Univesité Rennes 2
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Denis Gheerbrant, né en 1948 à Paris, est un cinéaste français. Il est l’auteur d’une dizaine de films documentaires qui s’inscrivent dans la continuité du Cinéma direct. Et la vie (1991), La vie est immense et pleine de dangers (1994), La république Marseille (2009), ont été particulièrement remarqués. Ils initient une démarche et une esthétique qui ont influencé le Cinéma documentaire. Co-fondateur, en 1992, de l’association des cinéastes documentaristes, ADDOC, il enseigne épisodiquement, notamment à la Fémis. Ses films sont produits par Les Films d’ici.

Denis Hüe est professeur de littérature médiévale à l’Université Rennes 2. Il a publié de nombreux ouvrages sur la littérature arthurienne, tels que Enfances arthuriennes (éditions Paradigme, 2006), Mythes et réalités, Histoires du roi Arthur (éditions Ouest-France, 2009), puis en 2010, Rémanence – Mémoire de la forme dans la littérature médiévale (éditions Honoré Champion) et tout dernièrement : Lectures de Charles d’Orléans – Les Ballades, aux PU Rennes.

Né en 1957, Denis Le Bihan mène en parallèle des études de sciences et de médecine. En 1984 il est Docteur en médecine et  en 1987, il obtient un  Doctorat d’université en sciences physiques . Après avoir été Attaché de recherche au Ministère de la Recherche et de la Technologie, il travaille dans des services de radiologie d’hôpitaux, en France (Hôpital Frédéric Joliot, CEA à Orsay) et aux États-Unis (Washington, Bethesda). Directeur de recherche au CEA depuis 1996, il est, depuis 2007, Directeur de NeuroSpin CEA à Saclay,  Institut de neuroimagerie magnétique à très haut champ.

Membre de l’Académie des Sciences depuis 2003, Denis Le Bihan,  est lauréat du Prix Honda 2012, l’un des plus prestigieux prix internationaux de reconnaissance scientifique et technologique, pour son rôle de premier plan dans l’établissement de l’imagerie par résonance magnétique de diffusion. Denis Le Bihan est l’auteur ou co-auteur de plus de 250 articles dans les domaines de l’IRM, l’imagerie, les neurosciences et la radiologie.

(source : http://www.franceinter.fr/personne-denis-le-bihan)

Denis Poinsot, biologiste et professeur, Institut de Génétique, Environnement et Protection des Plantes (Université de Rennes 1)

Scientifique à l’INRA,
Equipe : Ecologie et génétique des insectes

Médecin généraliste et algologue, Centre d’Evaluation et de Traitement de la Douleur, CHU de Rennes

Ancien élève de BTS audiovisuel à Montaigu, (promo 2007) puis étudiant en licence professionnelle CIAN (promo 2008). Actuellement graphiste sur Paris en freelance.

Artiste Néerlandaise née en 1963, Desiree Palmen pratique l’art du camouflage. Elle s’interroge sur la possibilité ou pas d’échapper à tous les systèmes de surveillances qui nous entourent.

La première recherche que fait Desiree Palmen est de repérer des lieux sous surveillance, de les photographier et de les reproduire par la technique du transfert sur des vêtements. Ce n’est qu’une fois qu’elle estime que sa copie vestimentaire du lieu est parfaite qu’elle met en scène son art du camouflage et le photographie. Entre camouflage, trompe l’œil humain et performance, le travail de cette artiste est surprenant et déconcertant selon les situations. Véritable questionnement sur le monde de la surveillance, quels moyens aujourd’hui avons-nous d’échapper à tous ces yeux qui nous regardent ?

Didier Blaise est hématologue, professeur des universités et responsable du Département d’onco-hématologie et de transplantation et thérapie cellulaire de l’Institut Paoli-Calmettes (centre régional de lutte contre le cancer, Marseille).

Didier Collet travaille à la Banque de France. Il y est directeur départemental des Côtes d’Armor et également délégué régional du surendettement.

Didier Francfort est historien. Après s’être intéressé, sous la direction de Maurice Agulhon, à l’histoire de la sociabilité, à l’immigration italienne en Lorraine et à l’histoire d’Italie contemporaine, il a orienté ses travaux vers l’histoire culturelle comparée européenne, en particulier à la place de la musique dans les constructions d’identités nationales ou supranationales. Didier Francfort est le directeur de l’Institut d’Histoire Culturelle Européenne – Bronisław Geremek. Co-directeur du CERCLE (Centre de Recherches sur les Cultures et Littératures Européennes), il est professeur d’Histoire Contemporaine à l’Université Lorraine – Nancy Université.

Psychologue clinicien en service éducatif auprès des familles.

Professeur de Paléontologie – UFR Structures et Propriétés de la Matière
Membre de Géosciences Rennes (UMR Géosciences Rennes 6118 CNRS)

Thèmes de recherche :
– Etude de l’évolution des écosystèmes côtiers au Crétacé via l’analyse des inclusions animales et végétales de l’ambre (Projet ANR AMBRACE)
– Etude des écosystèmes méditerranéens néogènes et de la crise de salinité messinienne

Thèmes d’enseignement :
– Evolution des vertébrés (sortie des eaux; conquête du milieu aérien; passage reptiles-mammifères; origine des cétacés; évolution humaine)
– Processus évolutifs et hétérochronies du développement
– Paléoécologie marine

Fonctions actuelles :
– Membre élu du Comité National des Universités (CNU) en 36ème section
– Responsable du DEA de Paléontologie depuis le 01/09/1998, puis de la spécialité « Paléontologie, Paléobiologie, Phylogénie (PPP) » du Master de Biologie de Rennes 1
– Co-responsable de la Commission pédagogique de l’Ecole Doctorale « Vie-Agro-Santé » (V.A.S.) depuis le 13/03/08 et membre de cette commission depuis 1998
– Membre de la Commission de Spécialistes de Géosciences Rennes, section 36

Professeur des universités en sciences de l’information et de la communication, Didier Paquelin est actuellement professeur titulaire de la Chaire de Leadership en pédagogie de l’enseignement supérieur de l’Université Laval (Québec).

Ses travaux portent sur l’analyse de la complexité des processus d’appropriation des dispositifs numériques pour la formation et l’apprentissage, dans les contextes formels et informels. Il a conduit plusieurs recherches longitudinales au plan national et international sur les impacts des politiques publiques de l’enseignement supérieur sur l’éventuelle transformation des pratiques pédagogiques. Ses recherches abordent l’évolution des pratiques en analysant les interactions entre les paradigmes pédagogiques, les dispositifs numériques et les espaces d’apprentissage formels et informels développant la notion d’écosystème pédagogique. Il étudie également l’évolution des attentes et des pratiques de formation et d’apprentissage des étudiants dans l’enseignement supérieur. Il est expert auprès du ministère français de l’enseignement supérieur sur les questions de pédagogie et numérique. Il a contribué à l’organisation de nombreux colloques nationaux et internationaux portant sur l’enseignement supérieur à l’ère numérique.

Professeur des universités, Université de la Rochelle, Centre de Recherches en Histoire Internationale et Atlantique
Membre du Conseil scientifique de l’Institut des Amériques
Domaines de recherche : Protestants dans l’espace atlantique ; Relations économiques entre la France et le Canada.

Didier Roux, né le 16 mai 1955 à Neuilly-sur-Seine, est un chimiste français. Il est directeur de la recherche et de l’innovation de Saint-Gobain et membre de l’Académie des sciences.
Élève de l’École normale supérieure de Saint Cloud, Didier Roux étudie l’influence des interactions entre micelles sur le comportement critique des micro-émulsions lors de son doctorat à l’Université de Bordeaux. Il étudie la stabilité des micro-émulsions, découvre l’existence des interactions d’ondulations et les phases éponges. Ces travaux intéressent l’industrie pétrolière et particulièrement Exxon où il est nommé scientifique associé en 1986. Directeur de recherche au CNRS à Bordeaux, il découvre un nouveau type d’instabilité, les phases oignons correspondant à une transition dynamique d’une phase lamellaire orientée vers une phase de vésicules multi lamellaires. Ces vésicules sont utilisées comme micro réacteur chimique ou comme vecteurs biologiques. Il co-fonde deux startup de biotechnologie Capsulis, spécialisée dans la microencapsulation de substance active et Rheocontrol qui commercialise de nouveaux rhéomètres. En 1998, il est nommé directeur scientifique adjoint de Rhône-Poulenc puis directeur de la recherche et de l’innovation de Saint-Gobain en 2005. Didier Roux est membre du conseil scientifique de l’Institut Curie, de l’ESPCI ParisTech et du conseil d’administration de l’ENS Lyon.

Didier Vermeiren, né en  à Bruxelles, est un sculpteur belge. Il vit et travaille à Paris et Bruxelles. Il enseigne depuis 2002 à l’Académie des beaux-arts de Düsseldorf, en Allemagne, et depuis 1991 à De Ateliers (en), Amsterdam, Pays-Bas.

Ses premières œuvres, au début des années 1970, se situent au croisement de l’art conceptuel, du minimalisme et de la tradition moderne de la sculpture. Par la suite, la documentation photographique de ses propres œuvres a pris de l’importance, au point de former partie intégrante de son travail et de susciter la création d’œuvres photographiques à part entière.

Fonctions :

– Géomorphologiste
– Scientifique au CNRS
– Chargé de recherche CR1
– Responsable de l’équipe Quantitative Geomorphology
– Rédacteur adjoint de JGR-Earth Surface
– Rédacteur adjoint de Earth Surface Dynamics

Maître de conférences en archéologie et Histoire de l’Art médiéval.

Dominique Arrouays, Agronome et pédologue, Unité INFOSOL, département Environnement et agronomie (Inra d’Orléans), président de l’Association française pour l’étude des Sols, membre du Partenariat mondial sur les sols créé par l’Organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO)

Dominique Avon est le directeur du Département d’Histoire de l’Université du Maine. Il est également membre du CERHIO (Centre de Recherches Historiques de l’Ouest, UMR 6258).
Il coordonne le réseau DCIE (Dynamiques citoyennes en Europe), un réseau de recherche de dix laboratoires des Pays de la Loire sur les thèmes suivants : citoyenneté, laïcité, religions, migrations, nationalités. Il coordonne également le Communauté thématique Histoire euro-méditerranéenne intégrée au réseau e-OMED.
Il est membre du comité de lecture des Cahiers d’étude du religieux, une revue électronique du Centre Interdisciplinaire de Recherche sur le Religieux (MSH, Montpellier).
Il est enfin président de l’Association française d’Histoire religieuse contemporaine.

Dominique Bougé-Grandon est chargée de mission Action culturelle et Fonds ancien à la bibliothèque centrale de l’Université Rennes 2.

Dominique Cotte, animateur du groupe de travail exploratoire du GFII « Du Big Data aux smart datas », PDG d’Ourouk.

Chef du pôle hospitalo-universitaire de psychiatrie adulte, Rennes.

Dominique Gibert est géologue physicien (Laboratoire Géosciences, OSUR, Université de Rennes 1, détaché à l’Institut de Physique du Globe de Paris).

Professeur d’histoire moderne à l’Université Rennes 2.

Thèmes de recherche

- Histoire des femmes et du genre (époque moderne)

- Histoire de la Révolution française (pratiques politiques, construction de la citoyenneté, femmes et genre)

- Histoire culturelle et sociale de la France du 18e siècle

- Histoire des sensibilités, histoire du suicide (18e siècle)

– Chargé de Recherche, CNRS
– Enseignant à l’Université Paris Dauphine (Science politique)
– Co-rédacteur en chef de la revue Politix (avec Yasmine Siblot)

Recherches en cours :
– La globalisation politique : les réarrangements du droit et de la violence
– Les limites de la souveraineté : l’affaire dite des « vols secrets de la CIA » en Europe
– Le problème de l’État dans la tradition sociologique : enquête sur un absent

Directrice scientifique adjointe à Télécom Bretagne.

Née en 1962 à Sedan (Ardennes), Dominique Méda est philosophe et sociologue. Elle est spécialiste des politiques de l’emploi, des questions d’égalité professionnelle hommes-femmes et de compatibilité entre vie familiale et vie professionnelle. Ancienne élève de l’ENS, agrégée de philosophie, elle rejoint l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS) en 1989, à sa sortie de l’ENA. En 1993, elle intègre la Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (DARES) au ministère du Travail. Elle est depuis 2006 chercheuse au Centre d’études de l’emploi (CEE), dans l’unité Politiques publiques et emploi. Elle enseigne la sociologie depuis 2010 à l’Université Paris-Dauphine au sein de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Sciences Sociales (IRISSO). Elle est titulaire de la chaire Reconversion écologique, travail, emploi et politiques sociales au Collège d’études mondiales de la Fondation Maison des sciences de l’homme (FMSH). Elle est vice-présidente du conseil d’administration du Laboratoire de l’Egalité qui milite pour l’égalité professionnelle entre femmes et hommes. Dominique Méda a marqué la sociologie avec de nombreuses recherches sur le rapport au travail et le sens du travail. Plus largement, elle interroge les relations entre économie et politique et les instruments de mesure de richesse de notre société. Elle fait d’ailleurs partie des membres fondateurs du Forum pour d’Autres Indicateurs de Richesse (FAIR). Elle est chevalier de la Légion d’honneur.

(source : http://www.franceinter.fr/personne-dominique-meda)

Dominique Morvan est journaliste. Il travaille au quotidien Le Télégramme à Carhaix.

Doctorante à l’Université Laval (Québec) et chargée de cours en littérature à l’Université du Québec à Trois-Rivières

Dominique Simonnot est une journaliste française, spécialiste des affaires judiciaires. Embauchée par le quotidien Libération, où elle sera un temps présidente de la Société des rédacteurs, elle crée en 1998 une rubrique de chronique judiciaire, intitulée Carnets de justice. En 2006, elle quitte Libération et est engagée au Canard enchaîné, où elle tient également une chronique judiciaire : Coups de barre.

Edith Cassiers a étudié le néerlandais, le théâtre, le cinéma et la littérature. Elle est titulaire d’un doctorat en études théâtrales et littéraires de l’Université d’Anvers et de la Vrije Universiteit Brussel sur le thème de la recherche génétique du théâtre et des notes de metteur en scène (dans le cadre du projet de recherche « The Didascalic Imagination »). Elle enseigne l’analyse de la performance, l’histoire du théâtre et les méthodologies de recherche en danse à l’Université d’Anvers, au Conservatoire royal d’Anvers et à l’Académie royale des beaux-arts d’Anvers. Depuis 2019, elle travaille comme chercheuse postdoctorale pour ARGOS, un projet de recherche international sur l’observation des processus créatifs, cofinancé par Creative Europe. En outre, elle travaille comme dramaturge depuis 2011 pour différents metteurs en scène, chorégraphes et compagnies de théâtre nationaux et internationaux. Ses écrits sur les arts de la scène et la culture en général ont été publiés dans différents médias.

Edith Maruéjouls est docteure en géographie et géographe du genre. Elle a créé le bureau d’études L’ARObE (Atelier recherche observatoire égalité) et ses travaux portent sur l’égalité réelle et opérationnelle dans la cour d’école, les loisirs des jeunes et l’espace public. Elle est également membre active du conseil scientifique de l’association « Genre et ville« .

Edouard Brézin est élu membre de l’Académie des Sciences en 1991. Il est président de l’Académie des Sciences en 2005-2006.

Édouard Brézin est professeur émérite à l’Université Pierre et Marie Curie et professeur honoraire à l’École polytechnique.

Ses travaux ont été consacrés à la physique théorique, principalement à la théorie statistique des champs appliquée aux transitions de phase et au comportement près d’un point critique.

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