Jean Aubin a travaillé dans le domaine de l’agriculture, avant de devenir professeur de mathématiques ; il a écrit plusieurs ouvrage sur la décroissance, et notamment Croissance : l’impossible nécessaire (éd. Planète bleue).
Jean Audouze est un astrophysicien français. Il est également directeur de recherche au CNRS à l’Institut d’astrophysique de Paris (IAF) dont il a été le directeur de 1978 à 1989.
Né à Alger en 1951, le directeur artistique et culturel Jean Blaise passe son enfance à Ris-Orangis dans la banlieue parisienne. Licencié en lettres en 1976, il prend la direction de divers centres culturels avant de fonder en 1982-1983 la Maison de la culture de Nantes. Il s’allie dès 1989 au maire PS de Nantes, Jean-Marc Ayrault, dont il devient l’homme de confiance.
Décrit par le journal Le Monde comme « l’allumé de la vie culturelle nantaise », Jean Blaise crée en 1997 le Festival Fin de siècle, manifestation prenant le relais du Festival des Allumés qu’il a monté à Nantes dès 1990.
En 2000 il crée dans l’ancienne usine Lu le Lieu Unique, espace nantais s’étendant sur 8000m² dévolus à toutes les disciplines artistiques. Fort de ces expériences originales de grande envergure, Bertrand Delanoë le nomme directeur artistique de la première Nuit blanche à Paris. Créateur en 2007 d’Estuaire, Biennale d’art contemporain s’étendant sur tout l’estuaire de la Loire, Jean Blaise devient un personnage incontournable de la vie culturelle nantaise.
Début 2011, Jean-Marc Ayrault lui confie le poste de directeur général du Voyage à Nantes, Société Publique Locale regroupant l’Office de Tourisme de Nantes, l’Estuaire et la Société Nantes Culture et Patrimoine (qui gère le Château des ducs de Bretagne et les Machines de l’île), une structure colossale réunissant deux cents salariés et regroupant l’ensemble des services de la culture, du patrimoine et du tourisme nantais. Son but, transformer Nantes, ville de passage, en Nantes, destination touristique à l’échelle européenne.
Parcours :
– Licence en Physique de l’Université de Liège, Belgique (1979-1983)
– PhD en Geophysique et Oceanographie, Dalhousie University, Halifax, Canada (1983-1988)
– Professeur des Universités, The Australian National University, Canberra, Australia (1989 – 2004)
– Professeur des Universités, Université de Rennes 1, France (2004-2009)
– Chaire d’Excellence Senior de l’Agence Nationale de la Recherche (2005-2009)
– Membre, Canadian Institute for Advanced Research since 1993
– Membre, Institut Universitaire de France since 2010
Jean Cléder est enseignant-chercheur en littérature comparée à l’Université Rennes 2. Il est notamment l’auteur de Marguerite Duras, trajectoire d’une écriture (2006, éditions Le Bord de l’eau, collection Arts en parole) , Eric Rohmer, évidence et ambiguïté du cinéma (2007, éditions Le Bord de l’eau, collection Arts en parole).
Jean Danet est Maître de conférences en droit privé et sciences criminelles à la Faculté de droit et des sciences politiques, Université de Nantes, et Directeur de l’Institut d’études judiciaires.
Né en juillet 1953, Jean Danet a suivi à Nantes, Rennes et Paris 1 des études de droit. Après un DES de droit privé à Nantes (1975) et un DEA de droit et économie rurale (1976) à Rennes, il a soutenu en février 1982 une thèse de doctorat d’Etat en droit privé dirigée par Jean Denis Bredin « Droit et disciplines de production et de commercialisation en agriculture », jury présidé par le Doyen Jean Carbonnier. De 1982 à 2000, il a publié diverses études menées dans le sillage du Professeur Louis Lorvellec, dans le domaine du droit économique agricole. Avocat au Barreau de Nantes de 1978 à 2000 et depuis lors avocat honoraire, Maître de conférences à l’université de Nantes depuis 1995, il a orienté ses recherches depuis dix ans vers le droit pénal et les sciences criminelles.
Maître de conférences en histoire de l’art à Rennes depuis 2001, Jean Deulceux propose des interventions en histoire de l’art et culture générale. Il anime chaque année des conférences au sein des locaux de LISAA (L’Institut supérieur des arts appliqués) sur différents thèmes. Ouvertes à tous, ses conférences sont de véritables voyages au coeur
même des oeuvres d’art.
Jean Deulceux intervient dans de nombreuses structures : écoles primaires, collèges, lycées, musées, centres-culturels, Universités du Temps Libre, cinémas, maisons de retraite, bibliothèques, communautés de communes, club de vacances, manifestations culturelles…
Jean Dufourcq est Contre Amiral, Directeur de recherche à l’Ecole militaire (Paris), et ancien Directeur du centre de recherche du collège de l’OTAN (Rome).
Jean Faivre est Professeur à l’Université de Bourgogne et gastroentérologue. Il est également Directeur du Centre d’épidémiologie de population et du Registre bourguignon des cancers digestifs.
Jean Guiffan, né le 6 janvier 1938, est un professeur d’histoire-géographie à Nantes et un historien, auteur de nombreux ouvrages, notamment sur l’Irlande et sur la Bretagne. Il a aussi joué un rôle politique dans l’évolution du Parti socialiste à Nantes dans les années 1970.
Il réussit le concours de l’agrégation au début des années 1960. Il est nommé au Lycée Clémenceau à Nantes, d’abord dans les classes secondaires, puis dans les classes préparatoires littéraires et commerciales. Il a aussi été chargé de cours à l’Université de Nantes. Très rapidement, il se consacre à un travail de vulgarisation de haut niveau, principalement à destination des étudiants en histoire.
Docteur en Sciences de l’éducation
Jean Jouzel est né le 5 mars 1947 à Janzé, en Bretagne. Son parcours académique commence du côté de la chimie avec l’obtention d’une licence en 1967.
En 1968, il est diplômé de l’école supérieure de chimie industrielle de Lyon et poursuit avec un DEA de chimie physique à l’issue duquel il présente sa thèse. En 1974, sa thèse de docteur ès-sciences, effectuée au sein du CEA (Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives), porte sur les mécanismes de formation des grêlons.
C’est au même CEA que sa carrière de scientifique commence. Il doit son premier succès au projet Vostok qui voit la découverte d’une couche de glace de 200 mètres sous le lac sous-glaciaire du même nom, en Antarctique.
Fort de ce succès et de celui du programme Grip (forage au Groenland), Jean Jouzel met sur pied le programme Epica qui consiste à effectuer des forages dans l’Antarctique, et en devient directeur de 1995 à 2001.
Parallèlement, il assure les fonctions diverses de responsable du laboratoire de géochimie isotipique du CEA de 1986 à 1991, directeur adjoint du laboratoire de glaciologie et géophysique de l’environnement (CNRS) de 1989 à 1995, directeur adjoint du laboratoire de modélisation du climat et de l’environnement (CEA) de 1991 à 1996, chef de ce même laboratoire en 1997 ou encore responsable du groupe « climat » au sein du laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (CEA/CNRS).
De 2001 à 2008, il est directeur de l’institut Pierre-Simon Laplace, une fédération de sept laboratoires créée en 1991, travaillant notamment sur les questions du climat. Depuis 1995, il est directeur de recherches au CEA.
En 1994, Jean Jouzel intègre le Giec (Groupe d’experts international sur l’évolution du climat), en tant qu’expert du groupe de travail n°1. Il fait maintenant partie du conseil d’administration du groupe d’experts.
En 2002, le CNRS lui décerne, conjointement avec Claude Laurius, sa médaille d’or, plus haute distinction de la recherche scientifique en France. En 2007, avec le Giec, il reçoit le prix Nobel de la paix.
Jean Jouzel est également membre de nombreuses académies ou sociétés savantes.
Au cours de sa carrière, il a été l’auteur de plus de 250 publications scientifiques dont environ 200 sont parues dans les meilleures revues scientifiques (revues de rang A, comme Nature ou Science). Il est l’un des auteurs les plus cités dans le domaine des sciences de l’univers.
Jean Orloff est membre du bureau CP-CNU (Conseil National des Universités).
Jean Perrottet, né en 1925, est un architecte français célèbre pour ses restructurations des théâtres parisiens depuis les années 1960, en collaboration avec Valentin Fabre.
Jean Perrottet se joint, avec Valentin Fabre, à Jacques Allégret, Jean Tribel et Georges Loiseau pour fonder en 1960 l’Atelier d’urbanisme et d’architecture. Il est récompensé par le Prix de l’Équerre d’argent en 1960.
Né en 1947, Jean Salmon est une figure du monde agricole français.
Il a travaillé entre autre sur l’intégration de la question environnementale dans l’activité agricole française, dans les années 1990. Il a également contribué à la conduite de la réforme de la PAC, en tant que vice-président des Chambres d’Agriculture Françaises.
Maître de conférences associé à l’IGR – IAE
Conseil en management, coach professionnel et médiateur, président de l’ANDRH (Association des Directeurs de Ressources Humaines) Bretagne Est
Enseignement, recherche : gestion des ressources humaines, pédagogie de la délégation
Linguiste, spécialisé en sociolinguistique. Il a été professeur à la Faculté des lettres de l’Université de Rouen.
Né en 1964.
Professeur d’histoire de l’art contemporain (architecture et urbanisme), Université François Rabelais, Tours.
Membre de la Commission supérieure des monuments historiques, section Abords.
Membre du Conseil national de l’Inventaire général du patrimoine culturel.
Membre du comité de rédaction de la revue en ligne In Situ.
Champs de recherche
– Architecture et urbanisme du XXe siècle.
– Méthodologie de l’inventaire patrimonial des espaces bâtis.
– Circulation des modèles architecturaux et urbains.
– Historiographie de l’histoire de l’architecture et de l’urbanisme contemporains.
Parcours et diplômes
1987 – Maîtrise d’histoire de l’art. Université Paris IV-Sorbonne, direction Bruno Foucart. Sujet : Pierre Barbe, architecte.
1988 – DEA d’histoire de l’art. Université Paris IV-Sorbonne, direction Bruno Foucart. Sujet : L’architecture régionaliste entre les deux guerres.
1994 – Doctorat d’histoire de l’art. Université Paris IV-Sorbonne.
Jury : Bruno Foucart (direction), François Loyer (président du jury), Gérard Monnier, Maurice Culot. Sujet : Henri Sauvage, architecte (1873-1932).
1994 – Élu maître de conférences en histoire de l’art contemporain à l’université François Rabelais, Tours.
2004 – Habilitation à diriger les recherches en histoire de l’art. Université Paris IV-Sorbonne. Jury : Bruno Foucart (direction), Jean-Yves Andrieux (président du jury), Pierre-Robert Baduel, Michel Lussault, Claude Mignot, Jean-François Pinchon.
Sujet : Patrimoine, histoire et historiographie, des faubourgs de Paris à la Méditerranée. L’histoire de l’architecture et ses méthodes, face aux villes et à leurs périphéries au XXe siècle.
2006 – Élu professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université François Rabelais, Tours.
Jean-Baptiste Pressac est ingénieur (CRBC, UBO).
Directeur du CIRED.
Directeur de Recherche CNRS.
Directeur d’Etudes EHESS
Thèmes de recherche :
– Processus de re-construction de la compétitivité des pays émergents sous conditions de développement durable.
– Intervention publique et développement industriel des économies émergentes d’Asie du sud-est. Analyse de l’intégration internationale et de la régionalisation économique appliquée aux économies d’Asie orientale
– Approfondissement de travaux antérieurs sur la relation entre compétitivité des économies émergentes et leur formes d’organisation industrielle (cluster, groupes)
Parcours de recherche :
– Recruté comme économiste à l’ORSTOM (actuel Institut de Recherche pour le Développement) en 1984, membre d’un équipe menant des recherches comparatives sur les stratégies d’industrialisation dans les pays en développement.
– Séjour en Thaïlande de 1985 à 1994. D’abord comme expert pour le NESDB, Bureau du Premier Ministre de Thaïlande chargé du Plan, il a travaillé dans une unité chargée de coordonner un programme de développement stratégique, notamment d’infrastructures et d’industries prioritaires tout en développant un réseau de contacts scientifiques et de collecte de données sur les économies émergentes d’Asie orientale.
– Projet de recherche en coopération, à l’Université Chulalongkorn à Bangkok de 1989 à 1994 (Social Research Institute). Son champ de travail portait sur la caractérisation de l’industrialisation rapide en Thaïlande, plus particulièrement l’évolution du secteur
manufacturier, ses structures et ses acteurs, dans une optique comparative avec d’autres économies émergentes de la région.
– Centre Asie de l’Université de Grenoble (CNRS) puis au Centre de Ressource sur les Economies Emergentes (1995-1999) de l’IREPD.
– Divers enseignements de 2e et 3e cycle (DEA Economie Internationale, DESS dynamisation du développement à Grenoble, IEP Lyon, Université de Nanterre et CHEAM Paris).
– Département Expertise et Valorisation (DEV) de l’IRD (2001-2006), valorisation et de transfert des résultats de la recherche – accueilli par l’Anvar – puis des secteurs de la consultance et de l’essaimage, en ralation avec les pays du Sud. Comme spécialiste
d’économie appliquée au développement des activités productives, co-direction avec Ch. Moretti de l’Ird et J. Guézennec de l’Ifremer, d’une expertise collégiale sur la valorisation des substances naturelles en Polynésie Française (2005-2006).
Jean-Christophe Villain est chargé de la valorisation de la recherche à l’InSHS (CNRS).
Jean-Claude Daubert est rythmologue au CHU de Rennes.
Jean-Claude Gardes est professeur de littérature allemande à l’université de Bretagne occidentale. Chercheur au sein du laboratoire HCTI (EA4249), un de ses domaines de recherche de prédilection concerne la caricature. Il dirige notamment l’Équipe interdisciplinaire de recherche sur l’image satirique (ou EIRIS). Ce groupe d’une soixantaine de chercheurs s’intéresse à l’image satirique. Provenant de différents pays (allemands, américains, anglais, belges, brésiliens, canadiens, coréens, français, italiens, portugais), ils appartiennent à diverses disciplines (romanistique, germanistique, angliciste, histoire, philosophie, psychologie, histoire de l’art, sémiotique).
Jean-Claude Kaufmann est un sociologue français né en 1948 à Rennes. En 1969 il devient chercheur contractuel. Spécialiste de la vie quotidienne, il a ensuite replacé ses premières analyses dans la problématique plus large de l’identité, qu’il a de ce fait contribué à renouveler. Il a travaillé également dans le cadre général de ses recherches au CNRS, sur la socialisation et la subjectivité. Il est admis au Centre national de la recherche scientifique (Centre de recherche sur les liens sociaux, Université Paris Descartes – Sorbonne) en 1977. En 2000, il devient Directeur de Recherche. Il est membre du CERLIS (centre de recherche sur les liens sociaux) au laboratoire CNRS de l’Université Paris 5-Sorbonne et enseignant De par ses travaux en sociologie, Jean-Claude Kaufmann a été amené à développer ses propres outils et méthodes de travail, en prise directe avec les terrains d’enquête. Cette approche marquée par un goût pour le concret lui a permis de révéler des mécanismes sociaux de la subjectivité et de l’identité peu connus. Il a notamment travaillé sur la construction du couple et de la famille, sur les attentes des individus en matière de vie conjugale et d’amour, ainsi que sur la vie à deux et ses implications sur la construction des identités. Il a écrit de nombreux articles dans les revues nationales et internationales et il est l’auteur de nombreux ouvrages.
Source : Biographie de la Documentation de Radio France, 10/2013
Jean-Claude Lefeuvre est Professeur émérite au Muséum National d’Histoire Naturelle et président de l’Institut Français de la Biodiversité (IFB) depuis sa création en 2000.
Il préside également le comité de pilotage du programme « biodiversité » de l’ANR -Agence Nationale de la Recherche- Il est vice-président du Conseil National de la Protection de la Nature et président du conseil scientifique du Conservatoire de l’Espace Littoral. Il est membre de plusieurs autres comités et conseils scientifiques (Office Parlementaire d’Évaluation des Choix Scientifiques et Techniques, Conseil Scientifique du Patrimoine Naturel et de la Biodiversité du Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable, Comité National de l’Eau,…).
Il a présidé la Fédération Française des Sociétés de Protection de la Nature (devenu France Nature Environnement), a été conseiller pour l’Europe de l’Ouest de l’UICN, Vice-président du WWF France et président de son conseil scientifique. Il a été membre de la commission de préparation de la Charte de l’Environnement.
En Bretagne, sa région d’origine, il préside le Conseil Scientifique Régional du Patrimoine Naturel, est membre du Conseil Scientifique de l’Environnement .
Pour la Mauritanie, il est membre de la Fondation Internationale du Banc d’Arguin et président honoraire du conseil scientifique du Banc d’Arguin.
Jean-Claude Lefeuvre a débuté sa carrière universitaire comme endocrinologiste, spécialiste de la morphogénèse alaire des insectes. Nommé professeur à l’Université de Rennes en 1969, il réoriente ses recherches en écologie dès le début des années 1970, en abordant successivement plusieurs thèmes: landes,
bocages, zones humides. Il est nommé professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle en 1979 et créée le Laboratoire d’Evolution des Systèmes Naturels et Modifiés qui devient en 1985 laboratoire mixte MNHN/Université de Rennes1, associé au CNRS et à l’INRA. De 1980 à 1985, il a été responsable de l’Unité
d’Ecodéveloppement du SAD à l’INRA et a animé l’action concertée de recherche sur les Marais de l’Ouest programmée avec le soutien du CNRS et de la CEE. De 1990 à 2000, il a été responsable de plusieurs programmes successifs européens de recherche sur le fonctionnement des marais salés des côtes ouest européennes, regroupant des équipes des Pays-Bas, du Portugal, de Grande-Bretagne et de France.
Il est l’auteur de près de 380 publications (dont une partie importante dans des revues internationales), a publié un ouvrage sur la baie du Mont-Saint-Michel, est co-auteur de « Fonctions et valeurs des zones humides » et de « European Salt Marsh Modelling » (2 vol.). Il a participé à une trentaine d’ouvrage.
Il a dirigé plusieurs études sur l’évaluation de la qualité des eaux brutes françaises destinées à l’alimentation en eau potable : 1981, 2000 et 2005. Il a également dirigé un rapport sur le problème chasse/oiseaux migrateurs en 2000.
Il a réalisé plusieurs expertises: au plan national, pour le compte des Ministères de l’Environnement (circuit Michelin dans la plaine des Maures) et de l’Equipement (passage de l’autoroute Bordeaux-Genève dans le parc régional des Volcans d’Auvergne), et au plan international, sur 2 régions du Brésil, le Pantanal pour le Ministère de l’Environnement (projet de création d’un parc national entre Mato Grosso et Mato Grosso do Sul, destiné à protéger cette zone humide qui fut l’une des plus importantes du monde avec une surface de plus de 100 000 km2) et l’Amapa pour le Ministère de la Recherche, sur la lagune de Venise et le marais poitevin pour l’Union Européenne… Ancien président du comité « Espaces protégés » du Conseil de l’Europe, il est maintenant expert auprès de cet organisme pour lequel il intervient régulièrement pour le renouvellement du diplôme européen des espaces protégés Il a participé en 2005 à l’expertise collégiale internationale de l’IRD sur les espèces envahissantes en Nouvelle Calédonie Il est conseiller Environnement auprès de l’entreprise multinationale Cemex (restauration des habitats après extraction).
Officier de la légion d’honneur, Jean Claude Lefeuvre est également officier de l‘Ordre National du Mérite, des Palmes Académiques et du Mérite Agricole. Il est chevalier de l’Ordre du Mérite de la République Islamique de Mauritanie.
(source : http://www.senat.fr/opecst/biographies_conseil_scientifique/lefeuvre_jean_claude.pdf)
Jean-Claude Maleval est psychanalyste à Rennes (France). Il est membre de l’École de la Cause Freudienne (ECF) et de l’Association Mondiale de Psychanalyse (AMP). Il est professeur de psychopathologie et de psychologie clinique à l’université de Rennes-II ; auteur de cinq livres sur les psychoses et l’autisme : Folies hystériques et psychoses dissociatives (Payot, 1981) ; Logique du délire, (Masson, 1997) ; La forclusion du Nom-du-Père, (Seuil, 2000) ; L’autiste, son double et ses objets, (Presses Universitaires de Rennes, 2009) ; et son dernier livre vient de paraître en octobre 2009 au Seuil : L’autiste et sa voix.
Producteur, réalisateur, scénariste, directeur de la photo, monteur, monteur son, décorateur, animation, chez Cataclope Production.
Jean-Didier Vincent, né le 7 juin 1935 à Castillon-la-Bataille, est un neuropsychiatre et neurobiologiste français. Il a été professeur de physiologie à la Faculté de médecine de l’Université Bordeaux II et de l’Université Paris XI, et fut de 1991 à 2004 directeur de l’Institut de neurobiologie Alfred-Fessard du CNRS. Il est également membre depuis le 18 novembre 2003 de l’Académie des sciences et membre de l’Académie de médecine.
Jean-Didier Vincent est élevé dans un collège protestant de Guyenne à Sainte-Foy-la-Grande1 dont le maître le destine à des études de littérature à l’École normale supérieure. Ses parents, courtiers en vins et protestants, ayant des revers de fortune, sa mère l’incite à faire des études de médecine à l’École du service de santé des armées de Bordeaux pensant que la blouse blanche lui irait bien et lui éviterait les mêmes déboires financiers. Il devient major de Physique Chimie Biologie (ancienne filière universitaire préparatoire à la première année de médecine). Interne dans des services de clinique, il rencontre le neuropsychiatre Jacques Faure qui l’incite à faire des recherches dans ce domaine.
Jean-Didier Vincent dirige un laboratoire d’explorations fonctionnelles du système nerveux de 1970 à 1993 au CHU de Bordeaux avant de prendre la direction de l’Institut Alfred-Fessart à Gif-sur-Yvette en 19921. Il est également professeur de physiologie à la Faculté de médecine de Bordeaux. Parallèlement, il effectue des recherches en neurobiologie aux États-Unis puis en France (CNRS, INSERM) et encadre plusieurs doctorants.
Jean-Didier Vincent est président du Conseil national des programmes au Ministère de l’Éducation nationale depuis 2002, membre du comité d’éthique des sciences du CNRS (COMETS) et du comité d’éthique et de précaution pour les applications de la recherche agronomique de l’INRA (COMEPRA). Membre du Directoire de la Fondation pour l’innovation politique jusqu’au 23 janvier 2009, il préside depuis octobre 2005 l’Association pour l’Université numérique francophone mondiale (UNFM).
Jean-Didier Vincent a écrit plusieurs ouvrages, dont le plus célèbre est La Biologie des passions ainsi que Élisée Reclus, géographe, anarchiste, écologiste qui a reçu le Prix Femina Essai 2010.
Professeur à l’Université Pierre et Marie Curie (Paris 6)
Directeur adjoint de l’UFR d’Ingénierie (UFR 919)
Directeur de l’ED Sciences Mécaniques, Acoustique, Energétique, Robotique de Paris (SMAER, ED 391)
Formation :
Juillet 1978 : Diplôme d’Ingénieur, Ecole Polytechnique, Palaiseau
Juin 1979 : DEA d’Acoustique Appliquée, Université du Maine, Le Mans
9 décembre 1988 : Doctorat ès Sciences (Mécanique) à l’Université du Maine : « La transmission de l’énergie sonore dans les salles »
Jean-Emile Gombert, Professeur en psychologie cognitive des apprentissages, est Président de l’Université Rennes 2 depuis janvier 2011. Il a été réélu à cette fonction en mars 2012.
Il a également été élu, en février 2011, à la présidence du RUOA (Réseau des universités de l’Ouest Atlantique), réseau qui regroupe les 10 universités de Bretagne, Pays de la Loire, Poitou-Charentes et Limousin.
Il était premier Vice-Président de l’Université, auparavant Vice-Président du Conseil scientifique et Directeur de la Maison des sciences de l’Homme en Bretagne, et de l’Institut Confucius de Bretagne.
Technicien contractuel (3B type CNRS) au Laboratoire de psychologie de l’Université de Rouen de 1974 à 1984, il a ensuite effectué des vacations d’enseignement dans les départements de psychologie et de mathématiques de l’Université et à l’École Normale de Rouen (méthodologie expérimentale, psychologie génétique, psychologie du langage).
Maître-assistant puis Maître de conférences de psychologie génétique à l’Université de Bourgogne (1985-1990), il a effectué en 1993 un séjour sabbatique de 6 mois (CRCT) à l’Université d’Oxford. Professeur des universités de psychologie cognitive génétique à l’Université de Bourgogne (1990-1997), il a rejoint, en 1997, l’Université Rennes 2. Il a enseigné dans les trois cycles universitaires, avec une participation fréquente à la formation des maîtres et à la formation continue. Il a également participé à la création et à la direction de diplômes.
Ses recherches concernent essentiellement le développement du langage et l’apprentissage de la lecture chez l’enfant tout-venant et dans des populations « spéciales » (dyslexiques, faibles lecteurs, illettrés, sourds, trisomiques). Il développe également des recherches interlangues. Concepteur et responsable des évaluations lecture de la JAPD (Journée d’appel de préparation à la défense), il est Directeur des collections Crocolivre et Croque-Lignes – Nathan.
Plus d’une vingtaine de thèses ont été soutenues sous sa direction. Jean-Emile Gombert a participé à une centaine de jurys de thèses ou de HDR (Habilitation à diriger des recherches).
Jean-François Balaudé a été élu président de l’université Paris Ouest Nanterre La Défense en avril 2012.
Il fait partie du conseil associatif de l’AUF (Agence universitaire de la francophonie) depuis mai 2013.
Professeur de philosophie, il était directeur de l’UFR de philosophie, info-com, langage, littérature, arts du spectacle (PHILLIA) dans cette même université. De juin à décembre 2012, il a été membre du conseil d’administration de la CPU (conférence des présidents d’université).
Ancien élève de l’ENS Ulm (A/L 1983), Jean-François Balaudé a suivi une formation de lettres classiques et de philosophie. Il obtient son agrégation de philosophie en 1986 et soutient sa thèse en 1992 à l’université de Lille 3. Il devient en 1993 maître de conférences à Paris Ouest Nanterre (appelée alors Paris 10-Nanterre). Il y dirige le département de philosophie pendant 7 ans (1993-2000).
Titulaire d’une HDR en 1999, Jean-François Balaudé est nommé, la même année, professeur à l’université de Reims où il y enseigne et dirige le département de philosophie de 2000 à 2005.
Jean-François Balaudé a été membre du jury de l’ENS Ulm spécialité philosophie de 1994 à 1997, et membre du jury de l’agrégation de philosophie de 2008 à 2011. Jean-François Balaudé est spécialiste de philosophie ancienne.
Il a dirigé le Centre de recherches sur les philosophies anciennes et leur postérité (Université Paris Ouest Nanterre) en 2005-2006, avant sa fusion dans l’Institut de recherches philosophiques. Jean-François Balaudé est l’auteur de plusieurs ouvrages dont Le savoir-vivre philosophique. Empédocle, Socrate, Platon paru en 2009 chez Grasset. Né en 1963.
Jean-François Bertrand est adjoint au directeur de la culture de la Région Bretagne.
Jean-François Durand est chef de musique hors-classe pour la musique de l’Artillerie.