiants
soutient le développement coordonné des usages et des infrastructures, en encourageant la création de services, de ressources pédagogiques et les dispositifs d’accompagnement de tous les acteurs de l’enseignement supérieur
Homme orchestre aux sonorités punk/rockab/garage
Le musée de Bretagne est un musée de société et d’histoire. Il est installé aux Champs libres à Rennes, entre la gare et le centre ville, depuis 2006. Il était situé auparavant au sein du palais universitaire, quai de la Vilaine, avec le musée des beaux arts.
Il s’agit d’un musée à vocation régionale, qui au cours d’une longue évolution s’est présenté tout d’abord comme un musée d’archéologie et d’ethnologie puis s’est affirmé comme un musée de société.
Il s’est attribué une mission de conservation, d’étude, et de présentation de l’histoire de la Bretagne et du patrimoine breton, en participant à sa valorisation et à sa diffusion. Ses collections regroupent plus de 600 000 documents et objets. Elles sont représentatives du patrimoine breton, des premières traces de l’Homme à nos jours.
Source : Wikipedia
Le musée des beaux-arts de Rennes (MBAR) est un musée situé à Rennes.
Son fond initial provient des œuvres saisies lors des confiscations révolutionnaires effectuées en 1794 dans les édifices religieux et civils de la ville. Il doit cependant la plus grande partie de ses richesses au fabuleux cabinet de curiosités du marquis Christophe-Paul de Robien (1698-1756), président à mortier du Parlement de Bretagne, qui y avait rassemblé une impressionnante collection d’œuvres et d’objets de toutes époques. Avec la collection du marquis de Livois à Angers, c’était alors l’une des rares collections provinciales de peinture ancienne.
Le musée des beaux-arts de Rennes a une vocation encyclopédique, puisque ses collections couvrent aussi bien les peintures et sculptures européennes du XIVe au XXe siècle, les objets d’art provenant d’Europe mais aussi d’Afrique et d’Amériques que les antiquités régionales, romaines, étrusques, grecques et égyptiennes.
Naive New Beaters est une formation de 3 copains parisien qui se met en tête de conquérir l’Amérique, en particulier, la Californie. Chacun des NNBS y est allé séparément et ne s’en est pas remis. L’image d’Epinal reste à jamais gravée dans leur esprit.
Influencés par Ricky ou la Belle Vie, Richard Branson, Kurt Cobain, Clint Eastwood, Angus Young, MySpace, Elvis Presley, Le Prince de Bel-Air, un mélange qui donne aujourd’hui ce trio de choc vintage et décalé. Le groupe se décrit comme « RZA flirtant avec Rod Stewart, Alf dansant sur du Paul Van Dyk tout en mangeant un gros « AC/DC » burger bien juteux mais sans oignons. ». Mais derrière l’humour potache, c’est une pop rappée pleine de grosses guitares qui suintent le rêve américain et de poésie indie-rock que les Naive pratiquent. Leur titre pour CQFD les amène à faire la première partie de Cassius, des concerts énervés dans toute la France et leur EP Bang Bang et son clip percutant leur ouvre les portes de l’international. Leur nouvel EP, Live Good, rengaine entêtante remixée par In Flagranti et Bloody Beetroots devrait logiquement signer l’étape supérieure : la conquête du monde et un beau premier album qui les amènera crâner sur les routes de L.A. Pour de vrai.
(source : http://www.premiere.fr/Star/Naive-New-Beaters-2001605)
Nicomaque est le pôle rennais des associations de doctorants et docteurs.
Nicomaque permet la mutualisation de moyen humain, financiers et techniques entre les associations de jeunes chercheurs autour de Rennes et plus rarement en Bretagne pour permettre l’organisation de projets conséquents, comme le Forum Docteurs & Entreprises et le Festival Sciences en Cour[t]s, ou encore des événements sociaux, des interventions de vulgarisation scientifique, le dialogue avec les responsables académiques et institutionnels locaux…
E-mail : contact@nicomaque.org
Depuis sa création en 1986, la compagnie du NOFIT STATE CIRCUS est basée à Cardiff, aux Pays de Galles. Très insérée dans la ville, avec des actions territoriales, des ateliers de pratique et une ouverture à la formation aux différents arts circassiens, elle a un rôle pionnier et emblématique depuis ses débuts dans le développement du cirque contemporain en Grande-Bretagne.
Adepte des grandes formes et de la voltige aérienne, la compagnie, dirigée par Tom Rack, interroge l’humain en mêlant musique live, théâtralité et effets spéciaux, dans des shows aussi gargantuesques et anarchiques que techniquement maîtrisés. En constante évolution depuis « Immortal » (2002), le NOFIT STATE CIRCUS a tourné à travers le monde, embarquant dans la grande tradition du cirque voyageur et d’un mode de vie familial de « troupe », avec chapiteau, camions, caravanes et équipe technique complète. Après ses créations d’envergure « Tabù » (2008), « Labyrinth » (2010), « Bianco » (2013) et « Noodles » (2015), toujours sous leur emblématique chapiteau argenté de 550 places, le Big Top, le NOFIT STATE intègre cette fois un dispositif traditionnel (piste, gradins) et renonce au déplacement libre du spectateur qui reste une de ses marques de fabrique.
« Lexicon », création 2018, entame se tournée Européenne et mondiale à Rennes, aux Tombées de la Nuit, qui avait déjà coproduit et accueilli Tabù et Bianco. Toujours dans l’équilibre entre projets d’action culturelle de territoire et grande production en tournées internationales, la compagnie du NOFIT STATE CIRCUS compte aujourd’hui une quarantaine de membres permanents, avec une dizaine de cultures et de langues représentées, et a su rester fidèle à l’esprit qui l’anime depuis ses débuts. Le spectacle de cirque est ici une aventure collective qui repousse sans cesse les frontières de genre, d’écriture et d’apesanteur.
Groupe créé en 2011.
Membres :
François Le Tessier : guitare, chant lead.
Tristan Gaudin : batterie, chant.
Killian Le Quéré : basse, chant.
Trio à mi-chemin entre le stoner et le rock et des élans psychédéliques. Influences : Black Sabbath, Dub Trio, the Drums, Artic Monkeys, etc.
OBLIQUE/S est une plateforme arts & cultures numériques en Normandie qui vise à informer, communiquer, accompagner et développer les initiatives artistiques et culturelles ayant pour sujet le numérique.
Dôté d’une salle à l’italienne de 642 places, c’est un des plus petits opéras de France. Principalement axé sur l’art lyrique, sa fréquentation est proche des 100 %.
L’opéra de Rennes a été dessiné par Charles Millardet et bâti par Pierre Louise. Le plafond de la salle est réalisé par Jean-Julien Lemordant en 1914. Une fresque d’un salon est attribuée par Denise Delouche, au peintre Camille Godet.
L’Orchestre symphonique de Bretagne est un acteur central de la vie artistique d’une région dont le dynamisme culturel est reconnu.
Chaque saison, cette formation de haut niveau propose une centaine de concerts en Bretagne : programmes symphoniques, musique de chambre, productions lyrique en collaboration avec l’Opéra de Rennes, le tout décliné dans près de 25 villes en Bretagne, des métropoles aux petites communes. Les 43 musiciens permanents de l’OSB sont des « passeurs » de musique, des artistes inscrits dans leur région. Ce qui facilite ou détermine des rencontres avec plus de 60 000 spectateurs en Bretagne, 1500 abonnés à Rennes, 6 000 jeunes à l’occasion de 200 ateliers, cours de maîtres, parcours éducatifs, concerts scolaires. La présence permanente, en Bretagne, d’artistes de haut niveau est le fruit d’une volonté politique affirmée réunissant, dès 1989, dans un même élan pour la culture en Bretagne, le Conseil régional, la Ville de Rennes, l’Etat et les départements d’Ille-et-Vilaine et du Morbihan.
Aurélien Cotentin, dit Orelsan, né le 1er août 1982 à Alençon (Orne) est un rappeur français. Il se fait connaître sur Internet grâce à sa chanson Saint-Valentin, puis perce en 2008 avec la chanson Changement.
Son premier album Perdu d’avance est sorti le 16 février 2009.
Son deuxième album Le Chant des sirènes sort le 26 septembre 2011 et fut certifié disque de platine.
Lors de la 27e cérémonie des Victoires de la Musique le 3 mars 2012, il reçoit la Victoire du meilleur album de musiques urbaines de l’année et la Victoire de la révélation au public de l’année.
ORLAN, pseudonyme de Mireille Suzanne Francette Porte, est une artiste plasticienne française, née le 30 mai 1947 à Saint-Étienne.
ORLAN est une artiste s’exprimant à travers différents supports : peinture, sculpture, installations, performance, photographie, images numériques, biotechnologies. C’est une des artistes françaises de l’art corporel les plus connues du grand public en France et à l’étranger.
Dès les années 1960, Orlan interroge le statut du corps et les pressions politiques, religieuses, sociales qui s’y inscrivent. Son travail dénonce la violence faite aux corps et en particulier aux corps des femmes, et s’engage ainsi dans un combat féministe. Elle fait de son corps l’instrument privilégié où se joue notre propre rapport à l’altérité.
En 1978, elle crée le Symposium international de la performance, à Lyon, qu’elle anime jusqu’en 1982. Son manifeste de « l’art charnel » (Carnal Art Manifesto) est suivi d’une série d’opérations chirurgicales – performances qu’elle réalise entre 1990 et 1993. Avec cette série, le corps de l’artiste devient un lieu de débat public.
Le travail d’ORLAN sur le corps se fait également par le biais de la photographie : ainsi trouve-t-on ce médium dans la photographie-sculpture du Baiser de l’artiste, mais aussi des photographies d’ORLAN en madonne, dans le dispositif scénique des opérations chirurgicales – performances, photographies-affiches de cinéma, etc.
ORLAN explore également l’utilisation des nouvelles technologies dans le domaine des arts.
En 1982, avec Frédéric Develay elle crée le premier magazine en ligne d’art contemporain, Art-Accès-Revue, sur minitel. Dans son travail de la fin des années 1990 et du début des années 2000, les Self-Hybridations, l’artiste, par le biais de la photographie numérique et des logiciels de retouches infographiques, hybride des visages de cultures différentes (amérindiens, pré-colombiens, africains).
ORLAN tente ensuite d’élargir encore les frontières de l’art contemporain en utilisant les biotechnologies pour créer une installation intitulée Manteau d’Arlequin, faite à partir de cellules de l’artiste et de cellules d’origines humaine et animale.
Parallèlement, ORLAN enseigne à l’École nationale supérieure d’arts de Cergy-Pontoise. En 2005, elle obtient une résidence d’un an à l’ISCP, à New York, par l’Association française d’action artistique (AFAA), et en 2006 elle est invitée à Los Angeles en résidence au Getty Research Institute, laboratoire de recherche du Getty Center.
OUEST VALORISATION : DE LA RECHERCHE A L’INNOVATION
Ouest Valorisation – Société d’Accélération du Transfert de Technologies (SATT) a été créée dans la cadre d’un appel à projets « Investissements d’Avenir » piloté par le ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
La SATT doit permettre aux établissements d’enseignement supérieur de renforcer leur position en tant qu’acteur du développement économique régional, national et européenne. Elle a, pour cela, des capacités financières pour investir dans des projets de R&D sélectionnés par son équipe et orientés vers les besoins des marchés.
Ouest Valorisation propose aux entreprises des ressources d’innovations issues de la recherche publique. C’est l’opérateur privilégié entre la recherche publique et le secteur industriel.
Pélagie est une association de soutien aux familles touchées par l’autisme Asperger mettant en place des projets adaptés à chacun. Cette association propose des réunions de réflexion et de partage ; un appui pour les démarches administratives ; une écoute ; mais également une circulation des informations, formations et colloques relatifs à la prise en charge des personnes avec autisme. En réponse aux aspirations des jeunes, Pélagie propose un accès au travail par des stages de découverte des métiers ; des ateliers en rapport aux affinités de chacun ; un Salon Asperger, lieu de communication et de partage entre jeunes, sans vocation thérapeutique. Pélagie met ainsi en avant l’ouverture sur le monde social des jeunes autistes à l’appui de leurs singularités.
Dans le monde de la pop, Peter von Poehl peut être considéré comme un homme d’expériences, au sens premier du terme : un musicien qui, pour chacun de ses projets, s’attache à changer d’approche et d’outils. La preuve avec cette création, où le Suédois convoque rien de moins qu’un orchestre à vents de onze instrumentistes, greffant leurs ailes et leurs souffles sur un duo de percussionnistes et une section rythmique piano-basse-batterie. Un effectif de rêve, voué à tisser autant de parures idéales pour les chansons sans attaches – nouvelles comme anciennes – de ce songwriter aux semelles de vent.
BIOGRAPHIE
Après avoir passé l’essentiel de son enfance et de son adolescence dans son pays natal, la Suède, Peter Von Poehl a entamé une carrière de musicien volontairement apatride, partagée un temps entre Berlin et Paris. En France, il commence à se faire connaître au sein du groupe AS Dragon, qui accompagne Bertrand Burgalat et Michel Houellebecq (à l’époque de son album Présence humaine). Recherché pour ses lumières en matière de production et d’arrangement, Peter Von Poehl multiplie les collaborations et réalisations d’albums – avec Vincent Delerm, Alain Chamfort, Lio, Birdy Nam Nam ou encore Marie Modiano. Ses deux albums solo, Going to Where the Tea Trees Are (2006) et May Day (2009), ont reçu les éloges de la critique et ont fait l’objet de sorties dans de nombreux pays, depuis l’Europe jusqu’à l’Australie et les Etats-Unis.
Sous l’identité collective de cette créature des frontières géographiques payantes, deux Santa Cruz, deux ex-Miossec, un ex-Coyote Pass et une 13th Hole se retrouvent en équilibre instable pour se jouer d’Hank Williams, Beck, Lee, Hazlewood, John Cash, Nick Cave, Neil Young… Une belle machine à groove électrique et poisseux pour le plaisir d’un live partagé autour de cette culture binaire commune.
(source : http://www.lestombeesdelanuit.com/ph-de-la-gravelle/)
Le Ministère délégué à l’Enseignement supérieur et à la Recherche a nommé un Point de Contact National (PCN) pour le 8ème domaine thématique du programme spécifique « Coopération » du programme-cadre, intitulé « Sciences socio-économiques et humaines ».
L’objectif est de donner à la communauté des sciences humaines et sociales les moyens d’optimiser sa participation au 7e Programme Cadre de Recherche et de Développement (PCRD), principal instrument de financement de la recherche de l’Union européenne.
Une cellule “ professionnelle ” est mise en place pour aider au montage de projets et à leur relecture avant envoi à la Commission.
De manière à apporter une aide aux porteurs de projets “ SHS ”, suite à sa demande auprès du Ministère de la Recherche, le département des sciences humaines et sociales du CNRS a été retenu pour abriter le Point de contact national (PCN) “ Sciences Sociales et Humaines ”.
CNRS
Délégation Paris A
27 rue Paul Bert
94204 IVRY-SUR-SEINE CEDEX
Documentaires, fictions, magazines culturels, depuis 1996 les auteurs et réalisateurs de Poischiche Films racontent des histoires de la vie : plus de 60 œuvres audiovisuelles de l’Himalaya à la Martinique, de l’Académie Française à la Guerre du Golfe, d’Aimé Césaire à Germaine Tillion.
Productions diffusées en festival, sur les chaînes nationales ou thématiques : France Télévisions, ARTE, Canal+, Planète, LCP, Mezzo, KTO, Equidia, ainsi que sur les chaînes régionales. Les coproductions et ventes internationales complètent ces diffusions.
Le rapprochement avec Odysséus Productions en 2010 a donné une nouvelle dynamique à ces deux sociétés, en enrichissant leur capacité de coproduction et en développant une ligne éditoriale favorisant les jeunes auteurs.
Portishead est né de la rencontre de Geoff Barrow et de Beth Gibbons dans une agence pour l’emploi du sud-est de l’Angleterre. Lui, ancien batteur et fan de rap, a travaillé sur l’enregistrement du premier album de Massive Attack, également avec Neneh Cherry et Tricky. Elle vient de la campagne et chante alors seulement dans les pubs de la région.
Leurs permières productions pour la bande originale d’un film, dont notamment « Sour Times », sont remarquées par Go ! Discs qui les signe en 1993.
Le guitariste de studio Adrian Utley et l’ingénieur du son Dave Mc Donald complètent le duo qui deviendra Portishead, du nom de la ville près de Bristol où a grandi Barrow. Cette collaboration aboutie à l’album Dummy qui sort en 1994.
L’ambiance mélancolique et dense alliée à une voix fragile détermine le caractère du groupe dont les membres touchent chacun à plusieurs instruments. Leur musique se construit sur des mélodies simples mais possessives, élaborées à base de samples et de nappes envahissantes de Fender Rhodes ou d’orgue Hamond. Leur succès en Europe et aux Etats-Unis est couronné par un Mercury Prize Award et le disque est certifié or dans plusieurs pays.Portishead doit essentiellement sa réussite à sa musique car le groupe est assez réticent au contact des médias et tourne peu au regard de sa notoriété.
Alors qu’un nouveau disque est attendu rapidement après Dummy, il faudra attendre trois ans pour découvrir le second album éponyme du groupe, en partie à cause du perfectionnisme de Barrow. Le ton n’a pas changé et la méthode reste la même : des samples et des scratchs finement dilapidés et le chant toujours aussi touchant de Beth Gibbons. En juillet 1997 au Roseland Ballroom de New-York, Portishead joue avec un orchestre symphonique de trente musiciens. L’enregistrement de cette prestation marquante sera publié en CD l’année suivante, puis en DVD en 2002. L’année 1998 marquera leurs derniers concerts après une tournée achevée en été dans divers festivals européens.
Raphaël Richard, Story Music
Albums
1994 : Dummy
1997 : Portishead
2008 : Third
Les Presses Universitaires de Rennes.
« Trip hop énervé à chanteuse », voilà comment ils se définissent. Rythmes électroniques et samples cinématographiques se mélangent aux sons des instruments d’une formation rock classique agrémenté d’une voix féminine pleine de nuances pour une véritable rencontre avec les musiques actuelles.
chant : Hélène Goareguer
guitare : Cédric Hamelin
basse : Julien Hamelin
sample : Stéphane Gueguen
batterie : Anthony Bigot