Ludivine Guého est ingénieure de la Plateforme d’expertise sur la Mobilité Intelligente (PEMI) à la Maison des sciences de l’homme en Bretagne.
Travaille sur le projet CAPA (Chaînes éditoriales Avancées pour des documents Pédagogiques Accessibles) à l’UTC (Université de technologie de Compiègne).
Responsable du département Innovation, Recherche, Université à la Caisse des dépôts.
Luigi De Donato débute avec le rôle de Colas (Bastiano e Bastiana) en 1999. En 2004 il fait ses débuts au festival Rossini Opera dans le rôle de Don Profondo (Il viaggio a Reims), et dans le rôle de Nourabad (Les Pêcheurs de Perles) au Théâtre La Fenice. Il chante aussi L’Ape musicale (Pasticcio de Da Ponte) à Jesi, Falstaff (Pistola) à Busseto et Trévise, Die Sieben Todsünden avec Ute Lemper à Bologne.
Luigi de Donato connaît un brillant succès dans le répertoire baroque. Il chante L’Orfeo, Il Ritorno di Ulisse in Patria et L’Incoronazione di Poppea, sous la direction musicale d’Attilio Cremonesi au Grand Théâtre de Genève. Il travaille avec l’ensemble Il Giardino Armonico pour Il Fonte della Salute de Fux au festival Styriarte de Graz et Aci, Galatea e Polifemo de Händel au festival Pfingsten à Salzbourg, à Vienne et à Salamanca.
En 2005-2006 il chante Il Giardino di Rose de Alessandro Scarlatti avec Alan Curtis. Il est ensuite engagé dans le rôle de Demonio dans l’opéra Sant’Alessio de Landi avec les Arts Florissants sous la direcion de William Christie (Paris, Londres, New York, Caen, Genève, Nancy, Luxembourg).
Parmi ses différents rôles citons Tamerlano (Leone) de Händel avec Paul McCreesh ; Caronte dans L’Orfeo au Teatro Real de Madrid et à la salle Pleyel à Paris ; un concert au Dôme de Florence avec Il Complesso Barocco et Alan Curtis ; Vespro della Beata Vergine de Monteverdi au Théâtre du Châtelet à Paris avec l’ensemble Matheus et sous la direction de Spinosi dans une nouvelle production mise en scène par Oleg Kulik.
Très récemment il a chanté Il Ritorno d’Ulisse in Patria (Nettuno et Tempo) au Teatro real de Madrid et à la salle Pleyel de Paris sous la direction de William Christie ; l’Orfeo (Caronte) au Teatro alla Scala avec le chef d’orchestre Rinaldo Alessandrini et le metteur en scène Bob Wilson. On a pu l’entendre en juin 2009 au Théâtre Olympique de Vicenza dans Le Turc en Italie (Selim), à Stuttgart dans Stabat Mater, et en octobre dans Psyché de Lully à Toulon et Montpellier. Ses projets comprennent une nouvelle production de l’Ensemble Matheus avec Jean-Christophe Spinosi qui le conduira dans les plus grandes villes de France. Il chantera également le Stabat Mater de Steffani à Amsterdam avec la Radio Kamer Filharmonie sous la direction d’Andrea Marcon.
(source : http://www.operaderouen.fr/#trombi_108)
Luk Van den Dries est professeur émérite d’études théâtrales à l’université d’Anvers. Ses recherches se concentrent sur le théâtre post-dramatique contemporain, les représentations du corps et la dynamique entre les cahiers des metteurs-en-scène et les processus de création. Il est l’investigateur principal du projet de recherche « L’imagination didascalique ». Il a beaucoup écrit sur Jan Fabre et travaille en tant que dramaturge indépendant pour Fabre. Ses publications récentes incluent Jan Fabre: Esthétique du paradoxe (co-edited with Marianne Beauviche, 2013); Mass Theatre in Interwar Europe (co-edited with Thomas Crombez, 2014); Het geopende lichaam: Verzamelde opstellen over Jan Fabre (2014); Theater: Een westerse geschiedenis (avec Thomas Crombez, Jelle Koopmans, Frank Peeters, and Karel Van Haesebrouck, 2015) and Bausch, Castellucci, Fabre (The Great European Stage Directors, volume 8, co-edited with Timmy De Laet, 2018).
Maela PAUL fait référence, à travers ses différents travaux, sur le concept d’accompagnement. Elle est l’auteur de « L’accompagnement, une posture professionnelle spécifique » (L’Harmattan, 2004), de nombreux articles et d’une contribution à des ouvrages collectifs en France, au Québec et en Italie (notamment Penser l’accompagnement adulte, PUF, 2007). Un nouvel ouvrage (La démarche d’accompagnement, De Boeck Université, 2016), à partir de repères pour sa mise en œuvre, engage un questionnement sur la pratique d’accompagnement. Ses activités professionnelles sont entièrement dédiées, depuis 12 ans, à la formation des professionnels de l’accompagnement.
Maëlle Crosse est ingénieure pédagogique à l’Université du Maine.
Membre de l’Institut universitaire de France, Magali Bessone était maître de conférences en philosophie morale et politique à l’université de Rennes 1 jusqu’en 2017. Ancienne élève de l’ENS Paris, agrégée et docteur en philosophie, elle travaille sur le libéralisme contemporain, les théories de la justice et la justice pénale internationale ainsi que sur les théories des races et du racisme. Elle est notamment l’auteur de À l’origine de la République américaine : un double projet, Thomas Jefferson vs. Alexander Hamilton (Michel Houdiard, 2007) et de La justice (Flammarion, 2000).
Ses domaines de recherche sont : la philosophie morale et politique; la philosophie anglo-saxonne ; théories de la justice et théories de la démocratie ; philosophie des races et du racisme ; éthique et justice internationales ; minorités, nations, nationalisme et cosmopolitisme ; philosophie anglo-saxonne moderne et contemporaine.
Magali Coumert, est maître de conférences d’histoire du Moyen Âge à l’université de
Bretagne occidentale et spécialiste du Haut Moyen Âge. Elle s’intéresse en particulier aux
mythes des origines.
Membre de l’Association Nationale des DRH et ingénieure en formation / relations entreprises à l’Université de Rennes 1
Malcolm Walsby est co-directeur du projet Universal Short Title Catalog (USTC) financé par AHRC. Il a été nommé chercheur post-doctoral à l’Université de St Andrews en 2002 avant d’être nommé professeur en 2007. Il a été élu à son poste actuel à l’Université de Rennes 2 en 2012. Malcolm a fait ses études à l’Université de Kent à Canterbury. Sa recherche doctorale a exploré « La terre, la lignée et le patronage dans la France médiévale et Renaissance tardive : les Comtes de Laval 1429-1605 ». Il a fréquenté l’École Normale Supérieure de Paris en tant qu’étudiant étranger (1999-2000) et a depuis été professeur invité à l’École des Chartes (2010). Il est membre de la Royal Historical Society.
Il est également membre des comités de rédaction de « La bibliothèque du mot écrit », le Handpress World et les St Andrews Studies in French History and Culture. Il fait partie de l’unité de recherche Tempora (EA 7468).
Malika Boudjani est Maître de conférences à l’Université d’Oran 2 en Algérie.
Mannaig Thomas est maître de conférences en littérature de langue bretonne à l’université de Bretagne occidentale. Membre du centre de recherche bretonne et celtique (CRBC – EA 4451), ses thèmes de recherche concerne principalement la littérature de langue bretonne, la sociologie de la littérature et la sociolinguistique.
Depuis 2013, elle participe au groupe de recherche « Produire la Bretagne » labellisé par la MSHB. Elle a également activement participé au projet MSHB PRELIB (Le point de vue périphérique. Projet de recherche en littérature de langue bretonne) dont est issue la base de données du même nom sur la trajectoire sociale des auteurs de langue bretonne (en collaboration avec Nelly Blanchard et Jean-Baptiste Pressac).
Enfin elle est coresponsable du Groupe de recherche sur l’économie linguistique de la Bretagne et de la publication de la revue La Bretagne linguistique.
Né en 1982, fils d’une mère assistante sociale et d’un père fonctionnaire municipal, Manuel Domergue entame très jeune une vie militante. Au lycée, il participe aux collectes des Restos du Coeur et crée le journal « L’Insoumis », en soutien aux grèves de 1995 puis devient membre de « Génération Précaire ». En avril 2009, avec « Sauvons les Riches », il se signale par la remise d’un « diplôme de fils à papa » à Jean Sarkozy au son du générique de « Dallas ». Très actif au sein du collectif de mal-logés « Jeudi Noir » dont il est aujourd’hui le porte-parole, il a à son actif, en 2010, l’occupation très médiatisée pendant plusieurs mois d’un hôtel particulier de la Place des Vosges ou, en avril 2012, un « apéro décalé » devant le siège de Publicis sur les Champs-Elysées pour dénoncer le bonus de 16 millions d’euros versé à son PDG Maurice Lévy. Passé par Sciences Po et le Centre de Formation des Journalistes, militant d’Europe Ecologie-Les Verts, Manuel Domergue est journaliste à « Alternatives Economiques ». Il est l’auteur, avec Jacob Tatsitsa et Thomas Deltombe, de « Kamerun ! Une guerre cachée aux origines de la Françafrique » (2011).
(source : http://www.franceinter.fr/personne-manuel-domergue)
Enseignant-chercheur
Président de l’ANSTIA (Association nationale des services TICE et audiovisuel de l’enseignement supérieur et de la recherche)
Maîtresse de conférence en histoire de l’art et esthétique (Université Paris 8), Manuela de Baros étudie l’impact des technologies sur l’environnement et les rapports humains. Spécialiste des arts numériques, elle voit la technologie comme une source d’inspiration, invitant les humains à créer de nouveaux imaginaires.
Manuela Spinelli est maîtresse de conférences à l’Université Rennes 2, spécialiste des études de genre, de littérature et civilisation italiennes. Elle est co-fondatrice de Parents&Féministes, association qui œuvre pour une parentalité égalitaire.
Marc Augé est ethnologue et anthropologue français.
En collaboration avec Gilles Bruni et en solo depuis 2006, l’artiste Marc BABARIT développe une recherche artistique fondée sur le travail in situ. Il recourt à l’agriculture, l’écologie, la photographie, l’architecture etc. pour révéler les lieux, souvent sans qualité (friches, délaissés privés ou publics) sur lesquels il intervient. Le processus d’appropriation temporaire et la possession passagère du lieu font partie intégrante de ses installations paysagères.
Marc Bergère, Vice-Président chargé de la documentation et des ressources technologiques à l’Université Rennes 2.
Marc Bergère est un historien français, spécialiste de l’Epuration en France. Né en 1963, il réalise sa thèse à l’Université de Rennes 2 sous la direction de Jacqueline Sainclivier, sur l’Epuration en Maine-et-Loire. Il est actuellement maître de conférences en histoire contemporaine à l’Université de Rennes 2.
Publications
Directions d’ouvrages
Marc Blanquet est professeur agrégé de droit public à l’Université Toulouse 1 – Capitole. Il est vice-Président de la Commission pour l’Etude des Communautés européennes « CEDECE ». Il dirige l’Institut de recherche en droit international européen et comparé « IRDEIC », ainsi que le Centre de documentation et de recherche européenne « CEDRE » et le Master 2 « Droit européen » de l’Université Toulouse 1 – Capitole. Il co-dirige le Master « Espace liberté, sécurité justice » de l’Université Toulouse 1 – Capitole. Il est codirecteur des mentions « Droit international, européen et comparé » des Masters 1 et 2 de l’Université Toulouse 1 – Capitole. Marc Blanquet est membre élu du Conseil National des Universités « CNU ».
Marc Brunel est physicien, il fait partie de l’Équipe Photonique et Lasers (CNRS), Institut de Physique de Rennes, Université de Rennes 1, il y est aussi Responsable du Master mention Physique.
Marc Cheymol a travaillé à l’Agence Universitaire de la Francophonie de 1995 à 2012, où il a été chargé de la mise en réseau des départements de français, puis de la direction de la langue et de la communication scientifique en français et enfin de la coordination du pôle stratégique « francophonie universitaire ».
Marc Christie est chercheur à l’INRIA, l’institut national de recherche dédié au numérique de Rennes et Professeur à l’Université de Rennes 1.
Marc Clerivet, socio-ethnologue et enseignant de chant et de danse tradictionnels.
Professeur titulaire de musique traditionnelle (chant, danse ainsi que culture et formation musicale), aux Conservatoires de Brest Métropole (CRD) et de Rennes (CRR), il intervient également au Pont Supérieur (Pôle d’Enseignement Supérieur Spectacle Vivant Bretagne Pays de la Loire). Il assure en outre un enseignement à la Faculté de Musicologie de Rennes II. Plus ponctuellement, il intervient à la demande dans de nombreuses structures en Bretagne et en France.
Naturaliste, Ingénieur Agronome spécialisé en sociologie des milieux ruraux, il a toujours été intéressé par l’étude des groupes sociaux et de leurs expressions culturelles. Parallèlement, il s’est passionné pour le chant et la danse à partir de 1997.
En 2001, c’est tout naturellement qu’il a décidé de partager son activité professionnelle entre l’enseignement artistique et la recherche. Il mène des missions originales de type étude-actions ou projets de collectes ainsi que des diagnostics sur des structurations de filière ou de réseaux depuis 2002.
C’est dans ce cadre qu’il a soutenu en 2010, une thèse de doctorat en histoire sur la danse de tradition populaire en Haute-Bretagne publiée en juin 2013 aux éditions PUR/Dastum.
Marc Fontecave est professeur au Collège de France.
Les travaux de Marc Fontecave ont pour objet, en particulier, la compréhension de la structure et la réactivité des centres métalliques présents dans les protéines, appelées métalloprotéines. Ces recherches peuvent avoir des applications dans le domaine de la chimie (catalyseurs sélectifs), de la santé (anticancéreux, antioxydants), de l’environnement (bioremédiation) et de l’énergie (production/activation de l’hydrogène).
Marc Gimonet est Directeur adjoint du Pôle formation emploi et Vice-Président chargé des relations avec le monde socio-économique à l’Université Rennes 2.
Marc Gontard a été élu Président de l’Université Rennes 2 le 7 décembre 2005, par l’Assemblée des trois conseils centraux : Conseil d’administration, Conseil scientifique, Conseil des études et de la vie universitaire. Il a pris ses fonctions le 13 janvier 2006, pour un mandat de 5 ans (2006-2011) et a été confirmé par le nouveau Conseil d’administration, issu de la loi LRU, le 4 avril 2008. Marc Gontard est Professeur des universités de classe exceptionnelle, spécialiste de littérature française du XXème siècle et de littérature francophone.
Marc Gontard est né à Quiberon en 1946. Entre 1964 et 1968, il poursuit ses études supérieures à la faculté des lettres de Rennes. En 1969, pour son service militaire, il part enseigner au Maroc à Marrakech, tout en préparant sa thèse de IIIème cycle à l’Université Rennes 2. Il est ensuite nommé assistant puis maître-assistant à l’Université de Fès où il est chargé de la mise en place du département de langue et littérature françaises qu’il dirige jusqu’en 1978. Il est élu, en 1981, à l’Université Rennes 2 comme maître-assistant, au département des lettres et soutient, en 1987, à l’Université Paris IV-Sorbonne, une thèse de doctorat d’État sur Victor Segalen.
Il est promu Professeur des universités en 1994. De 1999 à 2003, il fonde (avec Philippe Blanchet) et dirige l’équipe d’accueil ERELLIF (Équipe de recherche sur la diversité linguistique et littéraire du monde francophone/ EA 3207), assure de 1998 à 2002 la direction de l’Ecole doctorale « Arts, Lettres, Langues, Communication » et devient, de 2002 à 2006, vice-président du conseil scientifique et 1er vice-président.
Marc Gontard a publié, tout au long de sa carrière un nombre important d’ouvrages collectifs, articles, communications, consacrés à la littérature contemporaine et aux littératures francophones (Maghreb, Québec, Bretagne). Sa participation aux activités de recherche se traduit également par l’organisation de colloques, tables rondes, séminaires, en France et à l’étranger, par de nombreuses directions de thèses et participations à des jurys, par des activités d’expertise et de consultance internationales. Membre de plusieurs comités de rédaction de revues étrangères, Marc Gontard est aussi directeur littéraire aux éditions L’Harmattan où il a créé et dirigé, entre 1981 et 1991, la collection « Ecritures arabes » (plus de 150 titres publiés).
Depuis 2006, il est également co-président français du Conseil franco-québécois pour la coopération universitaire (CFQCU).
Marc Humbert, responsable scientifique du colloque, économiste, chercheur au CIAPHS et co-fondateur de PEKEA.
Laurent Marc est rédacteur en Chef du Poher, un hebdomadaire du Centre Bretagne.
Marc Lautier est professeur d’économie à l’Université Rennes 2 et membre du laboratoire LiRIS (EA 7481).
Professeur agrégé en mathématiques et informatique.
Responsable enseignement C2i niveau 1 à l’Université de Bretagne Ouest (UBO).
Marc Loyon vit et travaille à Rennes. Il est auteur-photographe indépendant et travaille principalement dans le domaine de l’architecture et du paysage, collaborant avec la presse, l’édition, la communication et la publicité. En parallèle de ces activités, il développe une pratique personnelle sur l’architecture et le paysage. Ses voyages à l’étranger sont la source de son inspiration. Ils lui ont permis de s’intéresser aux environnements urbains et plus récemment au territoire local. Sa démarche ne s’inscrit pas dans une vision sublimée mais dans un constat du sujet, proche du réalisme. Son point de vue est frontal et il procède avec systématisme dans une production en série. L’idée générale des projets Itinéraires/ extraits, Islande/ détails, Nouvelle Zélande/ faces et Inventaire réalisés ces dernières années, est d’associer des paysages vierges et construits tentant de nous interroger sur l’évolution de nos espaces, sur l’impact environnemental de l’être humain et son empreinte dans les paysages. Les lieux photographiés sont souvent vides et paradoxalement montrent les détails de la présence humaine.
Marc Renneville est un historien français des Sciences de l’Homme, spécialiste de la criminalité et de la justice.
Il a été Maître de conférences à l’Université Paris 8 puis responsable du Centre interdisciplinaire de recherche appliquée au champ pénitentiaire (CIRAP) pour lequel il a organisé en 2001, en lien avec les Archives d’histoire contemporaine de Sciences Po, un colloque sur Gabriel Tarde.
Il est depuis 2008 chargé de recherches au ministère de la Justice (direction de l’administration pénitentiaire) et membre associé au centre Alexandre Koyré (CNRS UMR 8560), au centre de recherche d’histoire des sciences et des techniques et au centre d’Histoire de Sciences Po.
Il dirige la publication Criminocorpus, le portail sur l’histoire de la justice, des crimes et des peines.
Directeur général adjoint de l’Institut Régional du Travail Social de Bretagne.