Univesité Rennes 2
Contributeur Personne
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Robert Barbault est professeur à l’Université Pierre et Marie Curie. Il dirige le département Écologie et gestion de la biodiversité au Muséum national d’histoire naturelle. Il a été directeur scientifique adjoint du département des sciences de la vie du CNRS. Ses domaines de recherche et d’expertise concernent l’écologie, la dynamique de la biodiversité et la biologie de la conservation. Intéressé par l’émergence du concept de biodiversité et le développement des problématiques interdisciplinaires qu’il sous-tend. Robert Barbault est à l’origine du « Programme national dynamique de la biodiversité et environnement » lancé par le CNRS en 1992, dont il a assuré la direction. Il est actuellement président du Comité français du Programme de l’Unesco sur l’Homme et la biosphère (Programme MAB) et président du conseil scientifique de l’Établissement public Parcs nationaux de France. Enfin, il est vice-président du conseil scientifique du patrimoine naturel et de la biodiversité placé auprès du ministre en charge de l’Écologie.

Robert Bariou est chercheur au laboratoire COSTEL (Climat et Occupation du Sol par Télédétection) Université Rennes 2, il est auteur et co-réalisateur de O Nordeste do Brasil, géographie et littérature.

Robert Cario occupe ses fonctions à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour Unité Jean Pinatel de Sciences criminelles comparées (UPJ/CRAJ). Il y est Professeur en Criminologie, codirecteur du Master Criminologie et droit des victimes, codirecteur de l’Unité Jean Pinatel de Sciences criminelles comparées (UPJ/CRAJ). Il est également président honoraire de l’Association Paloise d’Aide aux victimes et de médiation (APAVIM).
Il dispense des enseignements de criminologie, victimologie, pénologie et en juctice restaurative.

Robert James Smith est un musicien anglais né le 21 avril 1959 à Blackpool, en Angleterre. Il est essentiellement connu pour son travail au sein du groupe The Cure dont il est le chanteur et le guitariste depuis sa création en 1976. Il est l’auteur de la quasi totalité des textes qu’il interprète et le principal compositeur des musiques. Il est également producteur.

Robin de Mourat est doctorant en esthétique, humanités numériques et design à l’Université Rennes 2. Il prépare une thèse portant sur les formats de publication académique sous la direction de Nicolas Thély. Il est également designer et développeur d’interfaces à SciencesPo.

Robin Durand est journaliste à France 3 Bretagne. Il présente notamment l’émission hebdomadaire La voix est libre et l’émission mensuelle Génération Breizh.

Robin Foster est un guitariste et compositeur anglais. Ancien guitariste du groupe Beth (devenu Moneypenny avant leur séparation), il commence une carrière solo à partir de 2006. Installé en Bretagne depuis 1997, il connait une popularité croissante en France.

Discographie :
Life Is Elsewhere (2008)
Where Do We Go From Here? (2011)
PenInsular (2013)

Originaire d’Ecosse, Roddy Cunningham  a obtenu un diplôme de littérature anglaise et celtique puis de production audiovisuelles. Il a travaillé en tant que monteur, caméraman, réalisateur sur des tournages de fictions, documentaires culturels, musicaux, et scientifiques, diffusés, entre autres, par la BBC et Scottish Television. Il est trilingue, anglais, français et gaélique écossais. La vie l’a entraîné en Bretagne où il réside depuis une quinzaine d’années où il collabore à des projets régionaux.

Rogério Lima est professeur à l’Université de Brasilia (UNB). Son projet de recherche, intitulé « A transgressão das fronteiras e do território das formas narrativas contemporâneas na memorialística ficcional pós-ditadura na América Latina: Tununa Mercado, Ronaldo Costa Fernandes, Alberto Manguel, Teixeira Coelho« , se propose d’analyser la production récente latino-américaine (brésilienne et argentine) dans le domaine de la fiction romanesque et du récit cinématographique concernant les formes de représentation de la mémoire de la période des dictatures brésilienne et argentine. Son projet est consacré à une problématique de recherche qui s’interroge sur les articulations entre mémoire, identité et territoire ; il s’inscrit ainsi dans les axes principaux de l’Equipe ERIMIT.

 

Enseignement et recherche

Enseignement

  • Introduction à la Théorie Littéraire
  • Littérature Brésilienne
  • Littérature, Culture et Cinéma

Axes de recherche

  • Littérature et Culture: formes narratives contemporaines (art, musique, photographie, mode etc.)
  • Littérature et Cinéma : formes de représentations fictionnelles
  • Littérature et économie (Le rôle de l’argent dans les récits de fiction et dans la poésie)
  • Littérature et politique (Les récits fictionnels post dictatures dans la littérature de l‘Amérique du Sud depuis les années 1990)
  • Relations Intellectuelles Transatlantiques (Charles Morazé, Roger Bastide, Gilberto Freyre, Mário de Andrade, Jorge Amado) (Brésil/France ; France/Brésil ; Brésil/Portugal).
  • Littérature et frontières : identités et territoires culturels dans l’Amérique Latine

Séjours de recherche en France

  • Recherche en cours avec une bourse de la Fondation CAPES et en collaboration avec l’Equipe ERIMIT/Rennes 2 : La transgression des frontières et du territoire des formes narratives contemporaines dans les fictions de la mémoire post dictatoriale de l’Amérique latine: Tununa Mercado, Ronaldo Costa Fernandes, Alberto Manguel, Teixeira Coelho.
  • Recherche développée dans le cadre du Programme DEA de la Fondation des Sciences de L’Homme – Paris/CNPq (Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico – CNPq/Groupe de Recherche Charles Morazé: Relations Culturelles entre l’Amérique et la France: Charles Morazé et les intellectuels Brésiliens.

 

Fille d’un diplomate malien qui au gré de ses nominations aura passé sa vie entre les USA, l’Europe et le Moyen-Orient, Rokia Traoré est née en 1974 dans la région de Belidougou au Mali, près de la frontière mauritanienne mais son enfance se déroule au fil des affectations de son père diplomate.

Après des études achevées à Bruxelles, elle décide d’aller se ressourcer au Mali pour mettre en forme cette musique qu’elle sent confusément en elle — « ni pop, ni jazz, ni classique — quelque chose de très contemporain interprété par des instruments traditionnels. » Une véritable gageure. Elle se met alors en quête de musiciens capables de la soutenir dans son désir de composer des chansons résolument modernes interprétées dans des orchestrations mêlant guitare acoustique, n’goni et balafon. Le succès est finalement au rendez-vous : elle est saluée comme la « Révélation africaine de l’année 1997 » après son passage au festival Musiques Métisses d’Angoulême. Depuis lors, et au fil des années, son aura ne cesse de croître et son public ne cesse de s’élargir.

Mais Rokia demeurera fidèle à sa quête intérieure, continuant de développer un univers musical profondément singulier.

Le pari de Rokia Traoré est là : faire une musique authentique et innovatrice sans succomber aux modes. Et Voilà le secret toute vraie chanteuse : créer sa propre langue, un idiome musical jailli d’une source parfois mystérieuse et qui touche au cœur des gens.

Son troisième album, « Bowmboi », paru en 2003, brillait de sa rencontre avec le prestigieux Kronos Quartet.
En 2005, elle fut invitée à rejoindre un casting de stars réunissant notamment Fontella Bass et Dianne Reeves pour une tournée américaine d’un spectacle consacré à la vie de Billie Holiday, « Billie and Me ».

L’année suivante, à l’invitation de Peter Sellars, Rokia écrit et interprète une œuvre originale , « Wati » dans le cadre du New Crowned Hope Festival de Vienne à l’occasion de la célébration du 250e anniversaire de la naissance de Mozart. Le spectacle fut par la suite donné au Barbican Center de Londres puis à Paris, salle Pleyel, dans le cadre de la saison 07/08 de la Cité de la Musique. Transformant la commande de sa manière inimitable Rokia a composé une œuvre très personnelle dans laquelle Mozart apparaît comme un griot, musicien de père en fils, vivant au 13e siècle, époque mythique où le grand chef Soundiata Keita régnait sur l’Empire Mandingue.

En 2008, Rokia Traoré présentait avec « Tchamantché », (album « blues – rock mandingue» comme elle aime à le qualifier) les dernières avancées d’un univers qui a déjà profondément modifié le regard que l’Occident peut porter sur la musique africaine. Cet album est couronné , en 2009, par les Victoires de la Musique.

Cette même année, elle crée « Passerelle », une fondation établie à Bamako et destinée à favoriser la professionnalisation de jeunes chanteurs et techniciens maliens.

Fin 2010, à peine la tournée « Tchamantché » achevée (plus de deux cents concerts en Europe et dans le monde entier), Rokia participe, avec l’écrivain Prix Nobel de Littérature Toni Morrison et le metteur en scène Peter Sellars à la nouvelle création de ce dernier : « Desdemona ». Elle en compose la musique et l’interpréte au printemps et à l’automne 2011 sur les scènes parmi les plus prestigieuses d’Europe et des Etats Unis.

Désireuse de prolonger le travail entrepris à cette occasion avec une formation acoustique de trois musiciens et trois choristes, elle a donné, à la fin de l’année 2011, et avant d’entreprendre la réalisation de son cinquième album, une série exceptionnelle de concerts (intitulés « Roots ») principalement consacrés à un hommage à la tradition malinké. L’accueil de chacun de ces concerts a été objectivement enthousiaste : salles combles, public extrêmement chaleureux.

Une nouvelle tournée « Roots » , avec un répertoire élargi à d’autres de ses racines, était donc au programme de Rokia au mois d’octobre 2012.

En juin 2012, Rokia a présenté trois créations dans le cadre du «Summer Music 2012» organisé par le Barbican Centre de Londres.

Son cinquième album studio «Beautiful Africa» est paru quant à lui en France le 1er avril 2013 chez Nonesuch Records. John Parish en a assuré la réalisation…

 

(source : http://www.rokiatraore.net/bio/)

Astrophysicien.

Directeur du Département Arts Plastiques – Université Rennes 2
Réalisateur en langue bretonne et maître de conférence à l’Université de Rennes 2

Directeur des Champs Libres (Rennes).

Ancien ingénieur géologue au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) et directeur de recherche au CNRS, Roland Trompette a enseigné les fondements des Sciences de l’Univers en première année d’université. C’est cet enseignement qui a servi de base à la rédaction du livre La terre une planète singulière. Il a également été enseignant au DEA de l’Université d’Aix-Marseille III et à l’Université de São Paulo. Médaille d’argent du CNRS en 1983

Romain Espinosa est chargé de recherche au CNRS et membre du centre de recherche en économie et management (CREM – UMR 6211). Ses recherches se concentrent sur les thématiques suivantes :

  • Économie végétalienne : bien-être animal et régimes à base de plantes.
  • Droit et économie, économie de l’environnement.
  • Choix public : votes, préférences politiques.

 

Maître de conférences en science de la communication à l’université Rennes 2, Romain Huët est chercheur au laboratoire PREFICS (EA7469) et chercheur associé à la FMSH (Fondation Maison des Sciences de l’Homme). Il est l’auteur de plusieurs recherches sur les guérillas et les émeutes urbaines (2012-2018). À la suite d’une ethnographie de plusieurs mois au sein de groupes rebelles syriens, il a co-réalisé le film documentaire Après le Printemps. Vie ordinaire de combattants syriens (2017). Membre du comité de rédaction de la revue Socio, il est responsable du programme ANR Jeune chercheur « Ethnographie des émeutes et des guérillas : Formation subjectives, émotions et expériences de la violence en train de se faire » 2018-2022.

Romain Leduc est journaliste à la radio C-Lab.

Assistant Hospitalier-Universitaire (CHU de CAEN / UCBN) de CAEN, (Basse-Normandie), Romain Lericollais est docteur en Chronobiologie.

Il a soutenu sa thèse en 2009 sur la « Fluctuations diurnes de la fatigue et du geste de pédalage au cours d’un exercice de type anaérobie : influence de la privation de sommeil ».

Romain Pigeaud est un archéologue et préhistorien français né en 1972.
Il est également directeur éditorial des Éditions Errance depuis 2008.
Après avoir consacré sa thèse à l’art pariétal de la Grotte Mayenne-Sciences, il dirige l’équipe qui découvre en 2005 le caractère orné de la Grotte Margot située dans la vallée de l’Erve sur le site des Grottes de Saulges en Mayenne.

Romain Vullo est paléontologue, Laboratoire Géosciences (OSUR, Université de Rennes 1, CNRS).

Tout juste recruté au CNRS en tant que chargé de recherche, Romain Vullo intègre l’équipe « Biodiversité : interactions, préservation, évolution » du laboratoire Géosciences Rennes. Ses activités de recherche se focalisent principalement sur les faunes de vertébrés du Crétacé ouest-européen, à travers l’exploitation et l’étude de gisements récemment découverts en France et en Espagne.

Ses travaux menés durant son doctorat (effectué à Géosciences Rennes de 2002 à 2005) ont porté sur l’analyse des assemblages de microrestes de vertébrés du Crétacé supérieur nord-aquitain. L’exploitation de nouveaux gisements a mis en évidence la présence de très nombreuses formes jusque là inconnues en Europe pour cette période (dinosaures, mammifères marsupiaux, etc…). Le registre fossile des vertébrés continentaux du Cénomanien ainsi mis à jour, des reconstitutions paléoenvironnementales et paléobiogéographiques ont alors pu être proposées, démontrant les affinités à la fois laurasiatiques et gondwaniennes du cortège faunique. De plus, une expérience actuo-taphonomique a été mise en place au Bahamas pour tenter de cerner les conditions de formation des niveaux riches en (micro)restes de vertébrés. Par la suite, ses recherches et travaux post-doctoraux (ATER à Géosciences Rennes et post-doctorat à l’Université Autonome de Madrid) se sont élargis à l’Europe de l’Ouest et au Crétacé inférieur, notamment à travers de l’étude de certains groupes de vertébrés du gisement à préservation exceptionnelle de Las Hoyas (Espagne).

Le Crétacé représente une période caractérisée par de grands changements globaux, dont découlent d’importants événements marquant la biosphère (« Cretaceous Terrestrial Revolution »). Les grandes lignes du programme de recherche consistent à étudier les interactions géosphère-biosphère au sein d’un intervalle de temps relativement peu documenté en Europe : le Crétacé inférieur à « moyen ». Grâce à l’étude et l’analyse complète (biodiversité, phylogénie, paléoécologie, paléobiogéographie, taphonomie) de riches faunes de vertébrés continentaux à margino-littoraux provenant de nouveaux sites ouest-européens (gisements à concentration/conservation exceptionnelles), les reconstitutions paléoenvironnementales et paléogéographiques de l’archipel européen du Crétacé se trouveront fortement renforcées. En effet, la mise en évidence d’échanges fauniques pourra révéler l’existence de routes de dispersion entre l’Europe et les différentes masses continentales (« ponts » trans-téthysiens ou trans-atlantiques). Par ailleurs, ces fossiles de vertébrés pourront servir de support à des analyses géochimiques (d18Op) visant à retracer d’éventuelles variations climatiques.

Depuis la publication de Life, Animated, Ron Suskind est devenu un défenseur connu pour la communauté d’autistes, s’adressant à des publics partout dans le monde sur l’histoire de sa famille et la découverte de l’Affinity Therapy – une forme de thérapie que Tom Insel, directeur de l’Institut National de la Santé Mentale (NIMH) aux États-Unis, appelle « un renversement complet des perspectives ». Ron et Cornelia ont collaboré avec les meilleurs chercheurs du MIT, Yale et Cambridge pour financer de nouvelles recherches qui étudient les mécanismes neuronaux sous-jacents de l’Affinity Therapy. Cela aurait pour conséquence que les études scientifiques comme celles-ci puissent être élaborés dans l’optique d’une l’amélioration des thérapies, des modèles éducatifs, des modalités de suppléance et donc des résultats pour les personnes atteintes de TSA. Les Suskinds ne se rangent du côté d’aucune causalité ou de modalité particulière dans le traitement  l’autisme, mais ils trouvent que l’accent mis sur les affinités est favorable et améliore presque toutes les  orientations thérapeutiques. Ils ont constaté que les affinités des personnes atteintes d’autisme peuvent être exploitées de manière à ce que leurs capacités inexploitées ou inaperçues se révèlent. Le respect de ces affinités vient à son tour nourrir et renforcer le lien entre l’autiste et le monde.

Ronan Allain est paléontologue au Muséum national d’Histoire naturelle de Paris.

Ronan Le Coadic, né à (Saint-Brieuc dans les Côtes-d’Armor le 9 février 1962), est un sociologue français. Diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris en 1986, il travaille brièvement dans une entreprise privée de formation permanente avant de reprendre ses études et de préparer l’agrégation de sciences sociales. Reçu en 1989, il enseigne les sciences économiques et sociales en lycée pendant quatre ans. Puis il prend la direction éditoriale d’une maison d’édition pédagogique en langue bretonne, TES, où il demeure sept ans, tout en poursuivant ses études de sociologie. Reçu au doctorat de sociologie à l’Université de Bretagne occidentale (Brest) en 1997, puis à l’habilitation à diriger des recherches à l’Université Rennes 2 en 2002, il devient maître de conférences à l’Institut universitaire de formation des maîtres (IUFM) de Bretagne de 1999 à 2010, puis professeur de langue et culture bretonnes à l’Université Rennes 2 en 2010. Il est membre du site rennais du Centre de recherche bretonne et celtique (CRBC, EA 4451), où il anime un groupe de recherche pluridisciplinaire intitulé Ermine, « Equipe de recherche sur les minorités nationales et les ethnicités ».
Ronan Le Coadic est, par ailleurs, président de l’association Mignoned Anjela depuis 1998 et de Bretagne Culture Diversité depuis 2012.

Ronan Le Mouhaër est journaliste à Canal B. Réalisateur de l’émission Chercheurs en ville, il produit les reportages La Série diffusés du lundi au jeudi à 18h45 sur Canal B.

Fonction actuelle : professeur des Universités, Université de Rennes 1.

Parcours universitaire et situations administratives

– 1995 : Ingénieur INSA de Rennes (Mention TB). DEA Electronique (Mention TB).
– 1996 : Agrégation de Génie Electrique.
– 1996-1998 : Elève à l’ENS de Cachan.
– 1996-1999 : Doctorat de l’Université de Rennes 1 – Thèse préparée en codirection avec le CRL (Communications Research Laboratory, Tokyo). Titre : Etude de résonateurs de Perot-Fabry et d’antennes imprimées en ondes millimétriques. Conception d’antennes à faisceau gaussien.
– Septembre 2000 : Maître de Conférences, Université de Rennes 1 (Section CNU 63).
– Novembre 2005 : Habilitation à Diriger des Recherches (spécialité : Electronique), Université de Rennes 1. Titre : Antennes, ondes millimétriques et microtechnologies. Structures périodiques et métamatériaux.
– Septembre 2006 – Août 2007 : Accueil en demi-délégation CNRS à l’IETR.
– Septembre 2007 – Août 2012 : Membre Junior de l’Institut Universitaire de France (IUF).
– Novembre 2009 : Professeur des Universités, Université de Rennes 1.

Activités d’enseignements :
– Electronique analogique et numérique
– Télécommunications, Hyperfréquences.
– Electromagnétisme, Antennes

Ronan Ulvé, doctorant à l’Institut de génétique et de développement de Rennes

Roselyne Lefrançois, née le 20 juin 1950 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), est une personnalité politique française.

Membre du PS depuis 1996, elle est membre de la Commission des libertés civiles, justice et affaires intérieures et de la Commission des droits de la femme et de l’égalité des genres. Elle est devenue députée européenne en juin 2007 à la suite de l’élection de Marie-Line Reynaud à l’Assemblée Nationale.

Adjointe au maire, déléguée aux relations internationales et aux affaires européennes depuis 1995 elle est également conseillère communautaire à Rennes Métropole depuis 1995.

Roselyne Quéméner est maître de conférences associée – PAST, filière cinéma, département des arts du spectacle de l’université Rennes 2. Elle assure la coordination des enseignements d’écriture critique et d’écriture scénaristique en licence 2 et licence 3 et la coordination des enseignements « métiers de la diffusion cinématographique et audiovisuelle » en licence 2 et licence 3.

Ingénieure de recherche, spécialiste de l’audio 3D
Responsable du Groupe Perception Sonore (GPS), de La Société Française d’Acoustique

Sabrina Ratté s’intéresse aux multiples manifestations de l’image numérique : la vidéo analogique, l’animation 3D, la photographie, l’impression, la sculpture, la réalité virtuelle et l’installation. L’intégration continuelle de nouvelles techniques appuie formellement les thèmes qui traversent ses œuvres tels que l’influence psychologique qu’exerce l’architecture et l’environnement numérique sur notre perception du monde ainsi que la relation que nous entretenons avec l’aspect virtuel de l’existence.

Enseignant-chercheur en agronomie à Agrocampus-Ouest (Laboratoire de Sciences du Végétal)Animatrice de l’équipe MO-SOLCo-responsable du master 1 « Sciences et Productions Végétales » (Co-habilitation Agrocampus Ouest/Université Rennes 1)

Domaines d’enseignement :
Agronomie générale ;
Diagnostics agronomiques ;
Matière organique dans les sols cultivés (caractérisation, dynamique, modélisation) ;
Gestion durable des fertilisants et amendements organiques ;
Systèmes de cultures ;
Réglementation environnementale (Directive Nitrates, Installations Classées).

Thèmes de recherche développés :
– Dynamique des matières organiques et fonctionnement des sols cultivés : Impact de la gestion des matières organiques à l’échelle du système de culture (Systèmes de cultures légumiers, systèmes de cultures fourragers incluant la réduction du travail du sol) sur la stabilité structurale des sols – conséquences sur la qualité de sols ;
– Etude de la dynamique des processus physiques et biologiques dans l’horizon cultivé.

Né en 1979, Samuel Aligand vit à Aubervilliers et travaille à Gennevilliers. Il a obtenu le DNSEP de l’Ecole Nationale Supérieure d’Arts de Paris-Cergy en 2003.
Son travail, nourri par un goût pour les procédés techniques, s’inscrire dans cette tradition qui, depuis les avant-gardes historiques, tend à relier art et science. Chacune de ses productions est l’occasion d’expériences visant à pousser la matière dans ses retranchements, jusqu’à en obtenir certaines propriétés extrêmes : il modèle les panneaux de PVC par thermoformage, amène les colles additionnées de pigment à fusion afin de les mouler, fige les polymères par choc thermique. Ce processus expérimental dénote également d’un souci de déconstruction très proche de celui qui guide la notion d’anti-forme.

Entre autres expositions personnelles, ses œuvres ont été présentées par POCTB (Orléans, 2015 et 2013), au Centre d’art le Safran (Amiens, 2009), à la Galerie du Haut-Pavé (Paris, 2006). Il a également investi La Borne, à Montoire sur le Loir, en 2011. Parmi nombre d’expositions collectives, il a participé à : Mutation(s) à la Maison des arts plastiques Rosa Bonheur (Chevilly-Larue, 2015), Nuit Blanche avec la Galerie RDV hors les murs (Le Prisme, Elancourt, 2014), Détournement et recyclage à la Maison des Bonheur (Magny-les-hameux, 2014), Jonction et 3en1 : la sculpture à l’Espace d’art contemporain Camille Lambert (Juvisy-sur-Orge, 2012), Rencontres N°41 à La Vigie (Nîmes, 2012), Théories de la pratique à la Galerie Art et Essai (Université Rennes 2, 2010), La chair de l’objet à la Villa des tourelles (Nanterre, 2009). En 2011, il a présenté son travail à l’école d’arts plastiques de Sartrouville lors d’une exposition/conférence intitulée Introspections. En 2004, il a réalisé une résidence de six mois auprès de Triangle à la Friche La Belle de Mai à Marseille.

Samuel Bianchini vit et travaille à Paris. Ses œuvres sont régulièrement exposées en France et à l’étranger : Centre Georges Pompidou, Musée national d’art contemporain d’Athènes, Jeu de Paume (Paris), Laboratoria (Moscou), Biennale de Théssalonique, Rencontres Chorégraphiques de Carthage, Centre pour l’image contemporaine de Genève, Biennale de Rennes, La Ménagerie de verre (Paris), space_imA et Duck-Won Gallery à Séoul, Nuit Blanche à Paris, Musée d’art contemporain Ateneo de Yucatán à Mexico, Cité des sciences et de l’industrie à Paris, Zentrum für Kunst und Medientechnologie (ZKM) à Karlsruhe, Musée d’art moderne de la Ville de Paris, La Villa Arson (Nice), etc.
Pour ses recherches qui interrogent en particulier l’incidence des dispositifs technologiques sur nos modes de représentation, nos nouvelles formes d’expériences esthétiques et nos organisations socio-politiques, il collabore avec des scientifiques et
des laboratoires de recherche en ingénierie : Limsi-CNRS (Laboratoire pour la mécanique et les sciences de l’ingénieur, Orsay), Orange Labs, IEMN (Institut d’électronique de microélectronique et de nanotechnologie, Lille-Valenciennes), IETR (Institut d’électronique et de télécommunications de Rennes), Liris (Laboratoire d’informatique en image et systèmes d’information, Lyon), LIFL (Laboratoire d’informatique fondamentale de Lille), CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives, Saclay).
En relation étroite avec sa pratique artistique, Samuel Bianchini a entrepris un travail théorique qui donne lieu à de fréquentes publications : Éditions du Centre Pompidou, Éditions Jean-Michel Place, MIT Press, Analogues, Burozoïque, Hermes, Les presses du réel, etc.
Né en 1971 à Nancy, il a étudié l’art à travers différentes approches : Beaux-arts (Post diplôme, École régionale des Beaux-arts de Nantes), Arts décoratifs (Ensad, École nationale supérieure des arts décoratifs, Paris), Arts appliqués (Ensaama, École nationale supérieure des arts appliqués et des métiers d’art, Paris), Arts et métiers (Cnam, Paris) et Arts plastiques (Université Paris 1 – Panthéon-Sorbonne).
Après avoir soutenu sa thèse de doctorat au Palais de Tokyo avec une exposition personnelle, il est aujourd’hui membre des laboratoires Calhiste (Université de Valenciennes) et Citu (Université Paris 8). Il est enseignant-chercheur (Maître de conférences) à l’Université de Valenciennes et auprès d’EnsadLab, laboratoire de recherche de l’École nationale supérieure des arts décoratifs (Paris). Il est responsable scientifique et coordonnateur du projet de recherche “Praticables. Dispositifs artistiques : les mises en œuvre du spectateur” soutenu par l’Agence nationale de la recherche.

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